Visite médicale

Ma mère a pris rendez-vous chez le médecin pour ma petite sœur et moi (j'ai 16 ans et elle 11 ans).

Ma mère et ma sœur sont rentrées dans le cabinet en premier, pendant ce temps je suis resté dans la salle d'attente. Puis le médecin est venu me chercher, il m'a posé plusieurs questions puis m'a demandé de me déshabiller.
Je me suis mis en caleçon, ma mère et ma sœur étaient pressentes ! Il m'a mesuré, pesé, puis m'a dit de retirer mon caleçon et de m'allonger sur la table d'auscultation...
Je me suis donc retrouvé tout nu...
Je suis très pudique et franchement j'avais déjà les boules que ma mère assiste a la visite, mais en plus devant ma petite sœur !

Pour ma mère c'est du genre "bah t'es fait comme tout le monde", et elle m'a dit que c'était la visite des 16ans du carnet de santé et qu'il était normal de contrôler la puberté... Mais pour moi ça a été la grosse honte !


Histoire envoyée le 26/09/2011 à 15h57 - Notée 3.93 / 5

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Les commentaires

Par [visiteur] le 05/06/2009 à 09h24

c'est pourri come histoire, ça vaut pas le coup d'etre sur ce site

Par [visiteur] le 05/06/2009 à 09h25

on se retrouve dans cette histoire
moi j'ai remarqué qu'il suffise que tu soit accompagné par un parent pour que soit on te fait enlever le slip,soit on te le baisse devant eux
j'ai aussi remarqué qu'en general ce sont les medecins homme qui font ca
bien que la visite la plus humiliante que j'ai passé c'etait une doctoresse qui me l'a fait

Par [visiteur] le 05/06/2009 à 09h25

j'ai 19 ans et ca m'est arrivé il y a pas longtemps j'était malade une bonne grippe ma mere a appelé le medecin qui est passé a la maison
ma mere est rentrée dans ma chambre pendant que le docteur m'auscultait
celui ci m'a baissé le boxer devant ma mere pour me tater les roubignoles et me decalotter
je ne m'y attendait pas ma mere non plus

Par [visiteur] le 05/06/2009 à 09h25

oui moi a 26 ans quand je me suis fait une fracture de la cheville
aux urgences ils m'ont completement deshabillé
ma mere était la

Par [visiteur] le 05/06/2009 à 09h25

Ben t'avais qu'à demander à ta mère et ta soeur de sortir et refuser de te déshabiller tant qu'elles étaient là! T'es pas malin.

Par [visiteur] le 06/06/2009 à 11h04

moi pour l'appendicite quand j'avais 13 ans le docteur m'a mis un doigt ma pire honte

Par [visiteur] le 06/06/2009 à 11h04

c'est vrai des fois il y a des docteurs assez sadiques

Par [visiteur] le 08/06/2009 à 21h33

c'est pas cool!moi aussi a 16 j'ai eu mon slip baissé devant ma mere

Par [visiteur] le 08/06/2009 à 21h32

les boules quand ta maman voit tes boules

Par [visiteur] le 08/06/2009 à 21h33

la derniere fois que ma mere étai la pendant la visite j'avais 11ans
le docteur m'avait fait mettre nu,j'avais déja un gros engin avec des poils,mais comme dans ma tete j'étais encore bébé ca ne m'a pas trop foutu la honte,après ma mère me laissait seul

Par [visiteur] le 13/06/2009 à 16h51

ta mère et ton toubib sont glauques! change au moins de médecin, c pas normal!

Par [visiteur] le 14/06/2009 à 12h57

oui, c'est pas très normal. De plus, je comprend pas pourquoi tu n'as pas réagi....

Par [visiteur] le 23/06/2009 à 08h05

ca arrive a tout le monde mais j'avou j'aurai pas voulu devan ma mere , c hardd

Par [visiteur] le 23/06/2009 à 08h22

moi, je n'est jamais passer une visite tout nu

Par [visiteur] le 17/07/2009 à 11h42

j'ai 28 ans, et ma mère m'a accompagné chez le médecin pour un petit problème de genou. Le médecin me demande d'enlever mon pantalon et me dit "tiens il y a longtemps que je ne t'ai pas vu, déshabille toi complètement". Je précise que je vis dans un milieu très autoritaire (parents très stricts), du coup, j'obéis en gardant mon slip et ma mère me dit "le docteur a dit complètement" et elle m'enlève elle-même mon slip; la honte totale

Par [visiteur] le 13/08/2009 à 21h24

moi c ma grande soeur qui m'a envoye chez une de ses copine medecin sous un fo pretexte. la jeune fille a peine + agée m'a un moment baissé le slip et qd j ai mis les mains pour me cacher ma soeur m'a ordonné dde les mettre sur la tete; sa copine a pu alors me toucher et me decalotter plusieur minutes

Par [visiteur] le 03/10/2009 à 21h43

a 19 ans j'ai cartonné en voiture,celle ci était hs,moi j'avais rien,j'ai appelé mes parents pour qu'ils viennent me chercher,quand ils sont arrivés les gendarmes ont conseillé de m'emmener passer une visite a l'hosto
la bas radios,puis un interne nous fait rentrer dans une salle pour commenter les radio,RAS,puis il me dit on va regarder tout ca "deshabilles toi entierement"
je me met en slip ,"enleves aussi le slip"
je me suis retrouvé a passer la visite tout nu devant papa maman

Par [visiteur] le 03/10/2009 à 21h44

ma mere a souvent assité aux visites et pour moi cela n'a jamais été un probleme
la derniere que j'ai passé en sa presence j'avais 21 ans et le vieux medecin de famille m'a dit comme ca fait longtemps
qu'on a pas tout regardé tu vas te mettre tout nu
vu que ma mere était la j'ai pensé qu'il devait etre un peu vicieux
j'ai eu droit a une visite en regle devant ma mere et ca ne m'a pas gené plus que cela

Par [visiteur] le 03/10/2009 à 21h44

moi, ça m'est arrivé, j'avais 15 ans, chez notre médecin de famille. Ma mère m'y avait emmené pour contrôler que ma puberté se déroulait correctement et elle a assisté à toute la visite mais cela na m'a pas géné car c'était ma mère et qu'à mon sens, il n'y avait rien de malsain. Le médecin m'a fait baisser le slip, m'a palpé les testicules et m'a décalotté. Puis, il a rassuré ma mère.

Par [visiteur] le 03/10/2009 à 21h44

a 14 ans une doctoresse m'a fait passer une visite a poil devant mes parents

Par [visiteur] le 03/10/2009 à 21h44

moia 17 ans j ai eu un accident en scooter et j ai du etre plater mon bras gauche et jambe gauche et cest une jeune infirmiere d une vingtaine d année qui me laver entierement (les boules et meme le glant )et la deuxieme fois alor kel dcalotrg ejacuer dans sa main tp la honte et elle a rougit et di ke ct pg

Par [visiteur] le 12/10/2009 à 19h46

ma mere assiste aux visites de mon grand frere et de moi meme
j'ai 13 ans et lui 17
on passe les visites en meme temps et cul nu

Par [visiteur] le 27/10/2009 à 09h22

1x/an ma mere m'emmene passer une visite avec mon petit frere
on est ausculté nu
j'ai 17 et mon frere 15

Par [visiteur] le 14/11/2009 à 13h32

moi a 15 ans j'ai passé une visite medicale scolaire tout nu devant ma mere et la doctoresse m'a palpé les testicules et m'a decalloté.
c'a a ete ma plus belle honte

Par [visiteur] le 14/11/2009 à 13h32

moi, pareil qu'un autre ici, j'avais 14 ans et ma mère a voulu faire contrôler que ma puberté se déroulait bien. Elle m'a emmené chez notre médecin qui m'a fait mettre nu, puis m'a taté les testicules. Tout était normal et il l'a confirmé à ma mère. Personnellement, je n'ai pas été géné parce que c'était ma mère et que je n'y ai rien vu de malsain.

Par [visiteur] le 19/11/2009 à 16h33

jusqu'a 16 ans la doctoresse m'a fait passer les visites nu devant mes parents
je détestais le moment du décalottage sous le regard de mes parents ,je trouvais cela humiliant
timide je n'osais pas me rebeller, a 17 ans j'ai refusé d'aller voir ce medecin,mes parents n'ont pas insisté

Par [visiteur] le 24/11/2009 à 20h36

moi, ca m'est arrivé, j'avais 12 ans lors d'une visite médicale scolaire au collège. le médecin (une femme) m'a demander de me déshabiller. je me suis mit naturellement en slip et en chaussettes. elle a commencer a me poser des tas de questions assis a son bureau et peu de temps apres elle ma dit "bien; maintenant tu retire ton slip et tes chaussettes. tu va passer une visite complète" . cette phrase je m'en souviendrais toujours !! c'était ma pire honte de ma scolarité de me retrouver tout nu devant cette dame que je ne connaissait pas ! j'ai donc eu droit a la pesée, mesuré, palpation des testicules et décalotage a 3 reprises (je m'en rappel encore), controle entre les doigts de pieds et le pire c'est quand elle me dit de me pencher et qu'elle ma écarter les fesses pour vérifier (mais sans toucher rectale) la j'ai rougit et je me souvient encore que je ne savait plus ou me mettre tellement j'avais honte !! mais bon maintenant ca fait partis des souvenirs !!!

Par [visiteur] le 02/12/2009 à 08h36

Moi je me suis retrouvée régulièrement nue chez le pediatre et ce devant mes parents et mon frère.

Nous passions la visite en slip, comme j'ai eu une puberté tardive, j'ai a chaque visite eu mon slip baissé, mon frère n'y a pas échapé (mais pour un problème de decallotage).

Je détestais notre vieille pédiatre car elle ne prévenais jamais avant de baisser la culotte qui se retrouvais facilement aux genoud, je devais avoir 13 ans quand elle prit sa retraite et fut remplacer par un jeune pédiatre. Je le préférais mille fois, car malgrès le fait de se retrouvée nue devant lui, il nous expliquais toujours se qu'il allait faire, ce qu'il allait regarder, etc et ce avant de le faire. Donc nous savions quand la culotte descendais... et elle descendait juste se qu'il fallait.

Nous allions chez le pédiatre en famille, donc cela ne m'a jamais géné... et je n'ai jamais eu honte de ça.

Par [visiteur] le 09/12/2009 à 09h05

Pas moi, mais un de mes cousins, ado de 14 ans à l'époque, a été envoyé au CHU pour consulter un spécialiste.

L'infirmière lui dit de rentrer dans une cabine et de se déshabiller entièrement, le médecin lui ouvrant la porte de l'autre côté.

Il s'est retrouvé complètement à poil devant un amphi de 300 étudiants !

En plus, avec le froid du carrelage sous ses pieds, il s'est retrouvé pris d'une "trique" irrépressible (un canon entre les pattes disait-il)

Enorme honte !!!

Par [visiteur] le 24/12/2009 à 09h25

tant que c'est chez le doc sa va apres les details...

Par [visiteur] le 24/12/2009 à 09h25

pour moi a12ans la doctoresse du dispensaire se mettait des gants pour me decalotter caar j avais des adherance

Par [visiteur] le 07/01/2010 à 13h02

Personnellement je n'ai jamais subie de visite médicale toute nue au lycée . Par contre ma mère me faisait passer chaque année un bilan de santé complet , dans un centre specialisé à paris . durant 3 jours j'étais examinée de la téte aux pieds et sous toutes les coutures . Il était frequent , la premiére matinée , de passer l'examen de médecine génerale filles et garçons ensembles par groupe de 5 ou 6 dans la méme salle . Nous devions nous déshabiller dans le couloir , du moins enlever la robe réglementaire qui nous était remise aprés la douche collective du matin et les sabots , nous avions le droit de garder la culotte jusqu'a l'entrée dans la salle d'examens . Les parents ne pouvaient pas assiter aux examens et devaient repartir le dimanche soir , juste apres l'admission . j'avais evoqué ces faits avec ma mére , car je ne voulais plus me rendre dans ce centre à l'age de 15 ans , pas seulement pour le fait de me retrouver les fesses a l'air avec d'autres ados mais égallement pour la batterie d'examens , dont cértains étaient assez douloureux ,pas seulement les piqures . Voila j'y suis passée jusqu'a l'age de 19 ans et sans broncher .

Par [visiteur] le 07/01/2010 à 13h01

Effectivement ce genre de visite est normale, mais je trouve que le médecin à manqué de professionnalisme et de respect envers son patient, même s'il est âgé de 16 ans, et encore, justement .... surtout un adolescent. On demande quand même si la présence d'un tiers gène , même s'il s'agit du parent !

Par [visiteur] le 07/01/2010 à 13h01

J'ai passé la plupart des visites devant ma mère .
Comme mon prépuce était serré j'ai même été deux fois décalote en force devant elle

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h29

Mon frangin et moi aussi on subissait un toubib qui nous tripotait l'appareil pour voir si ça fonctionnait, alors qu'on savait bien qu'il n'y avait pas de problème. Et surtout ça se passait devant ma mère, mais surtout notre soeur qui se foutait de nous et de nos machins.

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h29

moi, a 14 ans, visite médicale du collège entièrement nue ( devant un homme, en plus. ) j'étais super gênée, très stréssée aussi parce que je ne savais pas ce qu'il allait faire.

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h27

pour mois une fois l ord d'une visite medicale dans l'armée danss un concours voila npous sommes 5 tous nus devant le medecin

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h27

LOL

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h28

Je ne vois pas le probleme de se retrouver nu devant un médecin surtout qu'il est là pour ça quand il est du même sexe mais quand tu es un garçon de quinze ans et que tu te retrouves nu dvant une femme et qu'en plus elle te touche le penis et les testicules c'est vachement génant surtout devant sa mère.
Mais moi la derniere fois que ça m'est arrivé c'était à quinze ans. Aujourd'hui j'ai eu droit à une visite médicale à la fac. J'arrive donc en début d'après-midi et une étudiante de 2 ou 3 ans plus agées que moi me dit d'entrer dans le cabinet. Là une infirmiére assez agée me pose des questions pendant que son assistante rentre les données. Puis elle me demande d me mettre en slip ce qui me génait un peu mais je le fis. Elle me mesura me posa, écout mon coeur, etc.... Puis elle me dit d'enlever mon slip; je lui dis que je préférai que l'étudiante ne soit pas là mais l'infirmière me dit qu'elle n'avait le droit de rien dire et que je n'étais pas le premier. je me mis donc nu elle m'osculta et je vis bien que la jeune fille ne tregardais pas mes yeux comme on dit.

Enfin c'est fait

Par [visiteur] le 02/02/2010 à 08h28

j'ai passé ma visite avec mon père chez un médecin j'avais 14 ans qui ma de me déshabiller complétement et je me suis retrouvé toute nue dans le cabinet

Par [visiteur] le 06/02/2010 à 18h32

bande de malades tuos a llhp !!!!

Par [visiteur] le 06/02/2010 à 18h32

j ai des doutes sur l exactitude de ces recits !!! bonjour les phantasmes....de la blouse blanche et de papa maman.... enfin a chacun ses petits plaisirs!!!!

Par [visiteur] le 06/02/2010 à 18h31

pour moi cela m'as arrivé plusieurs fois, dérniérement safait 1 mois que je suis allé pour faire une visite médicale, accompagné par ma mére .
elle est rentrer la premiére pour discuter avec le docteur, apres elle sort et me demande d'entrer, qands je suis entré
elle m'as suivit et elle est entré mais elle a laissé la porte ouverte.
le docteur a commencé par la téte puis le ventre et la poitrine , apres m'as dis d'enlever mon slip.
et c'est ma mere qui m'as enlever mon slip , et j'ai remarqué quelle a garder son regard sur ma verge tout le temp.
et méme une femme qui etait dehors j'ai remarqué quelle n'arrete nul de me voire.
cela m'as pas géné car j'ai l'habitude d'etre nu devant elle.

Par [visiteur] le 07/02/2010 à 21h36

Je souhaiterai réagir conçernant le centre médical de Paris car j'y suis allée durant mon adolescence . Cela se passait à la fin des anées 60 , début 70 , la toute premiére fois je devais avoir 14 ans .
La pire des choses était de se retrouver dés le premier soir toutes nues, dans le dortoire , à peine séparées des garçons , pour la douche , collective , bien sur . Il en était ainsi matin et soir .
La premiére matinée était consacrée à la visite de médecine générale . Une année , nous n'étions par introduites dans la sale d'examens par groupe de 5 , du meme sexe et examinées la porte fermée , mais examinées à la chaine , la porte grande ouverte , devant méme commencer à nous déshabiller dans le couloir , en presence des garçons . Pour gagner du temps , les infirmiéres nous pesaient et nous mesuraient égallement dans le couloir . Le pire était de trouver une astuce pour prendre sa température sans trop avoir à présenter ses fesses , nous essayions de nous entraider entre filles .
Une fois dans la salle d'examen , à poil devant les medecins , hommes et femmes , des étudiants , au vu de leurs blouses et tripatouillage jusque dans les moindres recoins de nos anatomies , certains disaient que cela était mieux qu'un cours de sciences naturelles pour nous .
La dérniere fois que j'ai du y passer il n'y avait que 2 garçons avec nous , de ce fait nous avons passés la visite de médecine génerale tous ensemble , 3 filles , 2 garçons , la porte férmée et non pas à la chaine , dans un contexte plutot sérieux et non potache. Curieusement je ne me suis pas senti trop génée , ni mes autres camarades filles . Etai-ce du au sérieux avec lequel étaient menés les examens ou au fait que je commençait à m'y faire ?
Les premiéres années mes parents m'y emmenaient et revenaient me chercher 3 jours plus tard . Avant de repartir du centre nous devions passer une dérniere visite médicale , avec la directrice du centre , une vielle reveche .
Cela se passait en présence des parents ou d'une" maman correspondante "qui était chargée de me raccompagner à la gare . Une infirmiére venait chercher au dortoire ceux dont les parents étaient présent , elle nous faisait déshabiller dans son bureau , toute nue , je précise , avant de nous faire allonger sur un chariot-brancard , recouvert d'un drap dans lequelle nous étions emmaillotés tel des momies , ne laissant apparaitre que le visage.
Nous étions ensuite mises en attente , les chariots rangés le long des murs , que nos parents soient appelés , par ''Madame la Directrice ''. J'avais été frustrée , la premiére année car mes parents étaient passés à coté de moi sans me reconnaitre . Il faut dire que dans cette uniformité , difficile de s'y retrouver en famille .
Apres un entretien en privé , avec mes parents , l'infirmiére me faisait entrer dans le cabinet , elle plaçait le chariot au milieu de la salle avant de desserer la sangle et de me découvrir . La directrice qui était egallement une médecin pouvait alors m'examiner avant d'apposer son tampon sur le carnét de santé .
L'infirmiére en assistante zellée me rendait mes vettements et sous vettement personnels pour me revetir .
Bien entendu j'ai toujours eu du mal à en parler avec mon entourage , cela se comprend . Pour mes parents le sejour dans ce centre était fait pour mon plus grand bien , alors pensez donc mes petites histoires de douche ou de visite médicale avec des garçons n'était pas leur soucis , encore moins les piqures et autre apparats douloureux de la médecine d'un autre age .
Ce qui pour moi était la pire des hontes était de me justifier auprés de mes camarades de classe sur mon absence annuelle , de leur demander de recopier les cours , mais surtout cértaines s'interogeaient sur le fait que j'étais dispensée de visite médicale au lycée . Elle pensaient que je beneficiait d'un passe droit ... Jamais auparavant je ne m'etais exprimée sur ce sujet .


Par [visiteur] le 14/02/2010 à 09h41

Cela me rappelle les deux visites médicales que j'ai subie lorsque j'étais à l'école normale d'institutrice en 1975 et 76 .
Cela se passait à la fac de médecine sur une demie journée , le matin , nous étions éxaminées individuellement , dans des grandes salles de travaux pratiques , par un groupe d'étudiants (es) en médecine qui avaient l'air de bien s'amuser .
Pour commencer nous pouvions garder la culotte et le soutien gorge , pour términer toute nue.
De ce fait nous subissions la totale , je veux parler de l'examen gynéco et d'un autre dans le réctum , à quatre patte sur la table , les fesses en l'air .
Le plus difficile était d'entendre les quolibets des carabins , l'un disait pour ce que je viens de citer , la positon de la grenouille , un autre lui répondait celle du petit chien si elle tire la langue .
Cela était soit disant fait pour détendre l'athmosphére , tout comme la tappe sur les fesses , pour me les desserer .
Je garde de ces visites médicales un trés mauvais souvenir , se retrouver toute nue au milieu d'une dizaine d'étudiants rigollards , qui passaient et repassaient le meme éxamen trois ou quatre fois de suite , pour assurer leur formation .

Par [visiteur] le 14/02/2010 à 09h41

sa mai deja arivéé dvan mon pti frer de 12an é mé 2gran frer de 15 é 17 an mé bn c pa grav

Par [visiteur] le 14/02/2010 à 09h45

Bonjour , j'ai trouvée votre site grace à une amie . J'ai comme beaucoup d'entre vous de mauvais souvenirs de visite médicale , surtout celle que j'ai subie en classe de términale , pour l'inscription au bac .
Dans l'institution ou j'étais scolarisée , depuis la maternelle , un établissement catholique privé , la visite médicale était obligatoire chaque année , contrairement au public ou cela se déroulait de façon plus éparse .
Comme beaucoup de mes camarades de classe je détestai y passer , pour la dérnière année j'avais décidé de faire ma forte téte pour ne pas devoir me retrouver avec trois autres de mes camarades de classe en petite culotte et soutien gorge dans le couloir de l'infirmerie .
Le matin avant de partir à l'institution , j'avais mis en guise de sous vettements un maillot de bain une piéce noir et non pas comme le prévoyait le réglement une culotte en coton blanc , montant jusque sous le nombril , genre culotte de memere et une brassière assortie . Le pire était de remplir le matin le pot d'urines qu'il fallait ensuite placer dans le cartable et transporter une partie de la journée avec les livres et les cahiers .
Pour la classe de términale la visite médicale s'étendait sur la journée complette , dés huit heure , la soeur infirmière venait chercher les trois premières de l'ordre alphabetique . Une fois la première passée , la suivante devait se rendre à l'infirmerie et ainsi de suite sans perturber les cours ...
Pour celles qui comme moi devions y passer dans l'après midi un repas diétetique nous était servi , dans la salle habituellement réservée aux enseignants . Au menu une assiette de haricots vert cuit vapeur sans sel , suivi d'un yaourt nature sans sucre . Beurk les haricots filandreux .
Les premiéres étaient emmenées à l'infirmerie des treize heures , juste aprés le repas . Je me disais qu'avec un peu de chance et vu l'heure à laquelle je devrais y passer j'avais des chances d'y échapper ce jour là .
Mon tour arivait vers seize heures , juste aprés la récreation , je me levais , ramassait mes affaires , passait mon manteau et sortait de la salle de classe . Moi qui d'habitude angoissait façe à cet evennement , je me sentais plutot désinvolte , traversant la cour de récréation vide en sauttant dans les flaques d'eau avec mes bottes de cheval en caoutchouc , ce qui n'était pas là non plus trés réglementaire en ces lieux , tout comme le knickers , considéré comme une tenue trop masculine et extravetie .
J'aurai du porter des petites chaussures plates et une juppe .
J'arrivais tout de méme à l'infirmerie avec quelques minutes de retard comme , le faisait constater la soeur infirmiére chargée de me reçevoir . Sortez votre flacon d'urine et déshabillez vous . Je posais le flacon sur l'evier et sortai dans le couloir , deux autres de mes camarades étaient elle déja en petite tenue . Je m'executai pour me retrouver au final en maillot de bain , en colants noirs que j'avais plaçé sous le maillot et avec mes botes aux pieds , provocation supréme .
L 'une des infirmiéres m'appelait pour subir les premiers examens . Elle m'intimait de mettre les pieds nus , pour l'embetter je lui expliquai que mes molets étaient gonflés ce qui m'empéchait d'oter mes bottes , de surcroit mes colants étaient pris sous le maillot et j'avais horeur de marcher les pieds nus sur le carrelage .
La soeur infirmière arrivait à son tour et disait queque chose comme : '' soyez raisonable ma fille , faites ce que l'on vous dit , c'est pour votre bien , votre santé .
La soeur directrice arrivait à son tour , j'avais tout de meme oté une botte , la médecin ne croyait absoluement pas à cette histoire de jambes gonflées et le fait d'avoirt coincé mes colants sous le maillot la mettait en colère .
La médecin s'entretenait avec la soeur directrice qui lui autorisait à me faire dénuder , devant les copines . Assez rigolée me disait la médecin , mettez vous toute nue .
Alors qu'une autre camarade se rabillait , je me retrouvais à cul nu . La médecin m'avait fait passer les premiers test à la fin de l'aprés midi , faisant passer mes camarades suivantes avant moi .
En fait j'ai passée la visite à proprement parler vers dix huit heures , pour subir les pires examens , mes parents avaient étes prévenus que j'étais en rettenue , médicale , ce qui m'avais mis encore plus ""LA HONTE !!!!!"" . Le pire à été le test d'éffort avant l'electrocardiogramme , sur le vélo ? avec une sérviette sous les fesses .
Quand j'y repense prés de trente ans plus tard , cela me fait bien rire , heuresement que j'étais dans un lycée de filles . Je devrais en avoir honte .

