Visite médicale au lycée

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Comme certaines de mes camarades de lycée, je m'arrangeais toujours pour me faire porter malade le jour de la visite médicale, je n'avais pas envie de vivre cela , car le médecin et l'infirmière qui nous examinaient étaient de vrais sadiques. Pus tard j'ai su qu'il s'agissait du mari et de la femme, pour recadrer les choses nous étions dans un lycée privé et mixte.

Une année, la surveillante générale est passée dans toutes les salles ou se trouvaient des élèves dans le même cas que moi, au fur et à mesure le groupe gonflait. Sur l'instant personne ne savait pourquoi nous étions ainsi regroupés.

La réponse arrivait lorsque nous arrivions devant la porte de l'infirmerie, nous prenions place dans une chambre et recevions l'ordre de nous déshabiller, filles et garçons ensemble, nous n'avions le droit que de garder la culotte pour nous les filles et le slip pour les garçons.

Imaginez notre stupeur, lorsque l'on nous annonçait que nous allions passer la visite médicale, personne n'osait se déshabiller, jusqu'à ce que l'infirmière arrive et mette les choses au point : "Tout le monde en slip ou je vous fais tout retirer !". Par précaution et vu que nous étions pour la plupart des réfractaires à la visite médicale, nos vêtements nous étaient confisques.

Durant l'attente nous devions nous asseoir dos à dos sur les deux lits, je me retrouvais par le fait de l'ordre alphabétique assise entre deux garçons et en face d'un autre. La lumière était ensuite éteinte et les rideaux tirés, parfois je sentais une main parcourir mes genoux ou mes cuisses, les garçons ne portaient pas tous des slips hauts (slips kangourous), ce qui avait pour effet de les voir en érection de façon permanente avec le bout qui parfois en dépassait.

Le silence de la salle d'attente se trouvait perturbé par les cris de celles et ceux qui subissaient les examens médicaux.
Le pire était celui que l'on nous pratiquait dans l'anus, je n'ai jamais su de quoi il pouvait s'agir, mais ca faisait très mal... Plus que les deux piqures et la prise de sang que l'infirmière recommençait au mois trois fois pour trouver la bonne veine et tatouer nos bras d'hématomes douloureux.

Dire que ca les faisait rire, ils étaient odieux en nous traitant de dinde à farcir, pour les plus corpulentes comme moi.
Dès l'entrée en salle d'examen l'infirmière nous faisait enlever la culotte et plaçait sur nos narines un pince nez, pour nous obliger à respirer par la bouche, puis elle introduisait le thermomètre en verre et gare à nous si nous le perdions...

La visite durait à peu près une demie heure, c'était dans les années 70 et c'était pour notre bien, disait-on.


Histoire envoyée le 26/09/2011 à 14h13 - Notée 3.00 / 5

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Les commentaires

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h36

Mais c'est horrible! Je compatis...

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h37

J'ai l'impression que sur ce site, on trouve davantage de fantasmes sado-maso que de réelles hontes.

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h36

lhistoire et vraiment nul srx jai pa rigoler mais cool pour les garcon de voir des femme en culotte et pour les femme sa ne doit pa etre de la tarte les povre

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h36

non mais là il y a de quoi porter plainte pour mauvais traitements !

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h36

j'ai du mal a croire a cette histoire. garçons et fille se retrouvent ensemble pour se déshabiller et les fille seins nus avec touché rectal devant tous le monde et quoi d'autres encore ? y'avais pas un examen gynéco non plus..lol

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h37

Horrible...

Par [visiteur] le 08/10/2010 à 14h55

Genre les filles se font toucher par tous les mecs et personne ne dit rien...
Et les infirmières sadiques à ce point, mouais...

Ca a beau être soi-disant dans les années 70, je n'y crois pas.

Soit tu veux nous faire pleurer, soit tu fantasmes (arrête les films de c..)...

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 16h24

"j'ai du mal a croire a cette histoire. garçons et fille se retrouvent ensemble pour se déshabiller et les fille seins nus avec touché rectal devant tous le monde et quoi d'autres encore ? y'avais pas un examen gynéco non plus..lol"

Je me suis dis exactement la même chose lol

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 16h24

N'importe quoi ! J'y crois pas une seconde. C'est pas possible qu'on vous demande de vous mettre en sous-vetements. Comme si c'était possible que des lycéens se mettent tous quasi à poil comme ça ! C'est pathétique...