Par [visiteur] le 14/02/2010 à 09h40

Generallement quand le medecin scolaire te fait mettre toute nue , tu peux t'attendre à la totale , pour moi c'est arrivé en términale , pour la visite préparatoire au bac . j'ai eu le droit à un examen gyneco dans les régles et chose pas courante , une rectoscopie . Cà été pour moi une journée terrible , j'ai eu des douleurs au ventre durant les trois jours suivants . Dire qu'il fallait reprendre les cours juste apres , sans avoir le droit à un peu de repos , certaines s'efondraient en larme à cause des douleurs abdominales , durant les cours . Moi j'ai vomie en sortant du cabinet d'examen .

Par [visiteur] le 14/02/2010 à 09h51

Cela me rappelle la fameuse visite médicale que j'ai subie en términale à PARIS,il y a 35 ans environ . Ca ce passait le méme jour pour toute la classe,garçons le matin et les filles l'aprés midi. Au lieu d'aller en cours l'infirmière du lycée nous emmenait à la salle de cinéma,transformée en cabinét médical,à cette occasion.
En arrivant l'un des medecins présents,car ils étaient 2 , nous ordonnait de "nous mettre à l'aise "sur un ton plutot rigollard, ses propos étaient traduits par l'une des infirmiéres du service de santé scolaire par le celebre "Mésdemoiselles,deshabillez vous",pour ne garder que la petite culotte et surtout pas le soutien gorge,nénés à l'air pour tout le monde .
Une fois épluchées nous pouvions prendre place sur les bancs en bois disposés le long du mur Les rideaux des fenetres donnant sur la cour de récré n'étaient méme pas tirés,heureusement la salle était située au 3em étage, les quelque personnes présentes aux balcons et fenétres des immeubles en façe devaient étre des méres de famille qui étendaient leur linge, du moins nous l'ésperions .
La salle était réamenagée avec plusieurs tables situées au milieu, plus des bureaux .
Nous commencions par la pesée et mensuration avec les infirmières qui donnaient à voix haute les résultats pour que le medecin les enregistre, puis le questionnaire par le medecin, sans plus de discretion vis à vis de nos camarades .
Le medecin nous faisait ensuite asseoire sur la table d'examen, cette position surrélevée donnait une perspective imprennable sur une partie de la cour de récré, tant pis pour celle qui y passait au moment de l'interclasse . Au programme ausculations et palpations des ganglions du cou et de la poitrine. puis observation de la gorge ,des oreilles du nez et des yeux .Cela allait mieux losqu'il fallait s'allonger, on ne nous voyait plus de dehors et les copines en attente ne pouvaient voir que la plante des pieds, car nous étions les pieds nus, normal pour une visite médicale .
Cela se compliquait lorsque len medecin attaquait les palpations abdominales ert qu'il cherchait les ovaires, d'un geste franc et sans prevenir ,il retirait la culotte .Il faisait ensuite ecarter les cuisses pour obsever la chounette, puis il appelait l'infirmière pour l'assiter,il enfilait une paire de gants pour le toucher réctal avant de proceder dans les régles à l'examen gynéco.
Aussitot aprés nous devions passer sur le fauteuil d'examen du dentiste, à cul nu, puisqu'il mettait les culottes en tas prés du lavabo. Celui ci devait bien se marer, venait ensuite les test d'audition, de vision et de souffle avec les infimiéres, qui heureusement se passaient au fond de la salle le dos tourné, non loin du lavabo d'ailleurs, juste les fesses à presenter aux copines.
"Maintenant on va prendre la température"

Par [visiteur] le 16/02/2010 à 12h11

Désolé mais mon ordi a du planter , je vous raconte la suite de la visite de terminale à PARIS.
Oui l'une des infirmières nous prenait la température et à cette époque c'était dans l'anus,debout au milieu de la salle, le dos baissé, les fesses à ecarter avantde reçevoir,le baton merdeux,enfin ça c'etait apres le temps de chauffe.
Le dernier examen devait etre l'electrocardiogramme on était reliées à une machine sur roulette par tout pleins de fils electriques , on nous plaçait des ventouse sur tout le corps, ça me faisait assez peur .
Bon voila une fois la zizite terminée on pouvait remettre la culotte, avant d'etre de nouveau appelées par le medecin pour les résultats
Bou matinée en culotte et le cul nu au lycée.

=== Édition ===

Desolée d'avoir été un peu grossiére en parlant du thermometre , comme un baton m...... Si d'ailleurs vous pouviez supprimer ces mots , je réctifierai en disant que les instruments,d'introducions utilisé , comme le speculum et le thermometre n'etaient meme pas sterilisés entre deux filles mais simplement essuyés avec un coton alcoolisé et remis comme cela dans l'evier ou le personnel se lavait les mains .
A voir comment ressortait le thermometre il y avait de quoi etre degoutée .

Par [visiteur] le 21/02/2010 à 21h21

Moi aucune visite médicale dans ce genre que ce soit à l'école ou chez mon médecin. J'aurais refuser de toute façon. Par contre j'ai eu droit au déshabillage intégral aux urgences et ce pour des raisons totalement inapropriées. On m'y a obliger et si je refusais et bien on m'a déshabillée de force (hôpital d'Arles 1 fois, hôpital de Draguignan 3 fois et Hôpital Font-Pré Toulon 2 fois).Ils savent qu'ils risquent une suspension mais ils s'en foutent. Il faut porter plainte dans ce genre de cas

Par [visiteur] le 06/03/2010 à 09h16

j'ai aussi passé des visites médicales nu devant ma mere
le pediatre nous faisait entierement deshabiller,et ce meme adolescent

Par [visiteur] le 13/03/2010 à 08h43

ca m'est arrivé il y a quelques jours
ma mere nous a emmené moi et ma petite soeur chez la pédiatre qui nous siut depuis tout petit
j'ai 15 ans et ma soeur 12.5 ans
elle nous a fait passer la visite tout nu,chacun a notre tour et a appelé ma mere pour assister a l'examen
j'avais peur de bander

Par [visiteur] le 18/03/2010 à 16h57

mwa c la meme javai 13 ans gtt o foyer et la doctoresse ma demender dentre bon jui rentre elle ma demender denlever mon ho jai pas voulu apres elle ma dit mademoiselle enlever vortre pontalon je les enlever elle ma dit vortre souvétemen ossii et alonger vous et ekarter les jambe voila

Par [visiteur] le 05/04/2010 à 10h19

Pour rebondir sur ce qui a été marquer plus haut concernant les hôpitaux de Draguignan et Toulon, Arles jamais aller j'y ai eu droit moi aussi la semaine dernière a Draguignan. J'ai fais un malaise et on m'a transporter a l'hopital alors que j'aurais pu tout simplement aller voir mon medecin mais comme je suis enceinte ils n'ont rien voulu savoir les ambulanciers alors que dans l'ambulance je me sentais très bien de nouveau. Résultat arrivée aux urgences je suis prise en charge rapidement et une fois dans la salle je me retrouve face a un médecin homme qui prends une blouse et un sac et me demande de me deshabiller entièrement et de m'allonger sur la table afin qu'il puisse m'examiner. J'ai bien entendu refuser. Et bien j'ai été déshabillée de force gavée de calmants qui auraient pu me faire perdre mon bébé, aucun exame. Pratiquer juste un relucage et une tentative d'examen gynécologique alors qu'il n'est pas spécialisé heureusement que cela n'a pas eu lieu, un énorme bleu au bras a l'endroit ou j'ai eu perf et prise de sang pour me dire que j'avais juste eu une baisse de tension. J'ai porter plainte et les flics m'ont dit qu'en aucun cas un docteur n'a le droit de me forcer a me déshabiller ou a me déshabiller sans mon accord

Par [visiteur] le 10/04/2010 à 13h54

au lycée en seconde,je me suis rendu a l'infirmerie suite a de fortes brulures quand j'urinai
l'infirmiere m'a demandé d'uriner dans un flacon,a fait une analyse rapide,la bandelette a detecté la presence de sang dans les urines,puis elle a jeté un coup d'oeil a mon penis
( a sa demande j'avais enlevé mon jean et mon slip)
elle m'a dit que je devais consulter un medecin
elle a appelé mes parents pour qu'il m'emmenent chez un toubib
quand je suis arrivé avec ma mere chez le docteur,celui ci m'a fait mettre tout nu
il m'a examiné devant ma mere

Par [visiteur] le 10/04/2010 à 13h53

generalement c'est la mere qui accompagne les enfants chez le medecin
d'ailleurs il est frequent de voir des ados accompagnés de leur mere
beaucoup reconnaissent que celle ci assiste aux examens
il est vrai que certains medecins notament les pédiatres demandent souvent aux enfants de se deshabiller entierement pour l'examen médical

Par [visiteur] le 15/04/2010 à 08h37

Je vois que je ne suis pas la seule a avoir eu des problèmes avec l'hôpital Font-Pre de Toulon. Si j'avais su j'aurais aussi porter plainte car j'ai été déshabillée intégralement sans mon accord et de plus le docteur m'a toucher les seins en prétextant vérifier qu'il n'y es pas un quiste alors que j'étais venue pour une très grosse otite

Par [visiteur] le 20/04/2010 à 08h29

pour une visite sur les grains de beauté ma mere m'a accompagné chez une dermato (j'ai 16,5 ans)
elle m'a fait mettre completement a poil
bien sur j'ai eu droit a l'examen devant maman, la honte mais le plus dur pour un garcon c'est de ne pas bander dans ces circonstances et pourtant j'ai commencé a avoir un début d'erection pendant l'examen la c'est vraiment la honte tu te sens mal a l'aise

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h29

Bonjour, moi à 16 ans, j'ai eu une appendicite en plein mois d'août.
Mon père m'a accompagné chez le médecin, qui exerçait à 100 m de la maison. Nous habitions au n° 5 de la rue, et lui, il était au 1.
Bref, il m'ausculte le ventre, en me faisant retirer le haut, dégrafant mon pantalon et baissant un peu le slip. Il soupçonne une appendicite et me prescrit pour le lendemain, un examen sanguin, le premier de ma vie je crois, demandant au laboratoire de lui confirmer le diagnostic par téléphone et me priant de venir le revoir avec les résultats écrits.
48 h plus tard, toujours avec mon père (fallait bien payer la consultation), je retourne le voir et là, le verdict tombe : appendicite. Il me dit de me déshabiller complètement, d'enlever tout, pour me faire un toucher rectal pour définir s'il y a urgence à opérer ou pas. J'hésite. Mon père est là. Il ne m'a plus vu nu depuis l'âge de 12/13 ans... Et là, je dois enlever tout ! Surtout que le médecin insiste.
J'enlève, honteux, tout, surtout le slip. Et le médecin m'introduit son doigt, c'était la première et unique fois à ce jour, que je passais un toucher rectal.
Avec son doigt, il touche à tous les organes internes, me demandant si j'ai mal ici ou là... tout en me vouvoyant. Je ne me rappelle plus combien de temps cela a durer, mais j'ai eu la honte de ma vie.
Il confirme une appendicite à opérer très vite et me fournit un courrier (du moins à mon père) pour un chirurgien de la clinique la plus proche.
Là aussi, j'y suis allé avec mon père, pour les mêmes raisons. Là aussi, j'ai été, d'emblée, mis tout nu par le chirurgien. Il y avait bien des cabines pour se déshabiller, mais elles restaient ouvertes côté bureau du médecin, ce qui fait que ce dernier a assisté à mon déshabillage. Il m'a dit : enlève (tutoiement ici par contre - je n'ai que 16 ans !) enlève tout mais tu peux rester en slip.
Je me déshabille devant mon père et le chirurgien qui me conduit dans une autre salle où il y a la table d'examen. Je monte et il me palpe le ventre, l'endroit de l'appendice. Puis, il me fait soulever les fesses pour m'arracher (il n'y a pas d'autre mot) mon slip, qu'il jette par terre. On voit mieux ainsi, dit-il.
Mon père était présent, mais je ne sais pas s'il voyait ce qu'on me faisait. Car en plus de la palpation du ventre (ce pour quoi je venais), il m'a tâté allègrement mes testicules qu'il avait découverte sans aucune gène. Il les a trituré et tripoté tellement que j'ai eu mal quelques jours. Il m'a laissé comme ça, à poil, et est retourné à son bureau, d'où il m'a crié : Tu peux te rhabiller.
J'ai été quelques heures plus tard opéré de l'appendicite.
Un mois après, je devais retourner voir le chirurgien pour la consultation post-opératoire. J'y vais avec mon père, encore une fois. Même décor, même condition de visite. Mais là, j'ose lui dire : j'enlève le slip ?
Non, affirme-t'il, ce n'est pas nécessaire.
Et pourtant, en montant sur la table, il m'abaisse lui-même le slip jusqu'aux genoux pour observer la cicatrice.
Tout va bien, dit-il pour rassurer mon père et à mon adresse, il lance un tu peux te rhabiller.
C'était la dernière fois que j'allais chez le médecin avec l'un de mes parents. J'en garde un souvenir nostalgique de cette adolescence insouciante et à la fois, une espèce de honte bue.

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h25

C'est normal qu'un medecin vous demande de se deshabillé,il est là pour soigner notre corps
J'ai vu un dermatologue, il m'a posé des questions sur ce que j'avais, puis il me demande de se deshabillé complétement ,il me dit d'enlever pantalon , slips chaussettes , tout, je l'ai obéi, entièrement nu devant lui, je peux vous dire que je ne regrette pas d'être completement nu car il m'a bien soigné
J'ai eu un accident domestique, à l'hopital, les infirmières m'ont bien tout enlevés mes vetements, car je ne pouvais pas bouger, completement nu
Ce n'est pas une honte,
Un docteur m'avait dit que nous avons tous un corps masculin , feminin, rien de dégradant de se mettre nu
Ne critiquez pas les medecins car il y a des bons et des mauvais
Au centre de santé pour une visite médical complete de la tete au pieds ,c'est moi ,que je me suis mis à nu
je voualis que le docteur me regarde mon état de santé de mon corps

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h25

a 17 ans je me suis retrouvé nu sur la table d'auscultation devant ma mere qui m'avait accompagné
c'était pour une infection urinaire
le docteur m'a demandé de me mettre nu mais il a appelé ma mere "madame vous pouvez venir...."
je n'ai pas réagis,surpris
ma mere est entrée et bien sur tout l'examen s'est déroulé sous sont regard
décalottage,examen du penis,palpation des testicules,et meme toucher rectal pour verifier s'il ne sagissait pas d'une prostatite aigue
la honte a commencé a venir au moment ou je me suis rhabillé

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h29

ma mere nous emmenait 1x/an chez le doc depuis tout petit avec ma grande soeur
on passait la visite ensemble tout nu,puis quand ma soeur est arrivée ado,elle passait séparement,je ne la voyait plus nue,moi je passait ensuite comme j'étais plus jeune de3 ans et encore enfant ma soeur restait pour mon examen et elle me voyait nu
quand je suis rentré dans l'adolescence vers 12 ans (ma soeur en avait 15) le medecin n'a pas fait sortir ma soeur et j'ai continué a etre nu devant elle et ma mere

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h26

tout les ans je fais une visite médicale chez mon pédiatre qui me baisse le slip et me décalotte devant ma mère.

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h26

chaque année il y a une opération des dermato pour le controle des grains de beauté
ma mere m'a proposé de me faire controler
elle est d'abord passé dans le cabinet pendant que je suis resté en salle d'attente
puis ce fiut mon tour,la dermato m'a demandé de me devetir entierement
bien sur j'ai gardé le boxer,mais la dermato a insisté pour que je le retire
je me suis retrouvé a poil devant ma mere,a 17 ans ca fait bizare,surtout qu'elle ne m'avait pas vu nu depuis longtemps

Par [visiteur] le 04/05/2010 à 15h25

j'ai 14 ans a un moment de la visite la doctoresse m'a baissé le slip devant ma mere pour me palper les testicules et me decalotter

Par [visiteur] le 05/05/2010 à 18h24

j'ai horreur d'aller chez le docteur
pour la visite il me fait mettre tout nu
quand j'ai commencé a avoir des poils j'ai voulu garder mon calecon mais il m'a dit comme d'hab a poil
bien sur devant ma mere

Par [visiteur] le 05/05/2010 à 18h21

j'ai 14 ans quand mon pere ou ma mere m'accompagnent chez le docteur ils me voient pendant la visite vu qu'il n'y a qu'une seule piece
pendant la visite je suis en boxer sauf pendant quelques minutes ou le docteur me demande de l'enlever et de m'allonger sur la table il tate les testicules et me décalotte,puis apres debout il vérifie ma colonne
cela ne dure pas longtemps c'est vite passé
cet hiver au moment des grippes mon pere m'a emmené avec mon grand frere de 18 ans
lui aussi a du enlever son boxer

Par [visiteur] le 05/05/2010 à 18h24

la derniere fois que je suis allé chez le medecin avec mes parents c'était en 1976
je risque d'etre long car ce fut un grand moment
a l'époque j'étais en terminale et j'avais presque 18 ans
quand ma mere m'a annoncé qu'elle avait pris un RDV chez le pédiatre pour moi et ma petite soeur (qui a 7 ans de moins que moi) je me suis ennervé refusant d'y aller,me trouvant trop grand
ma mere a justifié par le fait que cela serait la derniere fois et que je devais faire des rappels de vaccins et que de toute facon le RDV avait été pris
j'avais toutes les raisons de craindre ce genre d'examen,pour moi aller chez ce docteur était un vrai supplice
tout se passait toujours de la meme facon
apres l'école ma mere nous faisait prendre un bain puis nous apportait des sous vetements propres
(dont le fameux slip kangourou de coton blanc)
puis le noeud au ventre nous nos rendions chez le toubib
quand nous rentrions dans le cabinet il y avait 2 salles contigues l'une était le bureau,l'autre la salle d'auscultation
il n'y avait aucune porte qui séparait ces 2 pieces donc aucune intimité possible pendant l'examen
avant de discuter avec mes parents le docteur a dit on commence par qui?
comme je redoutais cet examen et que je ne me suis pas proposé
c'est donc ma petite soeur est passée la premiere
il l'a accompagné dans la salle d'a coté puis il lui a demandé de se deshabiller entierement
puis il est revenu au bureau pour discuter avec mes parents
juste avant de partir l'examiner il m'a dit pour gagner du temps tu vas commencer a te deshabiller,mets toi en slip
puis ma mere l'a accompagné pour assister a l'examen de ma soeur
j'ai pu du bureau croiser le regard de ma soeur toute nue un court instant agacée que je la vois ainsi mais aussi le regard du docteur ce qui a renforcé mes craintes pour quand cela serait mon tour

je me suis donc mis en slip,je me rassurai en me disant que vu mon age l'examen se déroulerai cette fois en slip,vu que d'habitude je ne passait pas par la case slip mais allais directement a la case tout nu
bref quand l'examen de ma soeur s'est terminé ma mere et le docteur sont revenus au bureau pendant que ma soeur se rhabillait dans le cabinet

il m'a dit "et bien a toi maintenant" "enleves donc ton slip"
"ici""maintenant"ai je fait vu que l'on était dans le bureau
"oui pas dans la rue" m'a t il sechement répondu
et voila le grand moment que je redoutais tant le "laché de slip kangourou" dans le bureau devant mon pere et ma mere me voila entrain de faire glisser celui ci sur mes chevilles
bientot 18 ans et je me sentais terriblement infantilisé de vivre cette situation
ce que je venais aussi de réaliser c'est que forcement j'allais aussi forcement etre nu devant ma soeur
puisque le docteur m'invita a rejoindre la salle d'auscultation
forcement ma soeur n'avait pas finie de se rhabiller et je vis son regard plus qu'amusé de la situation
ma mere avait aussi suivit puis le medecin a dit a mon pere "vous pouvez venir"
le docteur m'a fait monter sur la balance puis mesuré
puis le check up complet du garcon a savoir palpage des testicules et decalottage sous les yeux de papa maman
le pire ont été les commentaires du toubib pendant l'examen du genre: "maintenant c'est un homme il a tout ce qu'il faut ou il faut "
en gros il aurait dit madame monsieur regardez la taille de son sexe! cela n'aurait pas été pire
jamais je ne me suis senti aussi mal
a la fin de la visite il a fallu que je rejoigne nu le bureau pour pouvoir m'habiller
j'en voulais a mes parents,surtout a ma mere de m'avoir imposé cette visite vécue comme une humiliation
au medecin limite sadique,
ma soeur qui a plus de caractere que moi a refusé de retourner chez ce medecin car elle n'amait pas ces visites
c'est donc la derniere fois ou nous sommes allés chez ce docteur
aujourd'hui quand on en reparle avec mes parents et ma soeur ma mere reconnait qu'avec le recul elle n'accepterai plus cela aujourd'hui,elle ne se rendait pas compte a l'époque que nous le vivions mal
qu'effectivement meme si c'était un très bon medecin elle reconnait que la situation était humiliante
il est vrai qu'a cette époque on ne prenait pas de précautions avec les enfants et ados
on ne tenait pas compte de leur intimité

Par [visiteur] le 17/05/2010 à 17h43

Moi mes parents me laissaient aller seul chez le médecin. C'était un gars d'une soixantaine d'années du genre sec. Assis a son bureau il me faisait souvent mettre debout a cote de lui pour m'ausculter les organes genitaux. Il me décalottait et palpait les bourses fermement en me fixant droit dans les yeux. Je crois bien que ça l'amusait de me voir me crisper. Un jour la porte du secrétariat était entrouverte et j'ai aperçu que la secrétaire matait tout. La ça était vraiment la honte LOL

Par [visiteur] le 03/06/2010 à 15h37

pour moi des visite de ce genre je ne me souvient juste d une j avais 8 ans quand le pediatrema fais alonger sur la table d oscultation il ma baisser le slip ensuite il ma palper le testicule et il ma decalotter sans me prevenir et la j ai hurler... bien sur tous cela devand ma mere il a juste dit "il y a quelaue adherance avec un decalotage regulier tous va rentrer dans c est a survieller"... sinon a apres j aller chez le medecin tous seul ou ma mere m attendais dans la salle d attente

Par [visiteur] le 05/06/2010 à 12h35

ce n'est pas un fantasme, j'ai 60 ans et je m'en souviens comme si c'était hier. A l'école comme chaque année le toubib baissait le slip et regardait sans plus. A 12 ans c'était une femme toubib qui m'a palpé les cacahuetes et essayé de décalotter mais elle a découvert un phimosis que mon docteur de famille n'avais jamais détecté vu qu'il ne baissait jamais le slip. Le toubib fait un petit mot à mon medecin de famille, ouvert pour que mes parents sachent pourquoi. C'était un peu avant les vacances de paques que je passais toujours chez ma grand mère qui voyait un medecin chez elle tous les mois. Ma mère avait confié le mot et demandé à ma grand mère que son médecin regarde ce qu'il y avait à faire. Sans hésiter, devant ma grand mère, ma tante et mon cousin un peu plus agé que moi il me demanda de monter sur une chaise et de baisser pantalon et slip. Après avoir bien tripoté il a déclaré que c'était un phimosis "lache" qui pouvait etre traité par des manipulations. Donc tous les soirs après manger et avant d'aller au lit je devais tremper zezette dans un verre d'eau tiède puis mon père devait tirer un maximum jusqu'à ce que ca me fasse mal et après me mettre une pommade. Au bout d'un mois ça embattait tout le monde moi le premier car je faisais ça devant ma mère et mon frère et des fois devant des amis de mon père qui passaient à l'improviste. Donc j'ai gardé mon phimosis et ce jusqu'à l'armée où le medecin militaire me faisait venir tous les jours et n'y allait pas avec douceur en forçant un max jusqu'au jour où ca a passé le gland. après je le faisais moi même et il contrôlait une fois par mois. Maintenant ça glisse tout seul mais quelle honte tout au long de ces année avec ce maudit prepuce en tetine qui attirait l'oeil de tout le monde.