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 16h24

ma pauvre...horible

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 16h24

n'importe quoi!!

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h24

Pff serieu c'est vraiment de la merde toon histoire... C'est preque pas une honte puise que c'etait dans les années 70...

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h24

mwoué on voit bcp de chose ds se monde mé a se point la je c pa apré le faite d etre tromatisé par une chose peu faire qu on l invente mé moi je ne c pas koi pen c en tt cas si c vré tu aurais du fair parvenir ces methode sadique bref

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h24

Ces gens là n'ont aucun droits de faire subir ça à des enfant, moi même je suis collégienne et je serais effarée qu'on me demande de faire une chose pareille ! Je porterais plainte même.. C'est totalement interdit ! Et je suppose que dans les 70 (années de mes parents) c'étais interdit aussi !

Par [visiteur] le 08/12/2010 à 17h00

n'importe quoi....!! Jamais il n'y a eu de toucher rectal aux visites médicales...même au début du siècle lol. Tu nous vraiment pour des débiles. Et tu sais quoi c'est ton histoire la honte de vie !

Par [visiteur] le 08/12/2010 à 17h00

C'est pas du tout une honte... Si c'est vrai, c'est plutôt choquant, scandaleux, de la maltraitance et de l'abus, qui aurait justifier de porter plainte.

Par [visiteur] le 08/12/2010 à 17h00

Genre

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 15h27

J'étais dans un lycée de garçons, c'était dans les années 60 la mixité était rare. A cette époque, j'étais suivi en orthophonie, suite à un léger bégaiement, qui me dérangeait beaucoup à l'oral. Un de mes profs n'a pas cru en ce handicap, et m'a sévèrement noté, malgré le soutien des autres camarades de classe. J'ai été aussitôt chez l'orthophoniste qui me suivait, et lui ai demandé de m'établir un certificat médical attestant mon bégaiement.
Ce qui fut fait et remis au médecin scolaire comme justificatif de mes troubles d'élocution.
Trois jours après, j'ai été convoqué par le médecin scolaire. Par surprise, car je ne m'y attendais pas du tout ! C'était une femme d'à peu près 50/55 ans, et qui, suite au certificat (au moins j'étais sûr qu'elle l'avait bien reçu) m'a fait passé la visite annuelle obligatoire en ces années-là.
Ce médecin était un peu brusque dans ses façons de faire. Elle était assistée par une infirmière, bien plus jeune qu'elle. J'ai attendu dans la salle d'attende, ornée de porte-manteaux et de bancs allignés le long du mur. Elle m'appelle, j'entre en son cabinet et voyant que je suis habillé, elle me gronde. Je lui réponds en disant que je ne pensais que c'était juste pour un faire un point au sujet du certificat médical... Point, nenni ! il me fallait passer la visite intégrale. Allez hop ! en slip, jeune homme, et que ça saute, dit-elle avec un ton qui n'admet pas de réplique. J'étais confondu, plein de honte... Je n'étais pas prêt pour cette visite... Surtout que, comme j'étais le seul dans la salle d'attente, elle a laissé la porte de communication avec son bureau ouverte... De sa place, elle me voyait me déshabillé...
Je reviens vers elle, donc en slip : j'étais tellement rempli de honte que je bégayais à chaque mot, à chaque réponse que je lui fournissais...Sous la peur, peut-être, mais pas seulement...
Et elle m'examine totalement avec sa manière un peu brusque de prendre la tension, d'écouter le coeur, de palper les testicules... Son examen m'a fait mal, dans le bas du ventre et au niveau des glandes du cou.
Je suis ressorti de là, vert de honte, mais elle m'a dit que mon certificat était valable. Elle s'est justifiée en me disant que beaucoup d'élèves se faisaient établir de faux certificats médicaux pour échapper à telle ou telle matière scolaire. Mias moi, je n'avais rien à me reprocher !