Par [visiteur] le 17/06/2010 à 18h42

Moi aussi j’ai eu un problème à l’âge 15 ans. En plus ma mère était absente, c’est mon beau père qui m’a emmené chez mon médecin traitant pour un mal au ventre. J’ai du me mettre en soutient gorge et culotte devant lui, après palpation du ventre, il a suspecté l’appendicite.
Pour confirmer, il m’a demandé de quitter ma culotte pour me faire un touché rectal. Je vous dis pas la honte avec mon beau père qui matte, en plus cela faisait que 3 mois qu’’il habitait avec ma mère. Moi sur la table les genoux pliés et les jambes écartées, avec le médecin qui me met un doigt…
Et la suite n’a pas était mieux, je suis allée directement à l’hôpital en service pédiatrique, sans passer par les urgences. Ils m’ont installé dans une chambre à 3 lits, bien sur j’ai eu le lit du milieu, avec a coté de moi une fille de 10 ans et une de 8 ans.
Le pédiatre est arrivé avec une infirmière, il a dit qu’il allait m’examiner. Il a tiré le drap, je me suis retrouvée en sous vêtement, devant eux, mais aussi les parents des 2 autres filles et mon beau-père.
Après palpation, retoucher rectal, il a dit a l’infirmière qu’il me trouvait constipé. Elle est sortie, puis revenue avec un bidon et une canule. Le médecin m’a demandé de bien relever les jambes sur ma poitrine, pour m’introduire un lavement. Encore plus la honte, je me suis vidée dans les toilettes de la chambre avec un bruit pas possible.
Ensuite une infirmière est venue me préparer pour l'opération, j'ai du écarter les jambes pour qu'elle me rase le minou devant les parents!
Finalement, j’ai pu sortir le lendemain sans opération, c’était juste un problème de constipation, cela fait maintenant 3 ans et quand j’y pense, j’ai moins honte, quand on est malade il faut bien se soigner.

Par [visiteur] le 30/06/2010 à 18h48

Une de vos intervenantes parlait d'un centre situé sur Paris et d'un bilan médical complet de trois jours .

J'essaye tant bien que mal , d'entrer en contact avec d'anciens patients de ce centre , qui à fonctionné jusqu'au début des année 80 , d'aprés les sources que j'ai pu recueillir .

Pour moi , comme pour toutes celles et ceux qui y sont passés , cela était vecu comme un veritable calvaire , car comme je peux le confirmer il arrivait que l'on nous fasse deshabiller filles et garcons ensemble , surtout lorsqu'il n'y avait qu'un ou deux garcons dans la session , y compris pour passer à la douche .

Le pire pour moi n'etaiait pas là , mais bien dans le déroullement des examens médicaux et de leur consequences .

Il faut savoir que nous subissions de facon sytematique une ponction lombaire , sur l'instant mes parents , trouvaient cela normal et nescessaire , or les conditions d'hygienne ne respectaient certainnement pas les normes en la matière , puisque les infirmières utilisaient des seringue et des aiguilles réutilisables , qu'elles se contentaient de désinfecter à l'alcool à 90 , aprés usage .

Comme la dame qui en parlait precedement , mes parents m'ont envoyés dans ce centre jusqu'à 20 ans , la limite d'age . Ils me faisaient comprendre que le cout d'un tel bilan était assez élevé , je crois que cela devait leur couter autour de 2000 francs , par enfants .

Ils en attendaient donc de ma part de bons resultats et que je sois soumise à un maximum d'examens , preventif cela allait de soi . Outre la ponction lombaire dont je parlais precedement , nous en subissions un qui se déroulait durant toute la nuit , il n'etait pas obligatoire , mais mes parents tennaient à ce que je le subisse , et ce dés l'age de 17 ans , aprés tout me disait on tu es une grande fille , montre l'exemple devant ta soeur ...

Cela s'appelait l'examen complementaire , nous le passions dans une grande salle collective dés 20 heures , filles et garcons melanges .

Nous etions allongés sur des tables à peine rembourées et attachés au chevilles et aux poignets , sage precaution , puis reliés à tout un tas d'appareils , par tous les orrifices . Un tuyau dans la bouche pour la respiration , une sonde urinaire , et d'autres au niveau des veines pour le cardiographe , l'ancetre de l'electrocardiograme .

Seule consolation nous étions endormis par une piqure juste aprés l'appareillage et bien entendu , nous restions tous nus , sans le moindre drap , jusqu'au petit matin .

Vers l'age de 25 ans sans que personne ne puisse l'expliquer , mon état de santé s'est soudainnement degradé et j'ai perdu l'usage de mes jambes . Pour mes parents , il était hors de question de mettre ce centre en cause , bien au contraire .

Aujourd'hui j'ai 54 ans et votre site est sans doute le seul lien qui pourait me permettre de retrouver d'anciens patients qui auraient frequentés cet établissement .

Merci de vos réponses . Veronique de Paris

Par [visiteur] le 30/06/2010 à 18h58

---------- Citation ----------
"Nous etions allongés sur des tables à peine rembourées et attachés au chevilles et aux poignets , sage precaution , puis reliés à tout un tas d'appareils , par tous les orrifices . Un tuyau dans la bouche pour la respiration , une sonde urinaire , et d'autres au niveau des veines pour le cardiographe , l'ancetre de l'electrocardiograme . "
--------------------------------

Ils ont le droit de vous attacher comme ça ?
Et comment vous alliez aux toilettes ??
C'est pas normal !!
Tu entend quoi par "par tous les orifices" ? ça fait flipper de lire ça....

Par [visiteur] le 01/07/2010 à 17h53

Pour répondre à vos quéstions , nous étions attachés sur les tables d'examen pour plusieurs raisons , la première pour ne pas tomber durant la nuit de someil , la seconde pour ne pas bouger durant l'apareillage . Nous étions allongés sur le dos , toujours la téte à plat ,sans oreiller , les bras le long du corps et toujours tous nus ou toute nue pour moi .

Cela se passait dans une grande salle, d'une dizaine de places au sous sol du centre .

Personnellement je prenais le parti de me laisser faire , meme s'il est vrai que cela me faisait toujours assez peur, surtout quand je voyais l'une des infirmières arriver prés de la table sur laquelle j'étais allongée avec son air irronique .

Souvent elle disait " N'ayer pas peur jeune fille ca va bien se paser ou ca ne fera pas mal ."

Pour commencer elle installait la sonde urinaire , je vous laisse immaginner à quel point cela pouvait étre douloureux , cela devrait suffire à la quéstion pour les toilettes , s'en suivait le placement sur les narines du pince nez , pour nous obliger à respirer par la bouche puis on nous placait une embouchure entre les dents reliée à un gros tuyau , branché à un appareil qui servait à vérifier l'activité du coeur et des poumons .

L'appareillage se terminait par la mise en place des sondes , pour aller chercher le flux sanguin au niveau des veines des poignets et des chevilles . Pour résumer une infirmière placait de longue aiguilles , creuses dans les veinnes reliées à de petits tuyaux transparents , eux memes branchés à l'appareil que je viens de citer .

En fait à chacune des respirations ou des impulsions du coeur , cela dessinait sur un rouleau de papier diverses abaques , qui étaient interpretées par les medecin le lendemain matin .

Une fois que tous les patients etaient appareillés , une infirmière passait avec sa seringue pour nous injecter une sorte de sédatif pour que nous puissions dormir . J'aurais trouvé cela plus normal de nous l'administrer avant d'etre appareillées . Pour annecdote l'infirmière utilisait la meme seringue pour tout le monde .

Pour mes parents cela paraissait normal , apres tout à 17 ans je devenais une aduldte , responsable . Jusqu' à l'age de 20 ans j'ai eu le droit à chacun de mes bilans annuels à cet examen , qui je le rappel restait à l'initiative des parents . A cette epoque la majorité était fixée à 21 ans .

Autant dire que le soir , lors de l'admission mes parents en faisaient la demande aupres de la secretaire . Je demandais toujours à y passer le second soir , histoire d'en etre debarassé .

Pour ce qui concerne les orifices , je parlais de l'uretre et de la bouche , la tempèrature était prise chaque matin au réveil , par l'anus , une fois on m'a proposé de la prendre par le vagin , sans doute un délire de médecin .

En règle general le personnel médical de ce centre n'ètait pas tendre , la douleur n'etait jamais un problème et garre aux giffles , j'en ai recue queques unes , surtout la première fois .

La pudeur n'etait pas non plus leur souci , une année je suis meme passée devant le dentiste , sans la robe blanche avec laquelle nous étions habillés , je pense que son assistante faisait montre d'un zéle hors du commun et personne n'y trouvais rien à dire , c'etait comme ca ! Pour le gynecologue , je trouvais cela normale .

Voila si cela peut repondre à vos questions .

Cordiallement , Veronique

Par [visiteur] le 10/07/2010 à 00h50

Bonjour , Veronique, j'ai bien lue votre récit , lorsque j'étais au lycée à Paris,nous avions chaque année un check up complet qui durait une journée et qui se passait dans un centre situé dans la rue des Récolets , pres de la gare de l'est.
Personnellement je n'en garde pas de bons souvenir,de tous ces examens médicaux qu'il fallait passer que l'on soit d'accord ou pas.
Je me souviens que nous passions avec d'autres adolescents qui étaient là pour trois jours,on nous disait que nous avions plus de chance qu'eux,car ils devaient rester pour la nuit en ces lieux et que nous allions pouvoir sortir le soir.
Cela me paraissait etre une journée interminable que nous passions à atendre notre tour assises sur des bancs dans les couloirs en attendant d'etre appelées pour les diferents tests et examens.
Ce qui m'a l plus marquée était sans doute le fait que nous devions toutes nous dénuder,dans le couloir du rez de chausée avant de passer devant les medecins generalistes tout cela devant les autre jeunes patients,garcons et filles qui étaient sur place.Quelle honte!
Je pense que nous sommes passées dans le meme centre car je me souviens tres bien de la salle du sous sol ou l'on nous mettait sous une machine médicale pour verifier le fonctionnement du coeur,ce n'etait pas le seul examen impressionnant et douloureux (pour nous ca durait une heure par éleve).
Je me souviens que l'une des médecins,une jeune, demandait à l'une de ses collegues si elle devait nous faire subir la ponction lombaire...Bien entendu à cet époque je n'avais aucune idée de la facon dont cela se pratiquait.
Bien heureusement pour nous nous n'avons jamais eu à la subir,car nous ne restions pas pour la nuit en observation médicale.Pour ce qui était des autres examens médicaux nous avions la gyneco,à chaque fois et l'examen de l'interieur de l'estomac et de l'intestin avec un tube,le dentiste et d'autres,car il en avait tellement.J'allais oublier d'ajouter que nous étions mise à la diette toute la journée et ce depuis la veille au soir.
Pardonnez moi d'etre curieuse,mais si vous y restiez 3 jours,vous aviez des repas ou ils vous laissaient à la diette tout le temps,car les infirmières nous disaient que vous etiez privées de nouriture,vous aviez autre chose,certaines parlaient de perfusions???
Concernant le personnel,il sagissait en grande majorité de femmes,pas du tout comodes,assez autoritaires,surtout pour les infirmières,dont certaines faisaient pas mal de zele.
A cet epoque je ne pensais pas trop en sortant de ceux qui réstaient sur place,alors que nous retournions chez nous le soir.J'ai sans doute eu plus de chance que vous.
Je me souviens que dans le haal d'entrée il y avait des affiches sur lesquelles on pouvait voir des photos du déroullement de certains examens.Plutot que de me rassurer cela me donnait la frousse de voir ces jeunes filles et garcons dévetus,voire nus sous les appareils médicaux.Souvent il était marqué sur la légende une petite phrase un peu naive comme"c'est pour mon bien ou ca me m'a pas fait mal ou bien ce n'est pas impressionnant."
Evidement il fallait y croire.
J'ai effectuée aujourd'hui queques recherches sur ce centre,il était situé au 37 rue des récolets à Paris,dans le 11eme.Le batiment a ete demoli vers 1982 pour reconstruire d'autres immeubles à la place.
Voila si cela peut vous servir à rassembler des souvenirs
Anne Laure de Paris 12eme.
PS :Je souhaiterai pouvoir vous rencontrer ...

Par [visiteur] le 14/07/2010 à 19h10

De Anne Laure : Merci à votre site pour avoir publié mon commentaire , cependant lorsque j'ai pu lire les differents messages je m'appercoit que cela tourne autour des petits complexes d'ados qui ont peur de se montrer tout nus lors de consultations médicales .
Je pense qu'il faudrait bien distinguer les consultations et les visites medicales , voir comme pour moi les check up ou bilans medicaux qui sont bien plus complets et approfondis quand aux examens subis .
Il faudrait egallement pouvoir distinguer les hospitalisations suite à des problemes de santé et les actions de médecine preventive .
La nudité est souvent evoquée comme une honte supreme pour des ados , j'ai aujourd'hui 48 ans et je me rend régulierrement chez mon medecin pour des examens ou je suis obligée de me denuder ...
A quinze ans losqu'une infirmière vous ordonne de vous dénuder , de facon collective dans un couloir , au froid et à la vue de tout le monde on prend cela pour une mauvaise plaisanterie , un peu mons lorsqu'une autre distibue les thermometre et nous ordonne de les placer au bon endroit , c'est à dire et sans tabous dans l'anus .
J'ai bien du rester comme cela une bonne heure en attendant mon tour pour la première consultation chez les medecins generalites , debout , nue , car avec le tube de verre en place il était hors de question de s'asseoire sur le banc .
Je precise que la medecine generale se déroulait de facon collective cinq par cinq , sans aucune intimité . Ce qui pour l'epoque semblait normal .
La première année ou je suis passée dans ce centre , nous sommes toutes réstées nues , jusqu'à midi , car la blanchisserie qui devait livrer les robes propres avait eu du retard .
Cela ne gennait personne de nous voir ainsi et déambuler dans les couloirs pour nous rendre chez les medecins specialistes .
Voila , je ne suis pas contre les visites medicales ou les check up en milieu scolaire , si cela se passe dans de bonnes conditions ...
Merci pour votre site .

Par [visiteur] le 24/07/2010 à 12h52

Le manque d'intimité , les examens réalisés en groupe étaient une pratique encore courante , jusqu'à la fin des années 70 , surtout à Paris ou nous avions le privilége de disposer sans doute du plus grand nombre de médecins scolaires . Lorsque je parlais de nos visites médicales avec des cousines de province , celles ci s'étonaient de la facon dont cela se déroulait pour nous . Pour commencer nous n'etions jamais prevenues à l'avance , l'infirmiére du lycée arrivait au début de la première heure de cours et annoncait ce qu'elle appelait " la bonne nouvelle " . " Visite médicale . "
Pour nous au lycée cela se passait sur une demie journée , nous devions d'abord nous déshabiller , dans un couloir , de batiment de cours , toutes le trentes de la classe avant de nous asseoire sur les bancs installés contre les murs .
Nous n'etions pas examinées à l'infirmerie , mais dans une salle de cours requise pour cette occasion .
Une fois en petite culotte et rien d'autre nous devions nous rendre aux toilettes pour prelever nos urines , heureusement cette salle se trouvait prés du palier , ce qui limitait le deplacement .
Nous ne pouvions rien garder d'autre que la culotte , les surveillantes qui effectuaient des rondes régulierement verifiaient que celles qui attendaient leur tour ne se rechaussaient pas ou ne remettaient pas un pull , la pire de toutes étaient l'infirmière de l'assistance publique qui accompagnait le médecin , entre nous nos l'appelions folkoch , pour de multiples raisons , nos seins devaient rester nus queque soit leur développement , lorsque nous arrivions avec l'infirmière du lycée elle commencait par la phrase suivante : " déshabillez vous ... vous ne pouvez garder que le slip , seins et pieds nus , pas de chaussettes .
Les pire moments était ceux des interclasse ou de la récreation , en principe personne ne devait passer dans la partie de couloir ou nous attendions , queques uns ouvraient incidueusement les portes separatives entre le milieu du couloir ou le palier , comme d'un fait exprés ce jour là tout le monde se rendait aux toilettes sur ce palier .
Certains devaient bien en profiter ....
Une année , je devais étre en première un photographe se tennait au milieu de la salle , pour un reportage sur la visite médicale . Ces clichés ont servi pour le service de documentation pédagogique , celui ci ne photographiait que les filles qui comme moi avaient peu ou pas encore de poitrine . La medecin prenait la pose selon ses desirs , je devais alors regarder l'objectif , sans sourire , il en a meme fait une lorsque la médecin me baissait la culotte pour les palpations .
Ces photos ont presque fait le tour de la terre puisqu'une enceclopedie pour enfant me montrait allongée sur une table , pour l'electrocardiogramme ,la culotte sur le bas du ventre et non sur le nombril , une autre me montrait debout , la bouche grande ouverte face à la medecin . Certainnes personnes dans mon entourage avaient pu les voir et les commentaires allaient bon train comme , ho tu as l'air d'avoir peur ou une autre portait sur mes pieds , car la plante ,losque j'etais prise allongée apparaissait , cela faisait bizare . Je me souviens que l'un de mes cousins n'arrettait pas de me demander en ouvrant ce bouquin devant moi , ce qu'on m'avait fait durant la visite médicale au lycée . Cela m'embarassait ....

Par [visiteur] le 24/07/2010 à 12h52

De veronique pour anne laure , la diette avait lieux pour nous le premier jour , en fait nous n'avions pas de repas la veille au soir en arrivant , nous restions 24 heures sans repas , car le premier du sejour nous était donné le lundi vers 19 heures , par contre je ne savais pas que des écoles y envoyaient leurs éleves pour une journée ... Je vous remerci de votre temoignage ... Au fait vous appeliez cela un check up , je ne connaissais pas cette expression ...

Par [visiteur] le 24/07/2010 à 12h52

le plus génant quand tes parents assistent a la visite c'est quand le docteur te décalotte devant eux

Par [visiteur] le 24/07/2010 à 12h52

Moi, à 16 ans j'ai été opéré de l'apendicite. Ma mère est venue le lendemain avec ma soeur et une cousine de 12 ans qui passait la journée avec ma soeur. Je ne sais pas pourquoi mais pendant l'opération, on m'avait un tuyau pour faire pipi.
En arrivant, ma mère a voulu voir ma cicatrice. Evidemment, elle a soulevé le drap et comme je n'avais que la chemise de l'hopital tout le monde ma soeur et ma cousine ont vu mon zizi avec le tuyau, en plus j'avais été rasé pour l'opération. J'étais gêné.
5 minutes plus tard, une infirmière est venue pour me retirer la sonde urinaire. Elle a demandé à ma mère de sortir, mais elle a dit que j'étais son fils qu'elle me connaissait par coeur. du coup, elle est restée mais ma soeur et ma cousine aussi!
L'infirmière m'a découvert et à pris mon pénis puis a tiré sur le tuyau. j'ai un peu crié. Les filles ont rigolés.

Par [visiteur] le 24/07/2010 à 12h53

nue devant ses parents ,un docteur, une infirmiere ou encore des personnes de meme sexe ok

mais devant des copins copines de sexe oposes ou de jeune frere et soeur bonjour l'angoisse

Par [visiteur] le 29/07/2010 à 20h18

J' ai comme beaucoup d'entre vous de biens mauvais souvenirs des bilans de santé que nous devions passer en famille dans un centre de la securité sociale . Celui ci se pratiquait des l'age de quinze ans , pour les enfants plus jeunes un service de garderie était assuré par des nurses .

Les jeunes enfants devaient quand meme subir la première partie , celle des examens de medecine generale , apres ils pouvaient se rendre à la salle de jeux , pendant que les parents ou les freres et soeurs adolescents , passaient les examens plus approfondis avec les medecins de l'hopital .

Nous etions separés des l'arrivée et emmenés dans des services differents que l'on soit adulte , homme et femme ou ados filles et garcons en fait chacun des groupes occupait un étage du batiment , sauf nous les filles qui étions examinées au sous sol , un sous sol partiel puisque celui ci donnait dans sa partie haute sur le parc privé du centre .

Nous devions apporter une robe de nuit , pas un pyjama , des l'arrivée dans le service les infirmières nous faisaient deshabiller dans un vestiaire , seulement en petite culotte , j'avais un peu l'habitude car au lycée c'était pareil , puis nous passions à la chaine dans la salle des infirmières pour etre pesées et mesurées plus la prise de sang , apres nous passions chez le medecin chef de service , il sagissait toujours d'un homme qui en arrivant dans son cabinet nous faisait enlever la culotte , mais ca ce n'est pas le pire ...

Apres sa première visite , plus approfondie que celle du lycée , si vous me comprenez , on nous faisait remettre des culottes en papier , fermées sur le coté par des adhesifs , pour resumer cellesci ressemblaient à des couches . Une fois de retour dans le couloir nous pouvions porter nos robes de nuit et passer au dortoire pour l'attente .

De nos lits nous pouvions entendre les enfants jouer dans le parc , mais pas les voir , car les rideaux sur les vasistas étaient tirés , cela n'était pas le cas des salles d'examen , souvent certains venaient voir ce qui se passait
et pouvaient à loisir observer nos anatomies sans que nous ne puissions rien dire .

On pouvait les entendre faire des commentaires sur nos slips ou nos gougoutes , comprenez les seins , heureusement que la gyneco se passait dans une salle du coté opposée au parc ...

En sortant le soir j'en voulais à mes parents de m'avoir fait vivre tout cela , j'avais honte , mais chaque année il fallait y passer , c'était obligatoire...

Par [visiteur] le 11/08/2010 à 12h43

mdr lol le/la povre

Par [visiteur] le 11/08/2010 à 12h44

Tous ces récits de visites collectives m'horripilent et me font vomir ! La seule visite médicale, si on peut l'appeler ainsi, est celle que j'ai passé en 3ème, en début d'année. Ce n'était pas l'infirmière qui venait, ni le médecin scolaire... C'était le ... prof de gym, eh oui !je dis bien le prof de gym !
Dans mes années antérieures, c'est-à-dire de la 6ème à la 4ème, je n'ai jamais eu ça. Mais un problème d'orientation en fin de 4ème, m'a fait changer d'école et je me suis retrouvé pour ma 3ème en CEG (je venais d'un lycée - le CEG c'était pour les refoulés du lycée - CEG = collège d'enseignement général, pour les anciens).
Le prof de gym arrive dans la salle de classe, sans prévenir le professeur qui était là à faire son cours, en l'occurrence, une professeur d'anglais. Celle-ci s'éclipse pendant la pesé, car il ne s'agissait que d'une pesée. Les anciens élèves de cette école savaient qu'une pesée générale avait lieu en début d'année, mais les nouveaux arrivés, comme moi, n'étions pas au courant.
Et tout le monde passe par ordre alphahébétique.
Je ne voulais pas me déshabiller devant tous mes camarades, surtout que le prof avait dit de se mettre soit en slip, soit en pantalon (c'était une école de garçons, comme il y en avait encore au milieu des années 70 !). D'aucun se sont mit en slip (kangourou), sans gène, sans pudeur ! ils en avaient l'habitude.
Du fait que mon patronyme se trouve à la fin de l'alphabet, et que la séance de pesée s'est éternisée, je n'y suis pas passé ce jour-là !

Par [visiteur] le 11/08/2010 à 12h45

Ma mère m'a emmené chez un pédiatre qu'on lui avait recommandé. Je n'étais pas malade. Elle voulait juste vérifier que j'allais bien. Mes 2 parents m'ont accompagné.

Je devais avoir 15 ans. J'avais peur que le pédiatre ne me chasse en disant qu'à cet âge je n'avais rien à faire chez lui.

Il m'a ausculté. Il m'a fait baisser mon slip et a dit " Il est en pleine puberté ! " Et il a répété : " Il est en pleine puberté ! "

Moi, je traduisais, "Qu'est-ce qu'il fiche chez moi ! Je soigne les enfants pas les adultes. " J'aurais voulu partir immédiatement.

La consultation n'a pas duré beaucoup plus longtemps.
Je pense que mes parents assis devant le bureau du docteur ont dû me voir. Mais le problème n'était pas là, C'était de sentir que je n'étais pas à ma place, que j'abusais de la patience de ce médecin.



Par [visiteur] le 11/09/2010 à 00h18

J'ai un peu de mal à comprendre les polemiques concernant le centre d'education à la santé de Paris , car depuis l'age de 7 ans , jusqu' à ma majorité , j'y suis passée ...
Certe la première fois ce fut un peu par surprise , mais en aucun cas cela m'a traumatisé , jusqu' à l'age de 13 ans cela se passait sur une journée complette , il fallait arriver à 7 heures à jeun .
Je trouvais cela assez drole de passer entre les mains de tous ces medecins et infirmières pour étre examinée sous toutes les coutures , j'appelais cela la journée à l'hopital ou en pyjama , sans les parents .
La discipline n'était guerre plus sevére qu'à l'ecole , bien sur il n'était pas permis de jouer ou de bavarder durant l'attente au dortoire .
Les examens étaient adaptés à l'age , là aussis pour moi rien de trop impressionnant , ni de trés douloureux , je pense que certains ont tendance à exagerer , je ne souviens pas d'avoir tant soufferte , un peu peut étre de l'abscence de mes parents la première fois .
A 13 ans j'ai passée le premier grand bilan de santé sur les trois jours , là aussis j'ai eu un peu peur la première fois , de devoir dormir sur place , de subir des examens plus approfondis , je m'y suis fait tres vitte et contrairement aux temoignages precedents jamais je ne me suis retrouvée toute nue dans le couloir , je me demande d'ou vient tout cela .
A 17 ans j'ai subie mon premier examen de nuit , pour moi pas de probleme , on s'allonge sur la table , on se detend et on se laisse faire pour l'appareillage , croyez vous là aussis que cela soit aussis douloureux .
Lorsque nous passions les visites médicales au lycée , cela me faisait bien rire , car à coté des examens que l'on nous passait au centre , on ne nous faisait quasiement rien .
Bon voila je n'ai rien de plus à ajouter sur cet établissement , je pense qu'il ne faut pas trop croire les histoires de douillettes qui ont peur des piqures .
Domage que celui ci ai disparu ....

Par [visiteur] le 11/09/2010 à 00h16

Dans un passé pas si lointain , j'avais 17 ans , en 1ère au Lycée la doctoresse ne m'a pas fait mettre nu mais elle avait souhaité vérifier la descente de mes testicules. A travers le slip elle m'avait palpé prudemment puis sa main est allé toucher une après l'autre mes couilles d'adolescent par l'ouverture du slip. Elle a du avoir un doute parce qu'ensuite seulement elle m'a demandé de m'allonger sur le lit de l'infirmerie , m'a baisser mon slip sur les chevilles m'a demandé de relever les cuisses puis a continué son examen. Elle m'a expliqué qu'elle avait du mal à distinguer si j'en avais bien deux...Elle me laissa même me décontracter un peu pour parfaire son examen. J'étais angoissé mais pas du tout excité. Mon sexe n'a montré aucune érection durant tout l'examen , d'ailleurs je ne me souviens pas qu'elle ait touché mon pénis. Elle conclut positivement bien qu'elle me dise que pour mon age elles étaient vraiment petites.

Pour les vicieuses à noter que la secrétaire qui notait tout sur mon carnet médical est restée présente et n'a rien perdu du spectacle pendant tout le temps. A l'époque cela m'a presque traumatisé mais en fait comme j'avais été soigné quelques années à la cortisone peut être que cela a une influence sur le développement des glandes sexuelles. Même à l'armée je n'ai jamais eu d'autres examens de ce type. J'étais seul à cet examen , ma mère ne venait pas à ce type d'examen

Par [visiteur] le 11/09/2010 à 00h19

J'ai subi une autre fois une honte chez un médecin... mais avec le temps, je crois que ce médecin n'a fait que son travail.
C'est dans un salon de coiffure de grande renommée où je me suis rendu par hasard, qu'une coiffeuse qui s'occupait de ma tête m'a conseillé d'aller voir un dermato. Je devais avoir environ 20/21 ans, et j'ai été surpris de cette réflexion ! Bien longtemps après cette coupe de cheveux, je me décide à consulter un dermato, pour ce problème de cuir chevelu. A quelques pas de mon travail, un dermato s'est installé : son prénom est mixte, du type Claude, Camille ou Dominique.
Je prends rendez-vous et à ma grande surprise, c'est une femme qui me reçoit, c'est elle le médecin (je pensais au début qu'il s'agissait de la secrétaire !). Elle me questionne sur les raisons de ma venue. Je lui explique. Problèmes de cheveux détectés par une coiffeuse. Elle quitte son bureau et me fait aller vers le fond de la pièce où elle allume des lumières bleues sous lesquelles je m'assoie. Puis elle me demande si je n'ai pas d'autres problèmes de peau ailleurs. Je lui dit que non, mais elle insiste en précisant que puisque je suis là, c'est bien de faire une consultation générale de la peau. Sur ces insistances, j'accepte et à sa demande, j'enlève mon t-shirt et mon pantalon et je m'allonge sur une table d'examen. La même lampe bleue est passée sur tout mon corps qui est examiné à la loupe. Puis elle passe ses mains sur mon corps, de face d'abord. Arrivé au pubis, elle me demande d'enlever mon slip. J'hésite, je ne sais pas quoi faire... Je suis venu ici pour un problème de cheveux, et me voilà en slip ! Elle insiste. C'est pour votre bien... Je me redresse sur la table et ôte mon slip. Et me voilà tout nu, la HONTE DE MA VIE !
Mais elle, elle est contente : c'est bien mieux ainsi. Et elle examine mes parties avec douceur mais insistance et finit par trouver des grains de beauté à surveiller, un peu partout.
Pour finir la consultation, je me mets sur le ventre et elle m'examine en détails, le dos, les fesses, qu'elle m'a écarté, les cuisses et les jambes.
Je me rhabille, honteusement en rougissant et elle me donne une ordonnance avec une autre visite dans un mois.
Un mois après je retourne la voir, et cette fois-ci, tout de suite, sans rien demander, je me suis mis tout nu, à poils... C'est là qu'elle m'a dit que ce n'était nullement nécessaire! deuxième honte ! ! ! mais comme j'était tout nu, je n'avais qu'à rester comme ça. Et là, elle ne m'a pas touché, elle n'a fait que regarder, c'est tout.

Par [visiteur] le 11/09/2010 à 00h20

C'est tout récent : un mal de ventre tenace me fait me diriger suivant un courrier de mon médecin au service des urgences de l'hôpital le plus proche.
Outre le fait que j'ai été très bien pris en charge et bien soigné, je mets un bémol sur la visite du médecin.
Allongé sur un brancard, il me questionne et enregistre mes réponses sur un ordinateur. Puis, il s'approche de moi pour passer à la consultation à proprement parler. Il soulève mon t-shirt et dégage mon torse et l'abdomen, sur lequel il appuie en maints endroits, me demandant si j'avais mal. Puis, il défait lui-même (j'aurai pu le faire moi-même) ma ceinture et baisse mon pantalon, jusqu'à mi-cuisse. Je me suis senti humilié et honteux alors que c'est un geste que j'aurai pu faire tout seul. Mais ce médecin m'a immobilisé. Il a ensuite baissé un peu mon slip puis a appuyé fortement sur mes testicules à travers le slip. Il ne m'a pas découvert mes parties, mais le pincement qu'il a exercé à cet endroit a provoqué une érection et il s'en est fallu de peu pour que j'éjacule ! j'aurais eu la honte de ma vie, si cela c'était produit. Ce médecin manquait de délicatesse, de tact et de douceur !

Par [visiteur] le 11/09/2010 à 00h21

je me rappele un jour avoir assisté a la visite médicale de mon grand frere
c'était vers 1978 pour la rentrée scolaire,ma mere nous avait ammené en ville pour nous acheter des vetements,en fin d'apres midi on avait rendez vous chez un dermato pour mon frere qui avait un petit probleme d'acnée dans le dos
nous sommes tous les trois rentré dans le bureau du docteur,après avoir posé les questions d'usage le dermato a demandé a mon frere de se dehabiller entierement
il s'est mis en slip ce qui déja m'a amusé,il faut dire qu'a l'époque j'avais 9 ans,l'age bete et que pour une petite soeur voir son grand frere de 15 ans devoir ainsi se mettre en slip avait quelque chose de cocasse
mais le dermato lui a lui a rapidement dit,enleves aussi ton slip
mon frere très géné s'est executé,du coup j'ai vu mon frere dans le plus simple appareil pendant toute la durée de la visite
il était déja ado et assez avancé en puberté,je ne vois pas très bien l'utilité de l'avoir fait mettre nu,surtout en ma presence,encore devant ma mere cela aurait pu se comprendre
en tout cas comme j'étais en plein age bete je l'ai nargué un bon moment avec cette histoire

Par [visiteur] le 23/09/2010 à 11h41

Je souhaiterai savoir si lors des visites medicales en lycée , le medecin à le droit de nous observer l'anus , car cela me gene , coment ne pas avoir à subir cet examen . Il semblerait qu'en classe de terminale nous devions passer ce qu'ils appellent un bilan de santé , apparement ca se passe dans un centre ou à l'hopital , je ne sais pas encore .

J'ai lu les differents temoignages sur les bilans de santé , ca me fait tres peur d'y passer , à quoi sert une ponction lombaire et est ce que ca fait vraiement tres mal ... Bon j'attend vos reponses pour tout dire je n'ai pas trop envie de m'y rendre ...

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h39

début des annés 80,mon lycée a Lyon était a coté d'une école d'infirmieres ;au lycée pour la visite médicale ils ont fait venir 5 ou 6élèves infirmieres pour assister aux visites
a un moment j'étais debout,la doctoresse m'a baissé le slip qui est tombé a mes chevilles et m'a palpé les testicules et décalotté en prenant bien soin que ces jeunes filles ne perdent pas une miette du spectacle,je devais avoir pas loin de 18 ans et sur le moment j'ai vraiment eu la super honte

Par [visiteur] le 05/10/2010 à 15h40

j'ai accompagné regulierement mon fils chez le medecin
depuis tout petit
mon fils a bientot 17 ans
cette année suite a un déménagement j'ai pris un rendez vous pour lui chez un nouveau medecin
je l'ai donc accompagné a cette visite
nous avons été recu dans le bureau,après avoir fait le point ,la doctoresse la quarantaine,a demandé mon fils de passer dans la salle d'a coté pour l'examen
elle m'a invité a les suivre,j'ai lancé un regard a mon fils et vu qu'il n'y voyait pas d'inconvenient
elle lui a demandé de se deshabiller entierement,mon fils s'est mis en boxer,mais la doctoresse lui a dit de l'enlever
c'était la premiere fois qu'on voyait cette doctoresse,mon fils un peu géné a retiré son boxer c'est donc tout nu que mon fils a passé l'intégralité de l'examen
je ne sais pas si cette situation a troublé mon fils ou si c'était nerveux mais il a eu un début d'érection après que la toubib lui ai éxaminé ses organes génitaux
mon fils après cette visite m'a dit qu'il avait eu un peu honte,en parlant de l'erection mais que cela ne l'avait pas dérangé d'etre éxaminé nu devant moi,

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 17h50

Bonsoir, j'ai eu moi aussi quelque chose de similaire, j'avais 12 ans, donc l'année dernière, j'avais très mal au ventre, alors ma mère m'a emmené à l'hôpital, après avoir attendu un peu longtemps. On est entré dans la salle moi et ma mère, le docteur m'a dit de me déshabiller, je suis rester en slip, il m'a allongé sur la table et à mit les mains à travers le slip pui m'as palpé les testicules.

La honte

Par [visiteur] le 02/11/2010 à 17h50

cela n' est pas de chance d' avoir baissé son caleçon je ne sais pas si il avait une errection

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h26

Je n'ai jamais suivi cette visite aussi humiliante, mais ça va bientôt arrivé je pense... Personnellement je ne suis pas du tout le genre à me laisser faire...

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h25

moi j ai eu depuis tout petit jusqu a 9 ans de 1 a 2 visite par an chez le pediatre a toulouse (dr mazé). Quand j arrivais je me mettai en slip et la il me pesé me mesuré écouté le coeur etc et il me baissé le slip et me fesé sortir le glan qu il regardé 30 sec en gros ainsi ke lé boules. C est vrai que j étais petit mé ma mere était au bureau et elle voyai et ca me géné un peu a force. Mais au final j ai 16 ans maintenant et je suis bien content qu il est fait ces examens la car j ai jamais eu de probleme alors que certains ne controle jamais et se retrouve plus tard avec des problemes.

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h26

je suis un papa ,j'ai accompagné mon fils chez le medecin recement.comme c'était en periode de vacances c'est un remplacant qui l'a examiné,un jeune medecin.Il a demandé a mon fils de 16 ans de se mettre tout nu,il l'a ausculté très meticuleusement des pieds a la tete, j'étais géné pour lui surtout qu'a un moment j'ai vu le penis de mon fils commencer a grossir,mais cela n'a pas duré heureusement pour lui.c'est vrai j'ai assisté a l'intégralité de la visite et j'avoue etre content d'avoir vu comment il était fait
mais a l'avenir je lui demanderai si il ne prefere pas que je sorte

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h26

moi j'ai été circoncis a 16 ans devant ma mere et mon pere

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h26

Bah moi j'en ai passé des visites médicales, mais on ne m'as jamais mis TOUT nu ! c'est quoi cette nouvelle mode ?? pfff

Par [visiteur] le 16/11/2010 à 15h27

Bonjour ou bonsoir, suivant l'heure à laquelle je vais être lu.
Voilà ce qu'il m'est arrivé, il y a quelques années, je crois que depuis, je n'ai jamais connu pareille honte !
C'était à l'hôpital où je rentrais pour une hernie inguinale. Le chirurgien qui allait s'occuper de moi, m'avait expliqué en consultation pré-opératoire, ce qu'il allait faire.
C'est de cette consultation que je vais vous relater.
Dans la salle d'attente de l'hôpital, une femme en blouse blanche vient me chercher et me fait patienter face à une porte avec un numéro : c'est le bureau où va me recevoir le médecin.
J'entre et lui donne le courrier de mon médecin qui a diagnostiqué la hernie.
OK, dit-il, déshabillez-vous, on va voir ça de plus près. Baissez uniquement votre pantalon et le slip.
Je fais ce qu'il me dit et me voilà avec mon pantalon sur mes chevilles.
Ah enfin ! quelqu'un qui ne met pas de caleçon. C'est bien, ça, me dit-il. Je reste stupéfait, mais je ne fais aucun commentaire.
Exhibant mes parties, le médecin se met à genoux et met ses doigts dans mes bourses en appuyant très fort. J'ai crié sous le coup de la douleur...
Et voilà qu'à ce moment précis, entre sans frapper la personne qui m'a conduit à la porte du cabinet, et qui était sa secrétaire. Imperturbable, le chirurgien continue sa consultation, malgré mes plaintes sous les yeux de la secrétaire qui n'a rien perdu de la scène.
Pourquoi est-elle rentrée à ce moment-là ? Je ne sais pas. Ce n'était pas pour des raisons professionnelles, puisqu'aucun propos de cette nature n'a été échangé à cette occasion.
Le médecin, lui continuait à massacrer mes testicules et le bas de mon ventre, toujours en présence de la secrétaire.
Puis elle est repartie, comme elle est venue, le médecin est retourné à son bureau, d'où il m'a dit que je pouvais me rhabiller.
Il m'a expliqué en détail comment allait se dérouler l'intervention et quel jour.
Le système de la carte vitale n'existant pas encore, il m'a remis une feuille de soin et je devais régler la consultation à sa secrétaire.
Quand je suis entré dans son bureau pour payer, je me suis senti rougir de honte, à l'idée de savoir qu'il y a à peine 5 minutes, elle m'avait vu dans une fâcheuse position !

Par [visiteur] le 10/12/2010 à 15h55

j'ai 19 ans il y a 2 mois il apparait un kiste sur une testicule je decide tres inquiet d'aller consulter chez ma docteresse et lui explique mon probleme elle decide
d'examiner je baisse donc mon boxer tres gene etant
tres pudique et surtout tres inquiet du resultat
elle decide donc une echographie ce que je fais aussitot
et encore une fois ce fut une femme radiologue tres sympa qui met a l'aise le resultat kiste anodin a laisser
tel quel
bilan ne pas avoir honte c'est avant tout des medecins
ils ont l'habitude de ces situations et je les remercie
je suis aujourd'hui debarrasse d'un probleme banal qui
me faisait du souci

Par [visiteur] le 12/12/2010 à 11h07

moi c'est ma mère et ma tante qui m'ont emmenés voir le medecin pour qu'il regarde si je décalote bien ma mère lui a dit qu'il fallait qu'elle tire très fort sur le tétine pour la dérouler entièrement pour faire sortir le gland et elle lui a dit que le testicule droit est plus gros et il pend plus bas que le testicule gauche alors on m'a fait rester entièrement nu et il m'a déroulé la tétine tout doucement pour regarder le gland se décaloter ma tante a dit ça lui fait un très beau col roulé tout frippé autour du gland elle est très longue sa tétine c'est mignon à regarder et il a continué à faire des vas et vients tout doucement et à force ma bite est devenue toute raide je savais pas quoi faire je disais rien et d'un seul coup y'a mon petit jus qui est partit tout seul sans prévenir j'ai rien pû faire je hurlais de toutes mes forces à chaque giclée alors ma tante à dit eh bien dis donc ça fais plaisir de l'entendre crier comme ça au moins ça veut dire que ça lui fait du bien et qu'il adore ça mais quand ça s'est arrêté de gicler ma mère m'a disputé elle m'a dit regarde ce que tu as fais tu en as mis partout pourquoi tu l'as pas dis que ton petit jus voulait sortir tu l'as bien sentis monter quand même j'ai dis oui mais c'est partit du seul coup sans prévenir alors le medecin a dit c'est pas grave c'est une éjaculation spontanée ça se contrôle pas on peut rien faire ça part tout seul tous les petits puceaux font leur petit jus très très vite par contre y'a de la pression c'est partit loin il faudra le laisser tout nu décaloté le gland à l'air à la maison pour que la tétine s'élargisse

Par [visiteur] le 21/12/2010 à 08h24

Le centre d'education à la santé de Paris , je m'en souviens , trois jours d'examens medicaux , pour quoi faire , je me le demande , de honte à devoir prendre les douches ensemble ou de passer la visite medicale du matin à la queue leu leu à poil dans les couloirs .

Cela était sans compter la seance de sport ou nous sortions tous vetus du meme survettement bleu pour nous rendre au gymnase voisin , de devoir deambuler dans la rue deux par deux en rang accompagnés par les megeres , infirmières et doctoresses .

Souvent lorsque nous arrivions au gymnase nos étions la risée des scolaires qui vennaient la faire leur seance de sport , on nous appelait les lapins ou les rats de labos , car ceratins savaient ce qui se passait dans ce centre .

Parfois apres les repas nous pouvions sortir dansla cour de l'immeuble , par dessus les robes reglementaires nous devions revetir en hiver une parka bleue et des bottes fourées , cela suscitait la venue des enfants des voisins qui se moquaient de nous ...

Enfin tout cela c'est du passé ...