Par [visiteur] le 11/01/2011 à 21h50

J'ai eu la honte de ma vie à la visite médicale du lycée.
Quand j'étais jeune, je ne me... douchais pas tous les jours. Toute ma famille habitions dans un petit appartement, sans confort et nous étions 7 personnes (2 adultes et 2 enfants) vers les années 1969/70. Il n'y avait pas de salle d'eau dans notre maison, c'était un très vieil appartement sur Paris : nous allions aux douches publiques 2 à 3 fois par semaine. Ca, c'est pour l'intro.
Et je suis convoqué à la visite médicale... Je le savais, mais je n'ai pas pris de douche ce matin-là... Une petite toilette de chat, certes, mais pas de douche, vu les commodités que nous avions à la maison.
La visite est banale, sommaire, bâclée... Mais là où j'ai eu honte, c'est quand le médecin a constaté des traces de saleté sur mon cou. Il s'est approché de plus près, et avec un coton imbibé d'alcool, il a frotté mon cou. Puis il m'a montré le coton, déguelasse, noir, et il l'a fait voir aussi à l'infirmière qui l'assistait : la honte, je vous dis, la honte de ma vie...
J'ai essayé de lui expliquer les raisons... comment nous vivions... dans quelles conditions... Il ne voulait pas le savoir. J'avais le cou rouge par les frottements du coton sur ma peau, tellement le médecin a frotté fort !
J'ai quitté le cabinet mort de honte. Surtout que l'infirmière en refermant la porte sur moi avait un air de dégoût... ça se voyait à son regard...
Honte suprème.
Pour la petite histoire, je n'ai rien dit à mes parents. Et nous avons trouvé dans l'année 70, un autre logement, plus convenable, avec salle d'eau... Ce qui fait que lorsque j'ai passé la visite l'année d'après (ce p*** de médecin m'ayant repéré), je me suis douché avant... Il n'avait rien trouvé à redire !

Par maitreflocon le 12/01/2013 à 22h15

lol

Par maitreflocon le 12/01/2013 à 22h17

(dernier comentaire)

Par shame le 18/11/2014 à 01h10

10-15 ans plus tôt j'étais au lycée dans l'enseignement public. Le seul enseignement privé qui existait en France était catholique. Et catholique à outrance, avec prière chantée toute la classe debout à chaque début de cours, les fenêtres grandes ouvertes pour être sûrs que les passants en prennent plein les oreilles ! Tisane tous les soirs, confesse obligatoire tous les samedis soirs, et grand messe chantée tous les dimanches matin ! L'enseignement public lui, était laïc à outrance, c'était une vraie guerre de religion entre les deux ! L'enseignement public faisait chanter les élèves : " ceux qui ne sont pas content n'ont qu'à aller voir les curés ! ". C'était l'argument choc, qu'on nous assénait à la moindre occasion. Tout le monde savait ce que ça voulait dire, parce que nous savions tous en quoi consistait l'enseignement privé catholique ! Il fallait donc subir n'importe quoi de n'importe quel personnel, et avec certains médecins en particulier, qui ne se gênaient pas. Dans les années 60 ils et elles savaient très bien que leurs pratiques particulières ne risquaient pas de se savoir un jour. Les élèves en parlaient uniquement entre eux.
Le médecin et l'infirmière faisaient toujours équipe, vivaient ensemble à longueur d'années, et passaient d'établissements en établissements. Une équipe qui pouvait être redoutable. Tu as connu le couple mari et femme. Il existait aussi le couple frère - sœur, là c'était pire encore. J'ai subi 10 visites médicales scolaires de 11 à 20 ans, avec 4 doctoresses et 3 docteurs différents,, avec 4 secrétaires-assistantes-infirmières différentes, dont la même 5 années de suite de 14 à 18 ans ! L'infirmière à sa table était toujours placée en avant de l'élève et devant, juste à côté du docteur. Tout simplement parce que comme ça elles n'avaient plus à pencher la tête pour mieux voir !
Mais les visites étaient absolument obligatoires, et il était parfaitement impossibles d'y échapper !!
Humour : seul l'enseignement privé catholique, pour toutes les classes de la scolarité était mixte garçons et filles ensemble. Y compris les séances de sport pluri hebdomadaires tout le monde en short ultra court ! Or l'église catholique prônait le mépris du corps et haïssait le péché de la chair par dessus tout ! Mais l'enseignement public laïc à tous les niveaux, lui, séparait très soigneusement filles et garçons dans des écoles bien distinctes.