Par [visiteur] le 21/12/2010 à 08h23

... Ia vraiment des gens étranges =S

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 15h33

mois aussi visite médicale tout nu devant les parents a l'hopitale 14 ans c'est la honte totale

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 15h33

j ai 17 ans un jour je suis tomber malde et ma mere a appeler le medecin il ma osculter puis ma dit d enlever tshirt pantalons javais garder le slipp puis sans gene il me la baisser et ma tater les couilles lhorreur la honte

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 15h34

Je me souviens que mes parents étant en vacances, ils ont confiés la garde des enfants que nous étions à une nounou, qui ne nous connaissais pas. Elle avait été embauché par nos parents pour la circonstance.
Etait-ce psychosomatique ou non, le fait est que je tombe malade pendant leur absence. J'avais 17 ans environ, et il n'y avait pas moyen de joindre au téléphone mes parents.
La nounou prend l'initiative de me conduire chez le premier médecin disponible, notre médecin traitant étant lui aussi en congés.
C'est la nounou qui décrit au médecin mes symptômes. Comme il ne m'a jamais vu, il me met tout nu. Je refuse. Je lui dit que c'est une nounou qui m'accompagne, mais le médecin sen moque : il ne lui propose même pas de sortir du cabinet pendant la consultation, prétextant que la nounou a le droit de connaître ma maladie pour en informer mes parents... Au bout d'une bonne dizaine de minutes de tergiversation la nounou me chope et me déshabille elle-même ! Une des pires hontes de ma vie d'ado ! Et c'est devant elle, car elle n'a pas perdu une miette du spectacle, que le médecin m'a examiné : j'étais entièrement nu, et couvert de honte.
Quand mes parents sont revenus de voyage, je leur ai tout raconté : ils n'ont plus jamais fait appel à cette nounou. J'allais chez le médecin avec mon père ou ma mère, et ça ne me génait pas d'être tout nu ou presque devant eux ! Après tout, c'est eux qui m'ont fait ! Mais devant une étrangère qui a usurpé un rôle qu'on ne lui a pas confié, non !

Par [visiteur] le 27/12/2010 à 15h34

A 16 ans, mon médecin ne m'a jamais tout nu sous prétexte d'âge ou de puberté ou de je ne sais quoi !

Par [visiteur] le 11/01/2011 à 22h10

J'allais dans un cabinet médical où exerçait deux médecins, hommes, l'un remplaçant l'autre. Un jour, suite à une mauvaise chute, je me rends dans ce cabinet. C'est le remplaçant, que j'appelerais le Dr B. qui me reçoit, pour la première fois (j'étais toujours examiné par le Dr A.). En rentrant dans son cabinet, vu qu'il ne m'a jamais vu et avant que ce cabinet ne soit équipé en informatique, il me questionne. Je lui montre mes échymoses aux bras, la peau arrachée par la chute sur les paumes de mes mains...
Mais ne voila-t'il pas qu'il me demande de me mettre en slip ! Mais je ne peux pas, la douleur consécutive à ma chute bloque tous mes mouvements. J'enlève péniblement mon tee-shirt, mais il veux que je me mette en slip. J'ai du mal, je n'y arrive pas, et puis... ce n'est pas nécessaire, je n'ai pas de plaie ailleurs... Mais le docteur insiste...je commence à rougir... Je n'ai rien d'autre à lui montrer que ce que je lui déjà montré... Il insiste encore, parce que c'est la première fois qu'il me voit. Il me dit qu'il a l'habitude, qu'en étant déshabillé, on peut découvrir d'autres pathologies...Il m'allonge alors sur la table d'examen et m'enlève lui-même le pantalon (je ne pouvais pas le faire tout seul) et les chaussettes. J'avais honte à mon âge (je devais avoir 35/36 ans) d'être déshabillé par quelqu'un.
Et il m'auscule de partout : la thyroïde, la bouche, les yeux, la tension... Il me palpe le ventre et met ses mains dans mon slip. Je crie, car mes testicules sont douloureux. Ah, me dit-il vous voyez ? Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez mal là ! Vous permettez ?
Et sans attendre de réponse, il m'enlève le slip, complètement. Me voilà maintenant, tout nu, la honte de ma vie : ça ne m'était jamais arrivé avant. Je cache mon sexe avec mes mains tellement j'ai honte. J'ai l'habitude, dit-il, laissez-moi faire, je ne vous ferai pas mal.
Me laissant séduire, je le laisse faire en fermant les yeux. Il explore à nouveau, mais plus fermement que tout-à-l'heure, mes bourses. J'ai mal, je crie encore... Il me calme.
Et il finit par mes jambes, sur lesquelles il trouve quelques échymoses à naître.
Il finit et je me rhabille, en tremblant. Il me donne un traitement de 8 jours, des radios et des examenes complémentaires à faire. Et je devais le revoir après tout ça, lui et non le docteur A.
Dix jours plus tard, je retourne voir le Dr B. avec les résultats d'examens qu'il m'a fait faire. Et là, surprise ! il me demande de me mettre en slip. Là, je ne comprends pas. Vous m'avez examiné il y a dix jours... C'est pas grave, dit-il, c'est toujours bon de refaire. J'aime prendre soin de mes patients. Je me mets en slip, et il m'examine comme la première fois, palpation des testicules en moins.
Effectivement ce médecin prenait soin de ses patients, et chque visite chez lui, durait en moyenne 30 à 45 mn. Et chaque fois que j'allais le voir, et quelqu'en soit la raison, je me mettais en slip.

Par [visiteur] le 11/01/2011 à 22h09

Moi à 15 ans, mes parents nous ont ammenées, mon frère de 5 ans et moi pour un examen annuel "familial"...On a commencé par se que l'infirmier appelle : les test de base. Mais je ne m attendais pas à ce qu'on aient à se désabiller au complet...Il nous a dit: de se désabiller entierement (devant mon frere et mon pere...moi qui suit tres pudique) . J'était super genée car mon pere ne mavait pas vu nue depuis que javais au moins 10 ans, moi non plus dailleurs. Donc on se desabille tous entierement l'infirmier nous pese, tour a tour, entirement nus sur la balance. Puis la température...je me penche vers lavant, mes seins tombent a la meme hauteur que mon cou, ce n'est pas necessaire de vous dire comment javais honte...Puis pleins de trucs comme ca...Ensuite vient lexaman "complet",mais celui-ci juste pour moi!(Soi disant pour surveillier ma puberte) Ma famille se rabille, moi.je reste nue. Mon petit frere narrettais pas de se rincer l'oeil. Donc lexamen complet, le docteur(je dis bien LE) me dit de mallonger sur la table dexamen, de plier les genoux et decarter les jambes, toute ma famille avait une vue parfaite! Il rentre un doigt puis deux et palpe de tous les cotés, je crois bien qu'il soit alle trop profond car j'ai lache un petit cri, mes parents ont sourits (personnellement je ne voyais ce qui etait drole). Ensuite il ma dit de me mettre a 4 pattres et de bien elever mon bassin, une foios de plus vue parfaite pour ma famille...Il a rentre un espece de tu froid dans mon vagin et a regarder un peu trop longtemps a mon gout...Puis il passe a la palpation des seins, pour verifier biensur, il a dit a mes parents de bien regarder car ils avaient a le refaire a la maison... Cette journee a ete la plus horrible de ma vie...
Cette journee a fini

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h23

C'est bon c'est pas la fin du monde !! remarque je te comprends quand meme

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h24

Citation : " Moi à 15 ans ..."

Comme vous avez peut étre pu le lire dans les precedents post , j'ai subie , chaque année des bilans de santé complets dans un centre d'education à la santé qui était situé à Paris ...

J'aurais souhaité savoir dans quelles conditions votre " examen anuel familial " se deroulait , sagissait il d'un centre ou dans un hopital ou et quand cela se situait il , car j'ai l'impression en lisant les differents articles à ce sujet que d'autres centres de ce genre existaient en france .

Apparement cela durait une journée pour vous , passiez vous devant plusieurs medecins et infirmières ou infirmiers selon vos dires . Les differents examens se passaient ils apres un temps d'attente dans diferentes salles ou étaient ils enchainnés dans la meme salle .

Apparement vous restiez toute la famille ensemble et tous nus , votre pere , votre frere , mais vous n'evoquez pas votre mere , ou était elle examinée à part .

Le personnel d'apres votre recit avait l'air assez severe et autoritaire , en aviez vous eu peur ...

Subissiez vous des piqures , prise de sang , ponction lombaire ... Y avait il des examens douloureux ou penibles , comme ceux que j'ai vecue .

Quand vous dites " pleins de truc comme ca " pouriez vous étre plus precise . La prise de temperature était elle realisée par l'infirmier ou par vous meme , apparement vous deviez rester debout , penchée en avant .

Comment deviez vous étre préparée pour ces examens , vos parents vous ont ils fait la surprise le matin meme ou aviez vous été prevenue , deviez vous étre à la diette , douchée etc ...

Etiez vous les seuls patients ou y avait il d'autres familles sur place .

Merci de vos reponses sur ce blog .

Cordiallement , Veronique .

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h25

Post sciptum de Veronique , je viens de trouver sur le site copain d'avant une page et des photos consacrées au centre d'éducation à la santé de Paris ...

Sinon je viens de faire mon bilan de santé dans un centre de la securité sociale , je conseil à tout le monde de s'y rendre , ca a bien changé depuis ce que j'ai pu lire ...

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h25

De veronique , pour reprendre votre recit lorsque le medecin vous ordonne de vous " mettre à quatre patte et de bien elever le bassin " , je ne pense pas qu'il soit intervenu au niveau du vagin , vous parlez aussis d'un " tu froid " , je pense que vous vouliez dire tube froid .

Il sagirait là en l'ocurence d'un rectoscope , qu'il vous a introduit par l'anus , pour observer le bas de votre colon . Je suis étonnée de voir que vous avez été la seule de votre famille à subir cet examen , car hormis votre petit frere de cinq ans , vos parents auraient du y passer , tout comme l'examen gyneco pour votre maman .

A Paris , au centre d'éducation à la santé , nous subissions ce genre d'examen qui était l'entrée en matière pour la tres douloureuse coloscopie ... Enfin je n'en suis pas morte .

Si cet examen familiale est annuel , combien de fois y étes vous passée , quel est la prochaine écheance .

Bon courage à vous ...

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h26

Coté visites medicales , j'ai été servie durant toute mon enfance et mon adolescence , jusqu'au debut de ma jeunesse .

Durant les années 60 / 70 , nous avions chaque année une visite médicale que ce soit à l'école et plus tard au centre de formation , lorsque j'étais en aprentissage de coiffure .

Celles ci se deroulaient au sein meme des établissements scolaires , je me souviens surtout de la severité des medecins et des infirmières scolaires , c'était comme ca ...

Habitant dans l'est de la france , nous devions égallement passer chaque année un " bilan de santé familiale " organisé par la securité sociale , dans le seul centre existant à cette époque .

Celui ci durait une journée pour les examens approfondis et une demie journée pour la medecine generale et la remise des resultats .

C'était toujours pour ma soeur et moi un moment angoissant , dés notre arrivée , nous étions separées de nos parents et comme le disait les dammes qui nous accompagnaient , mis à la disposition du personnel .

On nous faisait prendre une douche par petits groupe , apres on nous donnait des peignoirs blancs , par contre nous devions rester toutes nues dessous .

Le pire était la seconde partie que nous repassions deux ou trois semaines apres , nous étions examinés par un medecin en famille , un peu comme le post precedent .

Les parents passaient individuellement en premier , par contre pour ma soeur et moi cela se passait devant les parents qui étaient rhabillés .

Lorsque la porte du cabinet medical s'ouvrait mon pere ou ma mere , enfin celui qui avait terminé nous faisait entrer .
" A votre tour les filles " . Et deshabillez vous , je savais à quoi m'en tenir , car je passais dans ce centre depuis l'age de 4 ou 5 ans . " Mettez vous toutes nues " ordonnait le medecin , c'était la regle , il fallait obeir .

C'est à l'occasion de ces bilans de santé que j'ai subie
mon premier examen gyneco à 14 ans je crois , ca a été horible , j'ai eu mal au ventre pendant deux jours et j'en ai pleuré , parce que je ne me laissais pas faire , le medecin m'avait mis une giffle , je vous laisse immaginer la suite ...

Par la suite j'ai passé ma première visite medicale du travail , vers 17 ans , cela s'était passsé un lundi , jour de fermeture des salons de coiffures . Je me trouvais avec mes collegues de travail et d'autres filles travaillant dans les commerces de la ville , j'en connaissais certaines .

Nous étions toutes convoquées à la meme heure , l'une des infirmières nous emmenait dans un couloir en nous demandant de nous preparer à aller voir le medecin , je saisissait mieux quand elle disait de nous deshabiller .

Une damme tres bien habillée apparaissait dans le couloir en ordonnant de tout enlever pour celles qui passaient pour la première fois , alors que les dames pouvaient rester habillées . Certaines disaient , vous allez voir ce qu'ils vont vous faire ...

Bon voila , nous passions la visite medicale du travail toute nues , en groupe ...

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h26

Slt,

A presque 16 ans le médecin scolaire me faisait encore baisser le slip pour voir mes testicules.
C'est sur c'est souvent embarrassant.

Par [visiteur] le 29/01/2011 à 10h26

Si je peux me permettre, je pense que beaucoup d'entre vous devraient changer de médecin ! En effet, je ne trouve pas du tout justifié de devoir se mettre nu pour une cheville cassée ou de se faire décaloter alors qu'on consulte pour une grippe !! Que ce soit devant les parents ou non il y a, pour moi, quelque chose de pas logique là dedans !!

Par [visiteur] le 30/01/2011 à 20h03

Pour repondre au precedent post , vous comprendrez aisement que lors de visites medicales ou de bilans de santé , obligatoires , que ce soit dans le cadre scolaire , du travail ou familial , il n'est pas possible de choisir le personnel medical .

Ces types de controles medicaux correspondent souvent à des criteres precis , pour prendre l'exemple que j'ai vecue , dans ce centre de Paris et apparement d'autres que nous pouvons voir sur ce site , certaines pratiques semblaient normales , jusqu'au debut des années 80 .

Le fait de faire deshabiller entierrement leurs patients et de les parquer collectivement avait un certain impact disciplinaire .

Pour le personnel medical , le port de la blouse blanche n'était pas seulement une regle d'hygienne mais egallement une regle d'autorité . Pour ne rien cacher , le fait de se retrouver dans le plus simple appareil et allongée sur une table m'otait toute tentation de rebellion .

La douleur n'était pas non plus un probleme pour le personnel , nous entendions dire que cela était fait pour notre bien , que nous devions nous endurcir , apprendre la vie et d'autre choses dans ce genre , souvent relayé par nos parents .

Encore aujourd'hui je ne manifeste pas de haine , ni de ressentiments à l'encontre du personnel de ce centre d'education à la santé , chacun faisait son travail et sans doutes du mieux qu'ils pouvaient , lorsque je revenais à la maison et que mon entourage me demandait si le bilan de santé s'était bien passé , je me contentais de repondre positivement , sans entrer dans les details intimes ...

Par [visiteur] le 03/02/2011 à 18h34

L'année dernière alors que j'avais 13 ans une fille a fait croire à la directrice que je lui avait montrer ma zigounette et lui avait fait croire que j'avais un petit grain de beauté.

J'ai donc étais convoqué dans le bureau ou il y avait la directrice et la fille qui voulait me faire chier.

J'ai étais obliger leurs montrer mon zizi...

Par [visiteur] le 07/02/2011 à 09h41

j'espere seulement qu'on se déshabille pas devant l'infirmière scolaire,
ma visite scolaire de 3emme est dans deux semaines ...
il as vraiment fallu que je tombe la dessus maintenant, ça me ferais bizarre que mon médecin me voit entièrement nu, en caleçon devant lui sa me fais déjà bizarre, au pire le mien m'as donné un papier qui disait de sous peser ses testicules et tout et selon les cas possible la feuille disais si il fallais faire quelque chose ..
et je suis totalement d'accord avec celui qui as dit je cite :

" Si je peux me permettre, je pense que beaucoup d'entre vous devraient changer de médecin ! En effet, je ne trouve pas du tout justifié de devoir se mettre nu pour une cheville cassée ou de se faire décaloter alors qu'on consulte pour une grippe !! Que ce soit devant les parents ou non il y a, pour moi, quelque chose de pas logique là dedans !! "

TOTALEMENT D'ACCORD !!!

Par [visiteur] le 10/02/2011 à 09h01

je viens de changer de medecin,pour la premiere visite,a ma grande surprise il m'a demandé que je retire mon boxer
cela fait bizarre déja de se retrouver nu dans une piece devant une personne habillée,mais quand il a dit a ma mere qui se trouvait dans le bureau a coté de venir pour assister a la visite la je me suis senti vraiment géné

Par [visiteur] le 21/02/2011 à 11h16

En lisant toutes ces histoires concernant , je peux voir que je ne suis pas la seule à avoir subie des visites medicales que j'oserai qualifier de sadiques .
En effet , cela se passait dans un petit college/lycée de campagne durant les années 60 , un college qui était encore experimental à cette époque .
Nous n'étions jamais prevenus de l'echeance precise de la visite medicale , c'est en debarquant de l'autocar que l'infirmière de l'etablissement nous annoncait ce qu'elle appelait la bonne nouvelle .
La classe était divisée en deux groupes dans l'ordre alphabetique , je precise qu'étant en apprentissage de couture , la classe était entierrement composée de filles . L'infirmière ennumerait les noms de celles qui allaient y passer le matin et devaient la suivre au cabinet medical , pour les autres , dont je faisais generallement partie , nous y passions dans l'apres midi .
Etant données que nous étions toutes demie pensionnaire , nous recevions pour consigne de manger peu le midi , generallement , le ou la medecin scolaire '(selon les années ) , son assistante et l'infirmière se trouvaient avec nous au reffectoire , le contenu de nos assiettes était surveillé , pour exemple il nous était interdit de consomer de la viande , pas d'entrée ni de fromage , pour le dessert seul un yaourt nature nous était permis .
Bien entendu , la rumeur courait dans toutes les sections d'aprentissage que cette visite medicale était assez severe , curieusement les éleves des classes de lycée general ne la passaient pas comme nous .
Des treize heure , notre infirmière rasemblait ses brebies , pour le cas ou certaines auraient tenté de se soustraire a la visite medicale . Pour annecdote , cela s'était deja produit , des camarades de la section coiffure s'étaient enfuie de l'etablissement juste apres le repas avant d'étre reprises dans la rue par la surveillante generale et la directrice .
Nous entrions dans le cabinet medical l'infirmière nous faisait installer dans le vestiaire , deja nous pouvions sentir les odeurs d'alcool et d'ether , elle fermait le rideau de la fenetre et nous ordonnait de commencer à nous deshabiller , sans plus de precision .
A quatorze heures heures , le ou la medecin et son assistante arrivaient , nous recevions alors l'ordre de nous mettre toutes nues , sur l'instant et la première fois , je pensais que cela était une mauvaise plaisanterie , en fait pas du tout . C'était la regle pour les visites medicales des éleves des centre d'aprentissage .
Pour commencer nous devions passer aux toilettes , pour prelever nos urines et liberer les selles , en fait se forcer à les liberer avant le lavement qui était effectué par l'infirmière au moyen d'une grosse seringue en metal . Ca faisait horiblement mal , mais ce n'était que le debut des rejouissances à ses dires .
Nous devions ensuite prendre la douche , dans une salle d'eau collective , j'étais surprise que les serviettes et le savon nous soient fournis , il vallait mieux sez depecher avant que l'infirmière ne remette que de l'eau froide .
Nous retournions donc au vestiaire , nous asseoire sur les bancs avant d'étre appelées à tour de role par notre infirmière .
Durant l'attente nous pouvions entendre les cris de douleur de celle qui étaient en train de subir leurs examens medicaux , souvent de retour au vestiaire , apres une bonne heure elles pleuraient . Je precise qu'il était strictement interdit de se revetir apres les examens , la deuxième année , nous devions remettre nos effets à l'infirmière qui les gardait dans son bureau .
A mon tour , j'entrais dans l'immense cabinet medical , sans eprouver , vous le devinez une certaine honte , il fallait de plus garder les mains dans le dos .
Pour commencer , j'étais prise en charge par l'infirmière , l'assitante se tennait à son bureau et le medecin se trouvait un peu plus loin en train d'examiner une autre copine sur une table .
Ce qui m'inqiettait le plus était de voir deux autres de mes copines allongées au fond de la salle , sur des lits , sans draps avec des bracelets aux poignets et aux chevilles et des petites ventouses sur la poitrine . Qu'est ce qu'on pouvait bien leur faire me demandai-je ?
Le premier examen consitait à verifier la vue en lisant sur un tableau , puis sur un carnet des formes et des chiffres , ensuite , je me rapprochais d'une table sur laquelle était installé un appareil pour mesurer le souffle , en fait il fallait souffler trois fois de suitte dans un tuyaux , rien de bien extraordinaire .
Je passais sur la balance , puis sous la toise , les mensurations de la poitrine et des hanches étaient égallement relevée par l'infirmière , qui communiquait ses resultats à l'assistante .
Je devais ensuite m'asseoire sur une petite table , quand le cri de la copine qui passait avec la medecin se faisait entendre , je recevais l'ordre de ne pas regarder , alors que l'infirmière posait sur ma tete un casque auditif , pour verifier mon audition .
Le medecin reprenait ensuite la main , alors que l'infimière allait au fond de la salle mettre la precedente au lit . Il commencait par une palpation des ganglions du cou puis des seins avec le pincement des tetons et la brutale remontée de poitrine , en general cela faisait mal , cela était fait expres a ses dires .
Generallement , lorsque nous étions examinées par le docteur , il prenait la precaution de nous prevenir en nous rassurant , lorsque il sagissait de la doctoresse celle ci faisait mal par plaisir en disant , c'est fait pour ca ma fille ...
J'etais ensuite placée à quatre patte , les fesses surelevée le bustes et la tete abaissée , j'avais le droit au toucher rectal par le medecin puis il introduisait un autre instrument par l'anus qu'il faisait avancer par étape , c'était terriblement douloureux , surtout qu'il le faisait basculler .


Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h50

Pour en revenir aux visites medicales que j'ai pu subir , il y a de cela une quarantaine d'années , au college , dans le nord ...
Comme je l'expliquais , le medecin nous faisait placer à quatre patte sur la petite table , apres l'examen du rectum avec un appareil approprié , nous l'entendions dire : " Maintenant on va prendre la temperature ! " .
J'avais bien pu voir sur sa table roulante en arrivant un gros appareil gradué trempant dans un verre conique , là aussis cela faisait mal , toujours et encore devrai-je dire lorsque nous avions à faire à la doctoresse , madame pas comode , comme nous l'appelions , la vaseline n'était pas comprise dans le service . ( Humour )
Generallement , le docteur nous laissait le soin d'introduire nous meme les instruments , pour tout dire jamais je ne suis autant trouvée genée et encore une fois honteuse de devoir placer surtout le premier appareil , celui pour regarder le rectum , bon au moins ca faisait moins mal .
Le plus genant était quand il surveillait la manoeuvre en nous donnant ses conseils : " Detendez bien votre anus , poussez le plus au fond , tendez le dos . " . Ils nous expliquait que cela était fait pour que nous prenions confiance en nous . Deja que le fait de prononcer le mot anus m'horifiait , comme un tabou honteux ...
Une fois le thermometre bien en place , nous devions nous allonger sur le ventre , les bras par dessus la tete et la tete dans le vide . Le medecin procedait à l'auscultation du dos , avec cette serie d'ordres : " Inspirez , soufflez , ne respirer plus ! " . Toujours par la bouche et non par le nez .
Inutile de dire que cette position était tres incofortable , surtout pour la poitrine et la respiration .
Le pire arrivait juste apres , quand le personnel medical , au granc complet arrivait pour nous empoigner et nous retourner .
Nous étions retournées sur la petite table avec le thermometre en place , souvent cela faisait raler la doctoresse qui nous reprimandait , voire le replacait si elle voyait que celui ci sortait accidentellement .
Une fois sur le dos , les jambes pendantes dans le vide , cela faisait encore plus mal une anée , la première , je crois , la doctoresse m'avait gifflée parceque je m'était plainte de ces douleurs .
Le medecin procedait alors à une auscultation de la poitrine , suivi du test des reflexe sur les genoux . Nous devions ensuite nous placer en position gyneco ,le medecin retirait le thermometre et procedait à l'examen que l'on ne fait qu'aux filles .
Pour information , dans ce cabinet medical , le docteur et la doctoresse travaillaient ensemble , l'un pres de l'autre avec chacun une patiente à examiner , nous devions étre entre cinq et six patientes dans la salle à la fois si je compte celles qui se trouvaient sur les lits .
Le docteur devait étre un étudiant en medecine , car il était assez jeune et chaque année different , par contre la doctorese était toujours la meme , une dame brune assez trapue , toujours bien habillée , de son taillleur juppe chic au caractere tres autoritaire .
Elle impressionnait tout le monde par son style et surtout sa paire de bottes de cheval noir elles aussis , dont les tallons ferres resonaient sur le carrelage .
Apres cette serie de sevices , le mot peut sembler juste , nous devions nous levr pour les petits exercices de motricité , les flexions , vingt ou trente , abbaiser le dos , les jambes tendues , faire des allers retours en marchant sur la pointe des pieds .
Nous devions nous allonger sur la seconde table , plus longue que la precedente , ce qui permettait d'étre totalement étendues , pour les papations du ventre et des ovaires ...Ai ai ai ... les observations du nez , de la bouche , des yeux et des oreilles .
La dernière étape était celle du lit , c'était quand meme beaucoup plus confortable que ces tables en fer dur et froides .
Nous étions apareillées pour l'electrocardiograme , l'examen du coeur , l'aasitante et le medecin nous placaient des bracelets au niveau des chevilles et des ventouses sur la poitrine .
La machine , car je l'appelais comme cela deroulait son ruban de papier en faisant " Bip , bip " . Bon c'était plus impressionnnat que douloureux .
Une fois tous les examens passés , nous retournions dans le vestiaire voisin , il était strictement defendu de nous rhabiller , par respect , comme le disait la doctoresse pour celles qui étaient en train de passer ou celes qui attendaient leur tour .
J'ai pu voir sur ce site , que je ne suis pas la seule à avoir passée des visites medicales toute nue , bien entendu , comme beaucoup à cette époque je n'en avais jamais parlé à mes parents , y auraient ils d'aileurs crus ?
Beaucoup plus tard , j'ai su que nous avions étes integrées à un programe experimental , pour ameliorer la qualité des visites medicales dans notre pays . Je pense avec le recul que le fait d'avoir choisi des eleves de lycée professionnel comportait moins de risque que de prendre des éleves de lycée classiques , car nous étions toutes des filles d'ouvrier , souvent isues de familles nombreuses .
Mes deux autres soeurs qui sont allées dans un vrai lycée n'ont pour leur part et ce que j'en ai su jamais subies de telles visites medicales , elles pouvaient garder la culotte et le soutien gorge et les chaussettes et se trouvaient examinées individuelllement , comble du luxe ...
De ce fait , nos parents ne seraient jamais allés se plaindre aupres de la directionde l'établissement et ils n'avaient pas de temps à perdre avec des racontars de gamine .

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h50

Slt, moi aussi une visite medicale quelques jours après mes 26 ans qui m'a un peu marqué : je suis accueilli par une femme qui me fait passé plusieurs tests : test d'urine je suppose pour la drogue. La vue, l'audition puis un electro: un truc vraiment complet.
Puis après c'est un second medecin qui me reçoit pour la visite : il commence par me poser des questions sur mes antécédents medicaux puis me fait passer dans la salle d'exam et me dit de me désabiller.
De nature pudique, Je reste en slip, chaussette et t shirt, mais là il me dit :retirer les chaussettes et le t shirt, surpris je m'exècute, puis m'allonge sur la table de consultation et là il me regarde des pieds à la tête : entre les orteils, derrière les genoux, les bras, les dents... puis me dit de me mettre debout : le corps droit et d'aller avec mes bras toucher mes pieds - ce que je fais avec difficulté- toujours debout je me dis que l'exam est maintenant terminé mais non c'est alors qu'il me dit qu'il va procéder à une palpation de mes testiules et me demande de retirer mon slip pendant qu'il est en train de mettre ses gants. Je pense que la surprise à du se lire sur mon visage et il m'a dit "ça va durer quelques secondes ", je baisse mon slip et me retrouve complètement nu face à lui et là il s'execute et ne vérifie que mes bourses et me palpe longuement chaque testicule pour verifier je suppose si tout est en place, j'ai eu l'impression que les qqs secondes c'étaient transformer en longues minutes puis termine l'examen et me dit de remettre mes affaires.
Quand j'y repense je faisais pas trop le fier mais bon le toubib ne faisat que son boulot

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h51

moi mon medecin est un homme et moi une fille est il m'a dit de me mettre nue devant ma mère est ma soeur pour me peser

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h51

ma mère et mon père m'avait enmenée j'ai le medecin qui est un homme et mon une fille il me dit de mallonger sur la table dexamen, de plier les genoux et decarter les jambes, devant mon père et ma mère! Il rentre un doigt puis deux et palpe de tous les cotés

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h50

Jusqu'à mes 16 ans le pédiatre me faisait passer la visite en slip. Les 5 dernières minutes je devais être nu pour le décalottage et tout ça devant mes parents qui regardait toute la visite. Pour les vaccins c'était tout le temps nu car il les faisait sur les fesses.

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h51

Si je peux témoigner d'une visite médicale sévère et horrible, voici mon histoire, vécue au cours des années 60/70, un peu comme c'est dit plus haut. Je risque d'être un peu long, mais...
C'était en collège catholique, et quoique nous étions visité en groupe, nous entrions un par un dans le cabinet de la doctoresse.
J'étais dans un collège de garçons, et mon tour vint. Je rentre dans la cabine à double porte. Pour moi, c'était la première visite dans ce collège (j'étais en 4ème, je crois).
La porte de droite s'ouvre et une infirmière ou assistante me reçoit pour contrôler poids, taille, vue, ouïe... Tous ces examens faits, elle me dit de retourner en cabine et d'attendre le médecin. 5 à 6 minutes plus tard, la seconde porte s'ouvre et le médecin me fait entrer dans son bureau.
Vu que je venais d'Afrique du Nord après les évènements de 1962, elle me questionne sur mon mode de vie à Alger, ce que j'ai fait, ma scolarité là-bas, et ici, en métropole...
Puis, elle me demande de me déshabiller (en cabine) et de revenir la voir.
Je me défaits de mes habits quand s'ouvre la première porte, celle de l'assistante. Pris entre deux feux, mon déshabillage se transforme vite en strip-tease... quand l'assistante me demande de lui remettre... mes effets. Un a un, je retire mes vêtements et les donne à l'assistante. D'un coin, je vois le médecin qui prend des notes, de l'autre, je vois l'assistante qui tête, soupèse et sent chacun de mes vêtements... Et je reste en sous-vêtements quand elle me dit que ça aussi, il faut enlever, désigant de son doigt, slip et maillot de corps.
Géné, éhonté, j'obéis malgré moi à l'ordre donné, quand l'assistante ferme sa porte.
J'entends à ce moment la doctoresse qui dit de m'approcher d'elle, les bras le long du corps.
Et me voilà exhibant toute mon intimité pour la première fois de ma vie, je crois.
J'entends une porte claquer, c'est l'assistante qui rejoint la doctoresse à son bureau et qui dit que mes vêtements sont sains et propre. Alors, le médecin toujours assisté de cette infirmière, me fait passer la visite médicale intégralement tout nu : la honte de ma vie.
Aujourd'hui, j'ai 63 ans, et je m'en souviens comme si c'était hier.
Après avoir écouté mon coeur, ma respiration et tout le toutim, elle me fait allonger sur la table, jambes et bras (eh oui, même les bras) écartés (je rappelle que je suis entièrement nu) et me palpe le ventre avant de s'attarder longuement sur mes parties. J'ai eu mal, j'ai crié, j'ai tenté de les cacher, mais l'assistante, me tenaient fortement les bras loin de mon corps. Laissez-vous faire et ça ira vite, me dit-elle. Puis, elle me fit un toucher rectal. J'ai résité et j'ai très mal. C'est bien fait pour vous, fallait pas bouger. Je suis obligé de vous faire ça, vu la région d'où vous venez.
Ah bon ! mais l'Algérie, c'était pas la France ? On n'y avait donc pas les mêmes droits qu'en métropole ? Qu'est-ce que c'est que ces histoires ?
Je revois dans mes nuits cauchemardesques ces images et il m'arrive même d'en pleurer tant j'ai eu honte ce jour-là.

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h51

Début 2008, le cabinet médical où je me rendais a fermé ses portes. J'ai du presque aussitôt trouver un autre médecin. J'ai choisi une femme, alors qu'avant au cabinet médical, exerçaient (entres autres disciplines) deux généralistes hommes. Le fait de me déshabiller ne m'a jamais posé problème, à part les premières fois.
J'ai donc pris un médecin femme (je précise que je suis un homme). Eh bien, ce médecin, depuis 2008, ne m'a jamais déshabillé entièrement. Je ne me suis jamais retrouvé en slip devant elle. J'appréhende le jour où elle me le demandera et je ne sais pas comment je réagirais. Mais pour l'instant, ça ne s'est pas produit. Surtout que mon médecin est fort jolie femme, ce qui n'est pas pour me déplaire. Mais je crains malgré tout, le jour où cela se produira.

Par [visiteur] le 16/03/2011 à 08h51

Quelle invention que le téléphone !
J'ai du aller chez mon médecin, une femme je précise (je suis un mec). A peine entré dans son cabinet, elle me questionne sur les raisons de ma venues, en l'occurence, des douleurs fortes dans le bas du ventre.
A sa demande, je me mets en slip pour qu'elle puisse m'ausculter.
Nouvellement installée, ma dotoresse n'a pas encore de secrétaire (c'est important pour la suite de l'histoire). Le téléphone se met à sonner alors qu'elle avait à peine commencer son exament.
Son bureau est à l'autre bout de la pièce, et après s'être excusée, elle va répondre. La conversation dure bien 10 minutes... puis elle revient vers moi, continuer son auscultation.
Re-coup de téléphone, re-excuse du médecin, qui se doit de répondre, alors qu'elle n'a même pas encore approché la partie de mon corps qui me fait mal.
La conversation dure 5 bonnes minutes, puis elle revient vers moi. Là, elle me palpe le ventre et me baisse un peu le slip, à la limite du pénis (qu'elle ne découvre pas).
Troisième coup de fil, qui me paraît durer une éterninté. Nouvelles excuses du médecin qui prend l'appel.
Allongée comme ça, presque tout nu, sous mon slip, mon pénis commençait à être en érection, de plus en plus vigoureuse. De sa place où elle répondait au téléphone, elle a du voir et ça l'a amusée, car quand elle est revenue finir son travail, elle avait un genre de sourire pincé, tout en disant : il est tant que j'embauche une secrétaire.
Elle a jeté un coup d'oeil dans mon slip, puis m'a dit de me rhabiller. Elle m'a donné une ordonnance et tout devait rentrer dans l'ordre dans quelques jours.
Je lui ai dit au revoir rouge de honte, mais elle en souriant me dit que ce n'est pas si grave.
Ce jour-là, je suis resté dans son cabinet au moins 3/4 d'heure. Si bien qu'une personne qui attendait dans la salle d'attente m'a dit : quoi ? Tu lui a fais l'amour ?
Deuxième honte de cette p***** de journée.

Par [visiteur] le 28/03/2011 à 09h13

Wha tout les coms!

Par [visiteur] le 08/04/2011 à 19h26

Moi j'aurais bien voulu mais aucun médecin ne m'a demandé

Par [visiteur] le 13/04/2011 à 08h54

La visite medicale , oui , cela me rappelle des souvenirs , de mauvais pour celle que j'ai subie vers seize ans , au lycée . La surprise en voyant arriver l'infirmière nous remettre les convocations et un flacon pour les urines .
Celle ci avait lieuxle lendemain , il fallait arriver en cours parfaittement propres , entierrement lavées du matin y compris les cheveux et les oreilles , pour le cas ou nous y passerions dans l'apres midi , il fallait apporter une serviette , un gant de toilette , une savonette des cotons tiges et une culotte de rechange .

J'avais eu la chance d'y passer le matin , si je puis dire comme cela , nous partions dans une salle de cours requisitionée pour l'occasion , sous la bonne escorte d'une jeune surveillante du lycée .

La salle était entierrement reamenagée en cabinet medical , une grande dame assez petsec nous y attendait , elle ordonnait à la surveillante de nous introduire dans les cabines de deshabillage individuelles , chacune devait remettre sur une table son flacon d'urine et son carnet de santé . Les cabines dont je parlais étaient en fait des paravents alignés le long du mur , garantissant une certaine intimité lors du deshabillage , seule la medecin et la surveillante pouvaient nous voir .

La petite surveillante usait de son autorité naturelle pour nous presser , depechons les filles , la doctoresse vous attend , celle ci faisait des allées et venues le long des cabines en disant : " On enleve tout , les chaussettes les collants , les soutiens gorges et pour les plus courageuses la petite culotte .

Par [visiteur] le 13/04/2011 à 08h55

La honte n'était pas pour moi , mais pour une dame avec qui j'avais passé mon bilan de santé de la securité sociale , dans le centre de medecine preventive de Reims , c'était en 1996 si ma memoire est bonne .
Nous étions dans la session de l'apres midi , un vendredi , l'admission prevue vers 11 heures et demie . Aussitot aprés avoir fait l'enregistrement de nos dossiers aupres de l'hotesse d'acceuil , nous devions monter au premier étage , chacune des familles presentes était encadrée par une infirmière , les deux isolés , c'est à dire cette damme et moi attendions qu'une infirmière nous prenne en charge . Nous étions en fait les deux derniers de la liste de patients , car quittant chacun notre travail , nous étions arrivés pour midi pile presque ensemble , elle s'excusait aupres de l'hotesse pour le retard .
Cette dame d'une quarantaine d'anée plutot gironde ,s'asseyait , dans le salon d'attente à coté de moi et me demandait comment cela allait se passer et vers quelle heure nous serions autorisés à sortir , visiblement , elle ne se sentais pas à son aise et ignorais que ce bilan de santé n'était pas une obligation , j'évitais toutefois de lui dire , car apres tout , si elle était là , autant que se soit pour de bon , car j'ai senti qu'elle souhaitait s'y derober. Elle maugréait un peu sur le stationnement dans le quartier ...J'observais qu'elle portait les meme bottines que moi , ce qui detendait la conversation autour de nos chaussures .
Une infirmière arrivait , alors que sortait d'une cabine de deshabillage une autre dame revetue d'un peignoir blanc et chaussée de sabots . Sur un ton autoritaire , l'infirmière nous regardait en disant : " A votre tour ! " . j'entrais dans la cabine pour me deshabiller et remettre le peignoir reglementaire , aucune consigen particulière ne m'était donnée , je ressortais avec mes bottines et mes chaussettes sans qu'on ne me dise rien . Je donnais mes affaires au vestiaire pendanT que la dame entrait dans la cabine à son tour , toujours avec ce regard anxieux , l'infirmière la suivait , avant de fermer la porte , la dame , demandait à l'infirmière ce qu'elle pouvait garder sous le peignoir . Juste le slip et rien d'autres , repondait l'infirmière qui lancait à la cantonade tout en restant derrière la porte de la cabine : " Enlevez le soutien gorge , les chaussettes et les collants ..." .
Lorsque la dame avait remis ses affaires au vestiaire , l'infirmière la faisait tourner face à elle en lui ouvrant le peignoir en grand , c'est bonlui disait elle , allez vous asseoire pour la prise de sang ...
Une fois tous passés à la prise de sang , nous passions au reffectoire , j'étais installé seul à une table , la dernière de libre quand cette dame arrivait avec son plateau , elle n'osait me regarder de peur d'avoir honte , elle avait un peu de mal à manger , sans doute rongée par ce qui lui était arrivé quelques minutes plus tot .
Vers 13 heures , nous commencions la chaine des examens specialises , dentiste , electrocardiograme , spirometrie , test d'effort , radiographie , audiometrie , visiometrie ... Parfois , je recroisais cette dame dans les couloirs au gré de nos examens , generallement nous nous suivions .
Vers 17 heures une ifirmière appellait un groupe de patients qui étaient autorisés , comme moi à se revetir , elle citait ensuite les dames qui devaient passer leur examen gynéco . C'est là que tout se compliquait pour la dame que j'évoquais , car elle ne souhaitait pas le subir , en plus disait elle , je dois partir , je suis attendue . L'infirmière usait de son autorité en lui disant que ses vettements l'attendaient au rez de chaussée , dans le cabinet de la gynecologue , qu'elle les lui avaient tranferées
La dame tentait de s'expliquer avec la jeune medecin qui nous avait recue en arrivant , elle lui repondait que dans son dossier d'inscription , rien ne justifiait qu'elle soit suivie par un gyneco , donc , concluait elle , vous suivez ces dames ! Je precise qu'il y avait meme dans le groupe deux jeunes ados , pas tres ravies non plus d'y passer .
J'étais autorisé à sortir et à me revetir , lorsque je suis repassé devant le centre vers 19 heures , certaines patientes que j'avais pu voir dans l'apres midi commencaient tout juste à sortir . J'entendais alors une dame m'interpeler , il sagissait de ma voisine , n'étant pas de la ville , elle s'inquiéttait pour sa voiture et avait peur d'avoir recue une contravention , heureusement , en posant derrière le pare brise une copie dde la convocation , nous ne risquions riens , les perevenches locales étaient au courant .

Par [visiteur] le 13/04/2011 à 08h55

Moi quand j'avais à peu près 7 ans, la remplaçante de mon médecin de famille est venue à la maison pour une angine. Puis elle a demandé à ma mère et ma soeur de se tourner puis a baissé ma culotte puis m'a écartée la vulve avec le pouce de chaque main "pour vérifier quelque chose"... Voilà, 20 ans après, je n'ai pas oublié... Pourtant ça ne me semble pas être grave.

Par [visiteur] le 16/04/2011 à 22h06

Ma pire honte était arrivée lors d'un sejour dans une institution d'éducation à la santé située pres de Rochefort , dans les ardennes Belges , je precise que je suis francaise .

Cela se déroulait vers 1986 , chaque annnées , depuis l'age de 15 ans , mes parents m'envoyaient dans cette institution pour faire durant une semaine un bilan medical complet avec au programe , chaque matin , du lundi au jeudi , des examens medicaux , assez approfondis et les apres midi , des activités sportives au choix .

La partie éducation était dans cette institution l'une des plus importante , c'etait l'une des raisons pour lesquelles nos parents nous y envoyaient . Cela ressemblait au pensionnat à l'anglaise , des le dimanche apres midi , nous étions toutes remises en uniforme , tres classe pour tout dire , la grande juppe ecossaise plisée , le chemisier blanc , le cardigan marine et les bottes de cheval , en cuir pour les miennes , que mes parents m'avaient fait confectionner par un bottier à Compiegne , le top du top .

Pour les petites bourgeoise que nous étions toutes , des filles de bonne famille , pas question de deroger aux bonnnes regles de discipline , reverences en entrant dans les bureaux , deplacements en silence et couchées à 21 heures trente . Apres la douche , nous devions étre revetue de la robe de nuit blanche , chaussées des sabots et attendre les mains dans le dos devant nos lits la revue de la surveillante .

Nous étions hebergées en chambre de six , cinq filles et une éleve infirmière qui était durant cette semaine notre chef de chambre . Malgré l'apparence tres strict , l'ambiance était plutot detendue , nous appelions les jeunes éleves infirmière et les étudiantes en medecine par leur prenom . Bien entendu , tous les matins et le dimanche en arrivant , celles ci nous dispensaient la visite medicale toutes nues , mais bon il y avait d'autres examens medicaux que nous passions ainsis et cela ne me gennait pas tant que cela .

La dernière fois que je suis venue dans cette institution , je m'y suis rendue en voiture avec deus autres de mes cousines , des terribles . Dans la chambre , nous étions toutes des filles majeurs . Le dimanche soir en arrivant les deux cousines avaient reperées sur la route , en venant , un restaurant . Le soir avant d'aller nous coucher , elles avaient demandées à l'éleve infirmière de nous rendre nos vettements et les clés de la voiture pour pouvoir nous y rendre .

Tres vitte le jeux de se lancer les bottes par dessus les lits a mal tourné , puisque l'eleve infirmière à pris l'une des miennes en plein visage , relancée par ma cousine . Pensez donc , la seule paire de bottes en cuir était la mienne . L'eleve infirmière à éte aussitot prise à partie par mes cousines et deux autres filles presentes dans la chambre , la surveillante interrompait sa tournée de pour arriver dans la notre et relever les degats , une infirmière à terre et une fenetre cassée .

L'une de mes cousines se justifiait en disant qu'elle voulait sortir au resto , ce qui mit la surveilante ne colère . Apres un compte rendu avec l'infirmière , nous étions emmennées dans l'une des salles d'éxamens , j'aprehendais la sanction . Nous devions retirer nos robes et la première de nous devait aller s'allonger sur la table d'examen .

La surveillante tennait dans ses mains mes bottes de cuir , elle demandait à qui elle pouvaient appartenir . Timidement je m'approchais d'elle et me justifiait , je n'osais dire que l'une de mes cousines les avait envoyées dans le visage de l'infirmière .

" Allonge toi , tu vas passer la première ... Piqure pour tout le monde !!! " . La surveillante remplissait sa seringue , vissait l'aiguille et arrivait pres de moi , elle piquait dans ma cuisse gauche , c'était horiblement douloureux , mais elle ne sentais rien à ses dire .

Voila chacune prenait sa dose de calmant et retournait en chambre . Le lendemain matin , nous passions toutes devant la directrice qui appelait nos parents , mon pire moment de honte , bien sur mes bottes de cuir étaient confisquées au profit des reglementaires Aigles en plastique .

En repartant le vendredi suivant , j'avais reussi à recuperer mes bottes et m'etais vu signifier une radiation definitive de l'institution , quelques jour plus tard mes parents recevaient mon dossier , avec un zero pointé sur ma note de discipline , je ne savais pas quoi leur dire , encore une fois la grosse honte ....

Par [visiteur] le 26/05/2011 à 09h19

l'occasion a été donnée a mes parents de me voir nu dans le contexte médical alors que j'étais déja grand pour une rupture du frein (bout de peau qui relie le prépuce au gland)
j'avais 19 ans au cours d'une fete j'ai eu une relation avec une fille de mon age,pendant l'acte mon frein s'est déchiré peut etre sur ses poils,je pissai le sang,aussi mon calecon et mon jean furent vite tachés
je suis vite retourné a la maison,chez mes parents histoire de prendre une douche et de me changer,
comme cela continuait de saigner mes parents m'ont dit que je ne pouvait rester comme cela et m'ont accompagné aux urgences
comme souvent aux urgences c'était blindé de monde,aussi ils ont fait rentrer mes parents dans ce qui faisait office de box d'auscultation,une sorte de salle meme pas fermée par une porte
évidement j'ai du me deshabiller entierement,nu sur la table d'auscultation,examiné par un interne devant une infirmiere et mes parents
puis le medecin chef qui m'a conseillé une circoncision
...
une infirmiere est venue me raser le pubis et les couilles(je me demande pourquoi?)
du coup je me suis retrouvé lisse comme un petit garcon de 6 ans
en plus des points de sutures,j'ai eu droit a une anesthesie locale (impressionante) et la coupe du prépuce,pansement sur le pénis
tout cela devant... papa maman
c'est sur a 19 ans cela fait bizare...mais vu les circonstances je n'ai pas eu trop le temps de réfléchir

Par [visiteur] le 26/05/2011 à 09h22

J'ai un souvenir assez particulier et plutot amusant d'une " visite medicale " , je dis visite medicale entre guillemets , car il sagissait d'un jeux que m'avait proposé un ami avec qui je montais à cheval .