Par shame le 18/11/2014 à 01h52

Le récit est celui d'une punition, en même temps qu'une visite. Ce qui peut expliquer beaucoup de choses. J'ai connu une école privée catholique où les séances de sport étaient mixtes, et en très petites tenues, filles et garçons ensemble, même à 18 ans ! A chaque séance de plein air en pleine nature à la sortie de la ville, tous les voyeurs entouraient le terrain pour regarder les jolies cuisses ! En se cachant à peine. Ca ne dérangeait pas particulièrement les frères et les sœurs qui dirigeaient l'établissement. Donc garçons et filles ensembles en slip, oui c'est plausible. Eteindre l'éclairage et tirer les rideaux pour permettre les attouchements, et éprouver les plus pudiques et punir tout le monde, c'est aussi possible, dans l'enseignement privé.
J'ai été d'une pudeur terrible, extrême jusqu'à 25 ans, et ma puberté à 12 ans n'a rien changé ! J'ai subi d'innombrables séances interminables de slip baissé, pour m'apprendre à vivre, par les médecins, comme par les militaires. En partculier de terribles séances de bizutage, mises à l'air publiques à répétition et attouchements à volonté, en pleine lumière.
J'ai subi la visite médicale d'incorporation militaire (les 3 jours) au centre de sélection de Mâcon en Saone et Loire. Centre redoutable, et réputé pour ses procédés très impudiques, qui scandalisaient les catholiques et les honnêtes gens en général. La visite médicale durait 6 heures pendant 6 longues heures, pour 60 conscrits, tout l'après midi du 3ème jour. La visite se passait en 2 temps : d'abord un par un, chacun son tour, se mettre en slip devant tout le monde habillé. Il fallait absolument tout retirer sauf le slip, même la montre et les lunettes. Ensuite subir toise, balance, etc. en slip devant tout le monde habillé. Ensuite retirer le slip et se mettre tout nu devant tout le monde. Il ne nous restait plus que le slip, ce qui facilitait les choses, et c'était prévu exprès. Ensuite, seul et tout nu, suivre un très long couloir d'au moins 20 mètres de long, qui conduisait à l'autre bout du bâtiment. Pour aller voir le docteur. Mais en plus du docteur et juste avant la salle d'examens, il y avait une 2ème salle d'attente très particulière, où il n'y avait jamais plus de 4 garçons tout nus ensemble. Nous avions tous 18 ans. La très grande distance entre les 2 salles d'attente, et tous nos vêtements le plus loin possible, slip compris, avait pour but d'empêcher les rébellions, de nous décourager d'essayer d'aller remettre nos slips, et empêcher ceux qui attendaient habillés dans la première salle d'attente d'entendre les cris et les protestations de ceux tout nus qui se trouvaient dans la 2ème salle d'attente. La distance, immense, était prévue exprès. Nous n'avions plus qu'à subir, l'odieux, l'horreur ! C'était un procédé habile pour nous confisquer nos vêtements, et surtout nos slips !