Un soir , en me raccompagnant chez mes parents , il m'avait proposé ce jeux , celui de la visite medicale , sur l'instant , cela m'avais surpris , je pensais à une plaisanterie . Un peu plus tard , alors que nous promenions nos chevaux en dehors du centre equestre il m'avait demandé si j'avais un peu reflechie à sa proposition .

Apres tout , me disai-je , pourquois pas , il était toujours tres sympa avec moi , assez timide et reservé , ce qui me plaisait bien et avait toujours de gentilles intentions en m'emenant en concours et autres sorties .

Le " rendez vous " était fixé un soir , alors que mes parents étaient de sortie , nous avions la maison pour nous tous seul dés le debut de l'apres midi . Apres la traditionelle promenade à cheval de l'apres midi , nous rentrions chacun chez nous pour nous retrouver vers dix huit heures , chez moi . Je prenais ma douche et revetais le peignoir qu'il m'avait offert .

A l'heure prevue , on sonnait à la porte , j'allais ouvrir , dans ma petite tenue , c'était mon " docteur " . Nous decidions d'installer la salle d'examen dans la cuisine , que j'avais nettoyé de fond en comble . Je l'aidais à installer son materiel , j'étais étonnée de voir un vrai materiel medical , il m'expliquait qu'il avait acheté tout cela dans une pharmacie .

Stetoscope , tensiometre , spirometre , audiometre , languettes abaisse langues , rien ne manquait, il était obligé de retourner trois fois à sa voiture pour tout apporter , nous terminions l'installation par le drap posé sur la table de la cuisine .

En sortant il rencontrait l'une de mes copines du centre equestre qui voulait me voir , finnalement , je la laissait entrer , elle ne s'étonnait pas de me voir en peignoir . Elle était du genre à toujours s'incruster et voulait passer la soirée avec moi . Elle ouvrait la porte de la cuisine et decouvrait , le pot aux roses , si j'ose dire . Je decidais de lui dire ce que nous allions faire ce soir là , mon ami revenait à cet instant pour installer le tableau de lecture .

Ma copine commencait un petit delire en montant sur la balance , puis en seplacant sous la toise , tout cela en tenue d'équitation , avec ses bottes que je lui demandais de retirer . Elle retournait se peser , chouette disait elle , un kilo de moins ... Puis elle se mettait à lire le tableau A ...X ...Z ...U ...
Mon ami lui proposait de la passer avec moi , nous eclations de rire toutes les deux . Elle semblait hesiter un peu avant de dire qu'elle était d'accord mais n'avais rien pris pour ca .

Cela n'était pas un probleme , je lui pretais ma salle de bain puis une culotte propre et un peignoir avant de redescendre avec elle à la cuisine . Notre docteur nous y attendait revetu de sa blouse blanche .

Nous commencions par l'examen de la vue suivi de celui de l'audition et du souffle , toujours en chahutant un peu . On sonnait de nouveau à la porte , les pizzas arrivaient , le livreur n'avait pas l'air de se poser la moindre questions et repartait aussitot .

J'étais la première à passer sur la table pour les observations de la bouche et de la gorge , du nez , des oreilles et des yeux , cela faisait rire ma copine qui prise au jeu avait hatte de reprendre ma place .

Par [visiteur] le 02/06/2011 à 13h04

J'ai quelques souvenirs du centre d'education à la santé de Paris , des bons et des moins bons , mais c'était comme cela il fallait y passer et comme le disaient mes parents , c'était pour mon bien .

Ce centre fonctionnait un peu sur un systeme autogéré vers la fin , car celui ci a fermé au debut des années 80 , c'était moins strict qu'au tout debut ou j'y suis passée , en 1973 .

Les plus agées s'occupaient des plus jeunes et il n'y avait presque plus de garcons , que des filles , le soir au dortoire , il était meme possible d'organiser des petites veillées , ce qui detendait l'atmosphere parfois penible à endurer pour les plus jeunes , car dés l'age de 12 ans on pouvait y étre admis , jusque 21 ans .

La douche était collective , nous y passions par groupe de 5 , entre patients du meme sexe , personnellement cela ne me posait aucun probleme , car en arrivant , je laissais ma pudeur et mes états d'ame au placard .

La toute dernière année ou j'ai du y passer , il n'y avait qu'un seul garcon avec nous , qui venait là pour la première fois , il avait 15 ans et devait se prenomer Guillaume , si j'ai bonne memoire . La surveillante nous avait demandée si nous acceptions de ne pas poser les habituels paravents separants les garcons et les filles dans le dortoir , histoire de ne pas mettre à l'écart le garcon .

Je me souviens qu'il était assez timide et que ses parents l'avaient posés là sans le prevenir , c'était mon cas la première année aussis , la surprise ... Alors que nous attendions notre tour assis sur nos lits pour passer à la douche , j'engageias la conversation avec lui et je lui proposais de m'occuper de lui , ca avait l'air de le rassurer .

Il était surpris de nous voir toutes nous deshabiller , je lui demandais d'en faire autant , il n'osait regarder le fond du dortoire et abaissait les yeux en rougissant en me voyant me deshabiller . " Fais en autant , n'ai pas peur , les filles ca ne mord pas ... " . Certainnes se moquaient de lui , surtout les filles assez jeunes , nous leurs demandions de le laisser tranquille , pour qu'il soit en confiance .

La surveillante lui faisait quand meme prendre sa douche tout seul , à la sortie , il ne se sentais pas tres à l'aise vetu de la robe blanche . Je m'installais à coté de lui , il m'avouait qu'il ne savais pas faire un lit , le plus discrettement possible , je l'aidais afin qu'il échappe aux quolibets des ados .

Le premier soir , il n'y avait pas de veillée , de toute facon je me sentais trop fatiguée par le voyage en train depuis ma bretagne , à cette époque il fallait tout de meme 7 heures pour arriver à Paris et puis nous n'avions pas de repas , pour étre à la diette , alors un bon lit dés 8 heures était le bienvenu .

Guillaume n'arettait pas de m'interpeller , il était assis sur son lit et se posait tout un tas de questions sur ce qu'on allait lui faire , la surveillante de dortoire mettait fin à notre conversation en lui ordonnant de se coucher .

Le lendemain matin , "monsieur ", avait la douche pour lui tout seul , normal ... Ensuite , comme cela se faisait la première demie journée , nous passions la visite médicale d'admission , par groupe de 5 , dans la salle du rez de chaussée .

La première fois j'avais eu une terrible honte , de me retrouver toute nue avec d'autres filles dans la meme salle à me faire examiner à la chaine par une armée d'infirmière et de docteurs , un peu comme à l'armée en sorte , et de me faire observer par tous les orifices , si vous comprenez mon propos ...

Avec le temps , je m'y suis fait et cela ne me posais plus aucun problemes , l'année d'avant j'avais éte prise d'un fou rire contagieux , alors que comme les autres filles presentes j'étais en position dite de la levrette sur ma table d'examens , j'avais lachée un gaz malodorant et bruyant alors que l'étudiant en medecine qui m'examinait posait ses mains sur mes fesses pour commencer à les ecarter . Immaginez 5 filles allignées sur leur tables cote à cote , les fesses en l'air en train de rire .

La medecin chef et directrice du centre , qui n'était pas une femme comode venait nous voir au dortoire , toujours escortée par sa fille qui était la secretaire , les 10 premières devaient se lever pour descendre au rez de chaussée . Ainsi les 5 premières se faisaient examiner , tandisque les 5 suivantes attendaient dans le couloir . Une fois le premier groupe de retour au dortoire 5 autres descendaient et ainsi de suite ...

Cette année là , je faisais parti des dernières à passer la visite medicale d'admission , la secretaire faisait égallement lever Guillaume , nous étions toutes des filles adultes et habituées à venir en ce lieux , en chemin , sans doute pour dissiper le trac nous devisions sur le medecin qui allait bien pouvoir nous examiner , nous esperions qu'il serait beau et gentil , car meme si j'étais une bout en train au fond de moi meme , je n'en menais pas large à l'idée de montrer mon cul au docteur .

La secretaire nous faisait tout entrer dans la salle y compris Guillaume . J'esperais que pour la ciconstance nous allions pouvoir garder nos culottes et bien npon , tout le monde à poil . Cela vas peut étre surprendre tout le monde , mais à 21 ans , je n'avais jamais vu un gacon tout nu , je crois que cela était reciproque pour lui et son kiki gonflait au fur et à mesure , cela m'impressionnait beaucoup .

Apres avoir étes peses et mesures , nous allions nous allonger sur les dures tables en formica , apres la traditionelle auscultation , prise de tension , les palapations jusqu'au bas ventre , je pouvais entendre l'etudiante en medecine qui examinait guillaume rendre compte à la directrice .

La decision était prise de lui decalotter le penis , elle lui installait une sorte de petite pince au bout de la tetine du prepuce , puis elle la resserait . Guillaume poussait un hurlement de douleur , la directrice le tennait fermement sur la table . L'étudiante de l'autre main lui introduisait un petit morceau de tuyau en plastique transparent dans l'uretre , qu'elle coupait presque à raz .

J'avais pu assister en directe au decalotage d'un garcon , j'évitais de rire , pour une fois , car je me sentais tres attachée à ce garcon qui aurait pu étre mon petit frere , le pauvre me disai-je il devait bien souffrire . Apres ce petit examens , nous retournions au dortoire en remettant ma culottes , je pouvais voir le nouveau style du penis de Guillaume , le bout rouge vif avec un petit tuyau depassant , je ne saurais dire si son regard était deseperée ou honteux , mais j'ai pris pitiè pour lui ...

Par [visiteur] le 18/06/2011 à 17h39

Pour en revenir au centre d'education à la santé , nous avions le premier repas le soir du premier jour , car pour nous dispenser les examens gastroenterologiques , nous devions rester à la diette , tout comme pour les prelevements , cela ne gennait personne , en tout cas pas moi ...

Apres le repas du soir , nous pouvions sortir dans la petite cour anglaise , privative . Pour affronter le froid , nous devions revetir par dessus nos robes , une grosse parka fourée , et à nos pieds une paire de bottes en échange des sabots .

Nous prenions les repas par groupe de 10 , dans le meme ordre que la visiite medicale du matin et dans la meme salle , ironie du sort ... Il falait avoir avalé sa barquette preparée par les hopitaux de Paris en moins de 15 minutes , car les derniers attendaient au dortoire , pour moi ce n'était pas de refus apres cette journée à la diette et pres d'un litre de sang donné en plus du prelevement pour le labo . Mais bon je me disais que pour le don du sang , cela servirait à des gens malades et je trouvais cela tres bien de nous l'imposer dés 18 ans en plus pour les medecins j'étais un beau morceau 1 metre 80 pour 95 kilos , tout de meme .

Il nous était strictement interdit de discuter à table , normal , sinon nous y aurions passés une heure . Apres le repas , j'étais contente de sortir prendre l'air , Guillaume rstait avec nous , j'osais lui demander si cela se passait bien pour lui , il avait une petite mine , il m'expliquait qu'il avait mal depuis ce matin à son kiki et avait honte de nous avoir vue toutes nues , il se sentais aussis tres mal à l'aise vetu de sa robe .

Nous lui expliquions que cela ne nous genait pas , en rigolant je lui expliquais qu'aujourd'hui j'avais apris queque chose . Il se mettait à pleurer , nous decidions alors de nous placer autour de lui et discrettement , je le prenais dans mes bras , là aussis c'était la première fois que je voyais un garcon pleurer , il voulait repartir chez lui ... Nous lui expliquions que le lendemain les examens medicaux ne seraient pas douloureux et que mercredi il sortirait .

Discrettement j'allais voir la surveillante et lui expliquait le probleme . En fait guillaume ne pouvait aller faire pipi à cause du petit bout de plastique qu'on lui avait installé dans l'uretre , la surveillante decidait d'appeller l'infirmière de nuit qui à son tour appellait la directrice qui voulait le reexaminer . Guillaume ne voulait pas , je lui expliquais qu'il devais faire confiance à la directrice et l'accompagnais à son cabinet d'examen . Guillaume tennait à ce que j'entre avec lui . " ne me laisse pas tout seul . " . Il se deshabillait et s'allongeait en slip sur la table , l'infirmière lui abaissait . La medecin constatait alors qu'il avait tenté de retirer sa sonde tout seul ,

Par [visiteur] le 20/07/2011 à 18h54

Etant enfant, cela m'est arrivé plusieurs fois d'être examiné par un médecin, pour voir mes organes génitaux et de me retrouver nu devant ma mère.
ça fait bizarre , mais il faut bien être accompagné par un parent.
si j'avais eu à être soigné pour une malformation ou autre, c'est le seul moyen.
nous sommes tous pareils de toute façon.
peut être alors nous regarder dans une pièce à côté, sans la présence de parent.
tous les médecins heureusement n'ont pas des idées pervers.
en France nous sommes trop pudiques, ce qui à l'âge adulte peut engendrer des peurs, des frustrations.

Par [visiteur] le 20/07/2011 à 18h58

Au debut des anées 80 , j'étais étudiante et j'ai eu l'occasion d'effectuer un voyage d'étude au japon , à la fin du mois d'aout . J'étais hebergée dans la famille de ma correspondante Hono , durant leur dernière semaine de vacances scolaire et j'ai pu suivre les differentes étapes des admissions en faculté .

La dernière étape du circuit d'admission était la visite médicale aprés les formalités administratives , cela s'étalait tout de meme sur une semaine , je tennais là de bons articles pour le journal de la fac , car à cette époque , nous n'avions pas les blogs pour relater les evennement en direct .

Comme chaque matins , nous nous levions vers cinq heures , pour Hono , pas de petit dejeuner , et pour cause , c'était le jour de la visite médicale . Aprés deux heures de train , metro et marche à pied au pas de charge , car au Japon tout le monde gallope en ville , le rytme est pire qu'à Paris , c'est pour dire ... Nous arrivions dans un complexe sportif , d'autres étudiants et étudiantes se trouvaient déja sur place avec leur carnet de santé à la main ...

Pour les filles cela se passait au dernier étage , une armée de jeunes infirmières , il devait bien en avoir une cinquantaine , se trouvaient sur place pour acceuillir tout le monde . Bien entendu , ma presence intriguait toutes ces filles en blouse blanche , Hono leur expliquait qui j'étais et la raison de ma presence avec mon appareil photo autour du cou et mon petit magnetophone , cela les rassurait .

Hono et un premier groupe d'étudiantes devait entrer dans un vestiaire , j'allais m'asseoire sur l'un des bancs pour l'attendre , je me disais que d'ici à une heure elle ressortirait , la visite medicale terminée , nous pourions alors retourner nous promener en ville .

, Je pouvais entendre derrière la porte des ordres , sans doute dispensés par une infirmière , puis de l'eau couler avec des cris de filles . Les jeunes infirmières presentes dans le couloir semblaient rigoler , cela m'inqiettait un peu ... Un quart d'heure aprés , je voyais tout ce groupe de filles sortir du vestiaire , entiérrement nues et de surcroit le pubis rasé , Hono faisait parti du lot et je me sentais terriblement génée pour elle , je pouvais égallement voir que toutes avaient la peau et les cheveux mouillés , elle venaient de prendre une douche .

Un second groupe prenait place dans le véstiaire , une infirmière me demandait de me lever et d'entrer avec le groupe . Je me disait que j'étais bonne pour passer la visite médicale égallement . Ne parlant pas un mot de japonais , je comprenais la premier ordre , car tout le monde se deshabillait , je n'avais qu'à suivre , certaines infirmières n'avaient encore jamais vues une européene de leur vie , j'en avais cinq autour de moi , en rasant mon pubis , elles étaient étonnée de l'epaisseur de ma toison , j'étais leur objet de curiosité , certaines rigollaient , pas moi .

Nous passions ensuite aux toilettes puis à la douche à l'eau quasiement froide , c'est de là que venaient les cris des filles , puis nous étions sorties illico dans le couloir , au pas de charge . Au passage , nos petites infirmiéres nous placaient dans l'anus les thermometres et encore une fois au pas de course vers le grand gymnase . Le groupe précedent était là , au garde à vous éspacé d'environ deux metres .

Les japonais sont extremement disciplinés , personne ne bougeait dans la salle , c'était comme ca , quelques filles pleuraient et l'une d'elle s'était meme efondrée au sol . Aussitot , un groupe d'infirmières la relevaient pour aller l'allonger sur le ventre , sur une table d'examen placée prés de l'entrée . Elle avait le droit à une piqure dans les fesses et à une paire de claques pour la reveiller .

Aucun des examens ne se déroulaient dans des salles , tout se passait dans le gymnase , par là aussis une armée de medecins , des hommes assistés d'infirmières poussant des chariots et des fauteuils sur roulettes . Mon tour arrivait , j'aprehendais de voir ces deux medecins et leurs infirmières m'entourer .

La balance , la toise , le spirométre etaient déplacés face à moi puis l'un des medecins me faisait ouvrir la bouche ppour l'examen buccodentaire , puis je devais m'abaisser , l'une des infirmières me retirait le thermometre , alors que l'un des medcins me placait ses doigts à la place , puis il passait au vagin et placait le speculum , je devais ensuite m'installer sur le fauteuil avec ce machin froid dedans , tout en prenant la precaution de placer mes poignets et mes chevilles dans des sangles , qu'une infirmière resserait . Le fauteuil était reglée en position selon les besoins entre l'auscultation , la prise de la tension , les palpations depuis le cou , jusqu'au bas ventre et puis complettement basculée en arrière pour la gynéco .

Cela me choquait d'étre ainsi denudée , à la vue d'une centaine de filles , atachée . Là aussis mon vagin intriguait les medecins qui devaient en profiter pour dispenser un cours magistrale sur la morphologie d'une européene ... Une fois détachée et remise debout une autre infirmière procédait à la prise de sang dirrectement dans la veine jugulaire , il ne fallait surtout pas bouger durant cette opération extremmement délicate et douloureuse .

Avant de pouvoir regagner le vestiaire , nous devions passer au camion de radigraphie . Celui ci était garé dans la rue , accolé à une porte du rez de chaussée et jointe par un soufflet , de sorte à ne pas nous voir , depuis la rue .

A la fin de la matinée , nous pouvions nous revetir et ressortir , depuis ce temps , je ne suis jamais retourné au Japon et je n'ai jamais relaté cet evennement dans le journal de la fac , j'aurais eu trop honte ...

Par [visiteur] le 23/07/2011 à 00h00

J'ai 50 ans et j'ai également subit de nombreuses visites médicales humiliantes

dans les années 70 la pudeurs des gamins devait être mon prise en compte.

La première visite qui ma marqué, je devait avoir 6 ans à la maternelle, on avait tous du ce mettre en sous vêtement, garçon et fille pour un certain nombre d'examen, puis les garçon ont du passé un par un devant le médecin , slip a la main pour une auscultation de nos parties. de cette "visite j'ai gardé trois images qui restent gravées
juste avant moi le médecin s'occupait d'un copain et il a annoncé à sa secrétaire qui écrivait les rapport, une seule testicule atrophiée a surveiller
la deuxième image qu'il me reste et le fait que j'ai choper une érection ce ui a fait remonter les testicules et il a pris beaucoup plus de temps a les tâter
et la 3ème le regard de ma maitresse qui me matait
malgré mes 6 ans j'ai garder ces trois points garder dans ma mémoire.

ensuite chaque année on subissait des visites avec auscultations de nos parties j'en garde pas beaucoup de souvenir, c'était la routine

vers 14 ans j'avais changer d'école, on continuait a devoir aller à la visite médicale une fois par année mais les attouchement devenait très gênant et très long mais on ne se posait pas de questions si ce n'est que j'ai appris plus tard que le médecin a été accusé de pédophilie (pas envers nous)

a 14-15 ans je m'en souvient pas j'ai du aller faire une radio je ne sais plus pourquoi, je me suis retrouvé allongé nu sur une table, l'infirmier a mis une coquille en plomb sur mes organes installer le système et a fait les radios
quant se fut fini il ma annoncé qu'il allait les contrôler pour voir si elles était bonnes et ma laisser la nu sur la table avec cette coquille de plomb, les idées d'ado aidant j'ai choppé une érection qui était encore bien la quant l'infirmier est revenu en m'annonçant qu'il fallait encore en faire une. Il a essayer a remettre la coquille sur mon sexe bien dur n'arrivant pas il ma dit qu'il fallait que je débande, m'a apporté une boite de kleenex et ma dit de faire le nécessaire en me laissant seul
quant il est revenu j'étais rouge de honte

vers 16 ans mes parents mon envoyé vers le médecin de famille pour un contrôle complet,
j'étais seul avec le médecin, mais c'est une visite qui ma marqué également
après l'auscultation classique il ma demander d'ôter mon slip et c'est acharné sur mes parties et surtout a commencer a me poser plein de questions : si je me masturbe souvent, si j'avais déjà couché avec une fille ou avec un garçon puis il a ausculté l'anus et a décrété que je m'étais déjà fait sodomisé, devant mon visage cramoisi il a dit, il y a pas de honte a essayer a ton age, tu t'es protégé au moins. l'interrogatoire a été d'un humiliant et intrusif j'en garde encore un malaise.

vers 16 ans également, j'ai eu une crise d'appendicite et suis entré en urgence a l'hôpital.
c'est une situation qui m'est restée et qui fait que j'en veut encore maintenant à ma mère
une infirmière ma emmener dans une chambre ma déshabillé et couché sur un lit et a été cherché un rasoirs
pour me préparer à l'opération, c'est alors que ma mère est entrée dans la chambre, et a dit a l'infirmière laissez, je m'en occupe, je suis aussi infirmière. et je me suis retrouvé la couché sur le lit en train de me faire raser les couilles par ma mère sur le moment j'avais tellement mal du à l'appendicite que je me souvient pas très bien mais après coups je n'arrive pas a digérer
a cette époque devoir se retrouver nu c'était quelque chose de normal même si après coups on en garde des souvenir précis, ce qui prouve bien les humiliations qu'on a subit.

Par [visiteur] le 31/07/2011 à 19h03

lorsque j'etais un petit Garçon de douze ans , je fus conduit par ma tante à la visite medicale periodique. Le docteur etait une femme d'une trentaine d'annèes et elle avait une infirmiere assistante très jeune et très joli.
Ma tante voulait rester au dehors ,mais le docteur l'invita à l'interieur de la chambre ou allait se passer ce que je n'ais jamais oubliè.... devant les yeux de trois femmes je dus montrer mon corps d'ado tout nu...
Je possedais des grosses fesses saillantes et rebondies, je ne peux ancora aujord'hui oublier le regard mocqueur de l'infirmiere....