Par shame le 18/11/2014 à 02h35

A Mâcon les procédés avaient de quoi révolter effectivement. Depuis tout gosses on nous donnait l'habitude de nous mettre tout nu pour le docteur, donc ce n'était qu'un fois de plus, mais quand même !
Dans toutes les salles d'examens, il y avait les cris du garçons, mais surtout ceux des docteurs et du personnel, pour obliger la garçon à obéir et à se laisser faire.
Au lycée, la salle d'attente était mitoyenne avec la salle d'examens. L'attente tous en slip durait plusieurs heures. Derrière la porte on entendait beaucoup de choses, et sans arrêt des cris. On faisait tous une drôle de tête, on savait ce que ça voulait dire, et on compatissait ! Surtout les classes avant 16 ans. Les classes à partir de 16 ans ça criait beaucoup moins. Dans mon lycée de 1000 élèves, uniquement des garçons de 10 à 20 ans, il y avait un local spécial visites médicales, sur le palier de l'infirmerie, qui ne servait uniquement qu'aux visites et organisé pour. Et qui ne servait que 3 mois tous les ans, du 1er mars au 1er juin. C'est dire le sérieux de l'organisation !
J'étais d'une pudeur extrême, jusqu'à 25 ans, et c'est ma mère qui me criait après à chaque fois chez mon 1er médecin de famille. A Mâcon le personnel est intervenu pour m'obliger. A 20 ans les militaires m'ont pris en main. Dans mon cas il est beaucoup plus simple de faire l'inventaire de mes visites où je n'ai pas été réticent. Chez mon 2ème docteur de famille de 10 à 18 ans ça s'est à peu près bien passé. Et mes 2 dernières visites scolaires à 19 et 20 ans ! Pour crier, ça a crié !! Sans compter les fois où on a été obligé de m'empoigner ! Et ils et elles m'ont fait mal de nombreuses fois. A l'armée c'était pour le plaisir de s'amuser !
Ma 1ère visite scolaire à 11 ans, dans un centre médico scolaire en cm2, il y avait 3 salles d'attente successives. Le centre était tout en longueur à partir de la rue et s'enfonçait à l'intérieur d'une école primaire de filles. La salle d'examens se trouvait tout au bout et très loin, en plein milieu de l'école de filles. La jeune doctoresse ne parlait pas, elle criait ! Mais ceux qui était habillés étaient trop loin pour entendre. Mais celui en slip qui attendait son tour juste devant la porte de la salle d'examens, lui il entendait tout. La cour de récréation des filles longeait le centre. Tous les jours, à chaque récréation, les filles jouaient et passaient à 2 mètres des garçons et des filles de tous âges en slip ! Juste derrière les baies vitrées, heureusement dépolies ! Et les garçons en slip entendaient les filles parler à moins de 2m d'eux !!
Quand c'est au tour des vraiment réfractaires, comme dans mon cas, et très pudiques, là ça crie vraiment beaucoup !
Le premier souvenir de ma vie qui est le plus traumatisant, c'est ma mère qui me retire elle même mon slip et qui me crie après chez mon 1er docteur de famille J'ai vécu un martyr jusqu'à 21 ans, un calvaire !

Par shame le 18/11/2014 à 13h58

Dans les années 60, on aimait pas du tout, mais pas du tout, les réfractaires !! En plus en raison de la démographie d'après guerre il y avait une pléthore d'ados à visiter très souvent et très complètement. Donc les visites avaient lieu dans n'importe quels locaux, en plus des locaux spécialisé, et la cadence était infernale. C'était véritablement l'abatage. Les cris redoublaient. Dans les internats et casernes, les responsables, que ça amusait beaucoup, favorisaient la " formation " des réfractaires, et autres mises à l'air publics avec attouchements, et fermaient les yeux sur les abus s'il y en avait. A cette époque où absolument tout était interdit, les plus âgés ne demandaient qu'à s'amuser avec les plus jeunes, à la moindre occasion.
J'en sais quelque chose ! J'ai subi ça surtout au service militaire. Ca commençait déjà par un repérage et un inventaire des réfractaires et des pudiques, dont j'étais.
Laisser les garçons et les filles ensemble en slip et tirer les rideaux, était un procédé assez efficace, pour préparer les réfractaires à ce qui allait suivre dans la salle voisine !
Les responsables joignaient l'utile à l'agréable ! Surtout dans le contexte social de répression effrayante de ces années là !
Il est possible de confisquer les vêtements. Il est plus facile d'emmener l'élève tout nu le plus loin possible de ses vêtements, et surtout de son slip. Pour le " former " ailleurs. Comme j'ai connu à Mâcon. Pour cette raison, au service militaire la " formation " avait lieu uniquement le soir, aux wc et aux douches. Quand ce n'était pas les anciens qui donnaient des fessées bien appliquées et publiques, c'était les médecins et leur personnel qui ne se gênaient pas pour distribuer généreusement les claques sur les fesses nues, pour mieux rigoler !
Pour cette même raison, il fallait souvent retirer le slip pour rentrer tout nu dans la salle d'examens. Chez mon 1er médecin de famille ma mère m'a retiré elle même mon slip à chacune de mes visites jusqu'à plus de 9 ans, tellement j'étais insupportable !

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