Par [visiteur] le 31/07/2011 à 18h53

Pas mal raconté!

Par [visiteur] le 22/08/2011 à 12h24

Pris de douloureux maux de dos, mon médecin n'étant pas disponible avant lundi, je me présenté aux urgences du CHR de mon secteur. Je décris mon mal à l'accueillante, en lui précisant que s'il n'y a vraiment pas d'urgence, je peux attendre lundi matin. Finalement, après concertation avec une infirmière de garde, on me garde.
Stressé, j'ai pris mon MP3 avec moi, histoire de ne pas trouver le temps trop long à attendre.
Au bout de 10 minutes, une secrétaire me fait entrer dans son bureau, une autre, pas celle qui était à l'accueil. Elle m'interrogue sur le mal que j'ai, me prend la tension, ma température et me demande d'attendre dans la salle d'attente, le médecin n'allant pas tarder.
Je retourne en salle d'attente, et effectivement, je n'attends pas longtemps : une troisième infirmière m'appelle et me fait entrer dans un box, qu'elle referme derrière elle (et moi). Elle me demande de me mettre en slip, de déposer toutes mes affaires dans un sac, et de laisser le tout sous le branquard dans lequel je m'allongerai, une fois déshabillé. Elle me dit ensuite de revêtir une blouse bleue, qui se ferme par derrière, de me couvrir avec une couverture et d'attendre le médecin.
Moi qui venait pour un mal au dos, me voilà prersque à poil.
Le médecin, une femme encore, vient m'examiner : pour ce faire, elle a retroussé le drap sous lequel je me trouvais, et la blouse qui m'enveloppait. Je me paye un bon lumbago. Tout de suite, elle établit une ordonnance et la troisième infirmière vient me poser une perf. Je suis resté en tout et pour tout, 2 h 30 dans le service, dont 1 h 20 sous perf.

Par [visiteur] le 22/08/2011 à 12h24

J’ai eu une expérience un peu similaire avec un de mes cousins lorsque j’étais encore jeune fille. Nous étions ensemble en congés chez mes parents lorsqu’il eut pris rendez vous chez le médecin pour un certificat d’aptitude sportive. Pensant qu’il ne s’agissait que d’une formalité nous y sommes allé ensemble. A l’époque il avait presque 16 ans et moi douze. Nous avions de la chance car la salle d’attente était vide lorsque nous sommes arrivés. Le médecin habituel de mes parents était en congés et remplacé par une jeune médecin que ni moi ni mes parents ne connaissait. A l’heure dite la porte du cabinet s’ouvrit et une jeune femme brune très séduisante nous invita à entrer. Mon cousin ne se formalisa pas que je l’accompagnais dans le cabinet, après tout ce n’était que pour signer un document. Après quelques minutes de discussions et de questions la docteure lui expliqua que même pour un certificat elle devait l’examiner. Elle l’invita à passer dans la cabine de déshabillage pour se dévêtir, torse nu et slip précisa t elle. Elle lui demanda si il préférait que je sorte mais après une seconde d’hésitation il répondit que non, sans doute aussi perturbé que moi qu’on lui demande tout cela. Je me mis dans un coin du cabinet en attendant le retour de mon cousin. En quelques minutes il s’était débarrassé de ses vêtements et ressortit de la cabine avec pour seul vêtement un slip blanc assez moulant. Il était plutôt beau garçon du moins de mon point de vue d’une gamine de 12 ans. Le docteur lui prit sa tension, lui examina le tronc, les bras, les oreilles, lui écouta son cœur. C’était la première fois que je le voyais ainsi, quasi nu si ce n’est ce linge blanc. Debout devant la doctoresse son slip dissimulait son intimité mais en même temps le tissu laissait deviner assez bien les formes qu’il contenait. A 12 ans je n’avais jamais vraiment de sexe d’homme ou même d’adolescent et là j’observais la bosse que faisait celui de mon cousin dans son slip. Pointant légèrement sur le coté son zizi me semblait bien plus gros que celui de mont petit frère que je voyais ma mère laver de temps en temps. La doctoresse lui palpa l’abdomen puis l’aine jusqu’à la limite du tissu. Ses doigts soulevèrent légèrement le slip sur le coté mais trop furtivement pour que je vois quoi que ce soit. Je me demandai si elle allait jusqu’à lui examiner son instrument. C’est à ce moment qu’elle lui demanda si notre médecin habituel lui avait déjà fait un examen des organes. Un peu gêné il répondit que non. Elle lui expliqua que c’était important à son age de vérifier ces parties du corps et lui demanda de baisser son slip pendant qu’elle se passait un désinfectant sur les mains. Se souvenant soudain de ma présence elle compris la gêne du jeune homme et l’invita a passer derrière le paravent qui servait sans doute habituellement aux dames pour les examens gynécologiques. J’étais à la fois un peu déçue et soulagée. Déçue car j’aurais bien aimé voir l’examen jusqu’au bout et soulagée car j’imaginais la honte de mon cousin de se voir ainsi exposée à mes yeux. Mon histoire aurait pu se terminer là si ce n’est que l’agencement du cabinet médical me donna l’occasion de jouer la petite voyeuse. La doctoresse et mon cousin disparurent de mon regard et comme je m’ankylosais un peu je changeait de place et m’assit sur un chaise plus à droite vers la porte de sortie. Les secondes s’écoulaient, j’entendais à peine ce que disais la doctoresse ; puis au bout d’un moment mon regard se perdit vers un miroir de plain pied situé au fond et ce miroir innocent me renvoyait l’image de ce qui se passait derrière le paravent. Par réflexe je rougis, fermait les yeux puis les rouvrit. J’avais raté la séquence du déculottage mais mon cousin était désormais slip sur les genoux ; fesses et zizi nu tandis que la femme docteur lui soupesait et palpait ces petites choses. Je découvrais l’anatomie familiale sans que le garçon ne se doute de quelque chose. En trois ou quatre minutes j’ai eu le loisir de détailler les parties intimes de mon cher cousin, ses poils naissants, sa zigounette avec son bout tout rose que la doctoresse découvrit et recouvrit, ses boules de jeune male. Elle le fit se retourner pour lui examiner les reins et les fesses. Sentant la fin de l’examen je me ressaisis et alla me rasseoir à ma place initiale. Mon cousin reculotté et la doctoresse réapparurent, elle un peu souriante et lui semblait très ému par l’examen subi. Cette fois je scrutais plus la doctoresse car je me disais qu’elle faisait un beau métier. Mon cousin alla se rhabiller dans la cabine puis nous sortîmes du cabinet avec le certificat. Jamais je ne lui ai parlé du spectacle que j’avais vu mais peut être que d’autres lecteurs ont des souvenirs de scènes vues au travers d’un miroir complice.

Par [visiteur] le 22/08/2011 à 12h24

je suis un homme d'une cinquantaine d'année et je n'ai jamais aimé les visites médicales surtout qu'à l'époque pratiquement à chaque fois il fallait baisser le slip.
A 17 ans je me suis réveillé un matin avec très mal au ventre et mon père m'a emmené aux urgences. Après avoir attendu plus d'une heure, un interne et venu me voir, m'a dit de me déshabiller et d'attendre qu'il repasse. Je me suis mis en sous-vêtements et je me suis couché. Près d'une heure après il est revenu très énervé et à tiré les draps en hurlant presque "mais c'est pas vrai... à poil, merde c'est pas compliqué." mon père lui a dit de se calmer mais il n'a rien répondu et moi le plus lentement possible j'enlevais mes sous vêtements. Mon père ne m'avait pas vu nu depuis que j'avais 10 à peine et là je lui montrait mon sexe j'étais très gêné et lui aussi car à la maison on ne se ballade pas à poil (je n'ai jamais vu mon père nu). Après m'avoir tâté le ventre il s'est intéressé à mes parties intimes trouvant que j'avais les testicules un peu gros et que j'avais le prépuce trop long. Il se mit alors à me palper les unes et à faire glisser le second plusieurs fois et sans ménagement. puis toujours nu, il a recommencé à me palper le ventre et là, j'ai eu une érection. Alors que j'étais bien raide il est revenu à la charge pour voir si je décalottais bien en érection. encore plein de vas et viens si bien que j'éjaculais. Il ne dit rien et me tendit négligemment une serviette pour m'essuyer et déclara que j'avais une crise d'appendicite. Le lendemain matin j'étais opéré. quatre jours plus tard, mes parents venaient d'arriver me rendre visite lorsque l'interne que je n'avais pas revu depuis mon admission entra et déclara " j'ai demandé à notre urologue de l'examiner car il éjacule trop vite, je pense qu'il souffre d'éjaculation précoce et puis il y a son problème de gros testicules. Il balança les draps au pied du lit et me fit retirer mon pyjama encore devant mes parents. A ce moment là un docteur d'une cinquantaine d'années entra et se mit à discuter avec l'autre. L'urologue se mit tout de suite au travail en s'intéressant à mon anatomie. Mes parents étaient en train de sortir lorsqu'il leur dit de rester car après tout ça les intéressait de savoir si j'avais ou non des problèmes. L'examen fut très long, trés douloureux et surtout très gênant. malgré ce tripotage je n'eut pas d'érection et il s'en inquiéta me demandant d'essayer d'en avoir une pour qu'il puisse voir. Il accéléra les vas et viens et je finit par avoir une semi érection. Là il me dit qu'il allait me masturber pour voir la durée d'éjaculation et la qualité du sperme. Je refusais et me mit à pleurer à 17 ans c'était encore plus la honte. Sans s'émouvoir il entreprit son acte sans ménagement devant ma mère médusée de ce qui m'arrivait. enfin je finit par éjaculer un peu. Il déclara tout de net et bien tout est normal, je ne vois pas pourquoi on m'a dérangé et il me planta là, les draps retiré avec du sperme sur le ventre. Je n'en pouvais plus et j'ai éclaté d'une crise de nerf. C'est en définitive mon père qui m'a essuyé et rabattu les draps. J'ai été traumatisé par cette visite durant des années.

Par [visiteur] le 12/09/2011 à 09h38

moi c est julie j ai subi une operation (enlever un kyste au col de l uterus )je suis arrivé a l opital il sagit d un hopital thermal sitot dan s ma chambre j ai du me mettre en peignoir nu dessous une infirmiere pas loin de la soixantaine cheveux poivre et sel blouse et sabot blanc au pieds tres autoritaire est venu me chercher direction la salle des douches la j ai du me mettre nu elle a commencer a m inspecter cheveux oreilles aisselle tout y est passé puis elle m as dis < je vais vous doucher > avec la douche a jet puis elle passé la betadine puis rincé ensuite elle m a fait allongé sur une table de toilette toujours nu jambes ecarté elle est revenu avec rasoir savon bassine c est la quelle m as dis <je vais vous raser > une vrai sadique il me tarder que ca finisse puis je suis retourne a ma chambre j usqua l operation le lendemain j en garde un mauvais souvenir c etait vraiment une matonne surtout qu en salle des douche j ai attendu une heure avec une serviette autour du corps assise les cheuveux mouillé

Par [visiteur] le 10/09/2011 à 07h30

Personnellement , j'aimais bien les visites médicales , nous devions en subir une chaque année lorsque j'étais au lycée . Nous n'étions jamais prevenues à l'avance , ce qui était mieux , car je pense que certaines de mes camarades de classes auraient essayés de s'en faire dispenser ou de la faire chez leur médecin de famillle .
L'infirmière venait nous chercher en cours , elle disait , voila mesdemoiselles , vous allez toutes passer à la visite médicale . Cela se passait toujours le matin , on venait nous chercher vers neuf heures , à la fin du premier cours et cela durait jusque en début d'apres midi vers quatorze heures . Pour celle qui ne mangeaient pas à la cantine , les parents étaient prevenus pour ne pas s'inquietter .
Nous étions ensuite emmenées à l'infirmerie , celle ci était bien plus grande et mieux equipée que celle du collége que j'avais precedement frequenté . L'infirmière nous installait dans une salle d'attente , elle nous disait de commencer à nous deshabiller , par contre , les trois premières de l'orde alphabetique devaient elle se presenter juste en petite culotte , sans les chaussettes et le soutien gorge . Generallement au collège on nous les laissait .
Quand on dit commencer par se deshabiller , cela n'était pas bien mechant , juste retirer les manteaux , les puls , les vestes , les chaussure , pour se retrouver en juppe et en chemisier , nous étions installée un peu comme dans une salle de cours avec de tables et des chaises . Une surveillante , nous donnait des devoirs histoire de compenser les heures de cours perdues .
Pendant que nous faisions les devoirs , l'infirmière s'occupait de celles qui étaient deshabillées , elle les pesait puis les mesurait , leur faisait lire au tableau , controlait l'audition , c'est pour cela que nous devions garder le silence , puis elle les faisait souffler dans un appareil pour controler leur souffle avant de les envoyer à tour de role voir le docteur ou la doctoresse , selon les années . Une fois que la première passait chez le docteur , la quatrième devait abandonner ses devoirs , finir de se deshabiller et aller au fond de la salle attendre son tour avec l'infirmière , c'était pratique , car comme cela l'infirmière ne perdait pas de temps , il y avait toujours au moins deux filles en culotte à sa disposition .
Bon , c'était à mon tour de passer , ca me genait un peu , mais c'était medical et je comprenais pourquoi , il fallait se deshabiller , aussis pour étre à l'aise , comme pour le sport .
Une fois les test de l'infirmière effectués , je passais cette fois ci de facon individuelle chez le docteur , j'étais assez impressionnée de voir la première année l'équipement de son cabinet médical et surprise de devoir en arrivant aller me coucher sur la table , car au colllège on nous examinait debout , là ca paraissait plus serieux . On se serait cru un peu comme dans une salle d'opperation , le medecin demandait à son assistante de lui passer les instrument pour m'examiner . J'avoue que cela m'inquiéttais un peu , mais je ne disais rien et me laissais faire , apres tout c'était un docteur et il ne pouvait rien m'ariver, il savait ce qu'il faisait . Si j'ai bonne memoire , il nous auscultait prenait la tension , regardait le nez , les yeus , les oreilles et la bouche , il palpait le ventre , les seins , et le cou avant de regarder dans les parties intimes , pour cela son assistante nous enlevait la culotte et prenait la temperature dans l'anus . En classe de terminale par contre j'ai eu un examen de gynecologie , car c'était une damme qui nous éxaminait , ca m'a surpris , mais apparement c'était au programe avec elle , nous passion l'ensemble de la visite médicale toute nue , c'était comme ca .
Une fois les examens du medecin terminés , l'infirmière nous faisait allonger sur une table au fond de la salle d'attente pur nous passer l'electrocardiogramme , je trouvais cela plutot amusant . Ce que je trouvais un peu genant c'était de devoir rester en petite culotte pourle restant de la matinée , car nous repassions chacune devant le medecin avant d'étre liberées pour treize heures , en general ou quatorze quand il y avait la gynecologie , car cela se passait apres la première serie d'examens .
Une fois revetues , un repas leger nous était servi à la cantine puis nous avions quartier libre l'apres midi , y compris les internes , c'était assez sympatique de se retrouver toutes ensemble l'apres midi , c'est assis la raison pour laquelle j'amais bien les visites médicales , on aurait du en avoir deux par ans .

Par [visiteur] le 18/09/2011 à 06h38

Mes parents ayant divorcés , dans le courant des années 80 , je suis allée vivre de l'autre coté de la frontière , en Belgique , avec ma mere à La Louvière plus precisement .

Je me souviens tres bien des visites médicales , assez sevères , que nous devions subir en athenium , l'eqivalent du lycée en france et ce chaque année , voire deux fois , la dernière année , une pour l'athenium et l'autre pour l'entrée en université .

Les visites médicales se déroulaient toujours le matin , durant le temps scolaire , car en Belgique , les cours s'arrettent vers 14 heures . Nous n'étions jamais prevenus de cette échéance , pour éviter les abscences injustifiées face à cet evennement . Contrairement à la France ou les visites médicales se déroulent au sein meme de l'établissement scolaire , en Belgique , cela se passe dans des centres , les fameus " Medish onderzoek zentrum " . Car pour preciser , je me trouvais en région Flamande , l'usage du francais dans l'administration est plutot mal vu ...

Pour ne rien cacher , cela ne nous plaisait guerre , surtout les methodes " militaires " du personnel . En arrivant au zentrum , nous étions séparées de garcons et installées dans une petite salle entièrrement carrelée , du sol au plafond , la surveillante qui nous accompagnait donnait l'ordre de commencer à nous déshabiller , sans plus de précisions avant que l'une des infirmières de l'établissement n'arrive en poussant un chariot , nous étions alors dans une sorte de négligé vestimentaire . La surveillante et l'infirmière s'entreteneiant , je pouvais entendre la première dire , on ne leur fait pas garder les pantalons , les chaussettes , les hauts ... Bref , notre jeune surveillante reprenait sur un ton plutot génée de tout enlever , sauf la culotte . Nos vettement étaient ensuites posés par piles sur le chariot avant d'étre enlevés par la dite infirmière .

La salle dans laquelle nous étions , ne comportait pas de banc ou de chaises , il sagissait d'une salle d'archivage , car nous étions au milieu d'étagères contenant des dossiers médicaux . Certaine , habituées de ce lieux décidaient de faire un sitting contre les armoires , nous avions le choix entre rester debout ou nous installer ainsi , à meme le faience froide , je faisais comme mes copines , de tote facon , je n'avais pas le choix . Cela choquait meme notre surveillante , qui faisait ses études de professeur dans une université francophone , elle nous expliquait que pour ses visites médicale , elle disposait d'une petite cabine individuelle pour se deshabiller .

D'autres femmes entraient dans la salle , en poussant un chariot , elles venaient chercher nos dossiers médicaux dans les armoires , nous devions nous pousser pour éviter de nous faire marcher dessus par ces girondes trapues . La surveillante , les interpelaient pour leur demander si nous aurions le droit à une tenue pour l'attente . L'une d'elle repondait " non , non , de toute facon , ca ne sera pas long , le medecin est arrivé , il va s'occuper de vos filles aussitot .

Par [visiteur] le 18/09/2011 à 22h51

Malheureusement, tout le monde (ou presque) passe par là... J'ai eu de la chance puisque là où j'habite il est demandé aux accompagnateurs de rester dans la salle d'attente pendant le rendez-vous de l'enfant. Mais ce n'est pas pour autant que ma mère ne m'a jamais vu nu : une fois, elle est rentrée dans la salle de bain quand je prenais mon bain car j'avais omis de fermer la porte à clé. Ce n'était pas la mort m'enfin... on perd en fierté, ça c'est sûr.

Par [visiteur] le 21/09/2011 à 08h32

J'étais très lié a mon oncle, un homosexuel sans complexe, il me racontais ses aventures, etc. je précise qu'il n'y a jamais rien eu entre nous, je ne suis pas homo et il n'a jamais essaye de me toucher ou proposer quoi que ce soit.
un jour il m a appris qu'il était impuissant et que pour avoir une érection il s'injectait un produit dans le pénis ce qui lui donnait une érection de plus d'une heure.
j'ai trouvé ca trop bien (j'avais 15 ans) et un après midi je lui ai piqué une de ses seringues pour me faire une injection.
mal m'en a pris, quelque heure après j'étais toujours en érection et commençais a avoir mal.
ma première humiliation a été de devoir en parler a ma mère pour qu'elle m'amène chez le medecin
deuxième humiliation chez le médecin qui ausculta avant de m'envoyer a la clinique
troisième humiliation entendu nu sur une table d'auscultation devant un médecin et une infirmière
la je crois qu'il a fait exprès mais il a fait venir ma mère a expliqué qu'il allait essayer de me faire une injection mais qu'il fallait attendre que ca passe en rajoutant que j'avais un fort risque de rester impuissant après ca, que c'étais d ma faute que j'avais a assumer mes bêtises
il ma donner rendez vous deux jours après
a ce rendez vous après une auscultation en bonne et due forme il me demandais si je pouvait encore avoir une érection, comme je ne savait pas il m a demander de me branler comme je ne voulais pas il ma dit comme je voulais mais que si j'avais des séquelle il fallait mieux le savoir tout de suite
quant elle est venue dure il est revenu m'ausculter puis a demander de finir
et enfin il a fait revenir ma mère pour me dire que tout allais bien et que j'avais eu beaucoup de chance

Par [visiteur] le 21/09/2011 à 18h31

C'est quoi palper les testicules ?

Par [visiteur] le 23/09/2011 à 19h08

une histoire plus haut d'un grand garcon éxaminé devant son pere me rappele une situation que j'ai vécu a 19 ans
suite a un refus de priorité d'un conducteur ma voiture a été détruite,devant la violence du choc latéral meme si je n'avais apparament rien les policiers ont appelé les pompiers pour qu'ils m'emmenent en consultation a l'hopital
mon pere prévenu m'a rejoint aux urgences,on venait de me faire passer une radio complete
peu de temps apres un interne m'a appelé,mon pere m'a suivit,dans la salle d'examen il a commenté les radio en disant que je n'avais apparament rien,je croyais en rester la quand tout a coup il a dit,on va quand meme regarder tout ca,"deshabiller vous entierement",le mot"entierement" m'a tout de suite interpelé,mais je pensais tout de meme garder mon slip,puis il a dit le temps de vous deshabiller je vais m'absenter un instant,et il a préciser vous enlever bien tee-shirt chaussette et sous vetements,j'ai juste dit "oui"
et j'ai commencé a me deshabiller selon ses consignes sauf que je me suis arreté au slip,c'est la que mon pere m'a dit "il t'a dit de tout enlever"je me suis résigner me mettre tout nu,mon pere ne m'avait pas vu nu depuis longtemps, j'ai senti son regard qui me détaillait,visiblement il profitait de l'occasion pour voir comment j'étais fait puis le medecin est revenu et j'ai été éxaminé nu a 19 ans devant mon pere

Par Patrick [visiteur] le 07/11/2011 à 18h18

J'ai 20 ans et il y a deux mois j'ai été pris d'une grippe qui m'enpêchait de bouger j'ai donc demandé à ma mère de m'emmener chez le medecin. Il s'agit d'une femme d'une trentaine d'années qui connait bien ma mère et qui sans être de grandes amies quand elles se voient passent pas mal de temps à discuter.
une fois dans le cabinet, je lui explique ce dont il retourne et elle me demande de me déshabiler dans la salle d'examen attenante pendant qu'elle discute avec ma mère. Je me mets donc en slip et chaussette. Peu de temps après le médecin revient sans ma mère mais elle continue à parler et elle me demande donc si cela me dérange qu'elle assiste à l'examen. Je lui dis que non vu qu'elle m'a déjà vu en slip. Ma mère arrive donc pendant que se termine l'examen, qui conclu en effet à une grippe.

Consultant mon dossier elle relève que je ne suis pas venu depuis cinq et elle décide vu qu'il n'y a plus personne dans la salle d'attente de me faire un examen complet. Elle me demande donc de retirer mon slip, ce que je fais sans réfléchir tellement je suis dans le brouillard. Mais une fois nu, je me rends compte de deux choses, d'une part mon sexe est tout petit et en plus ma mère et présente, je me cache donc rapidement et je rejoins le medecin devant la toise puis sur la balance. Finalement, je dois retirer mes mains et ma mère alors mon pénis qui ne doit pas mesurer plus de 4 cm, je lis alors sur son visage un mélange de honte de me voir nu ainsi que d'excitation qui se transforme vite en surprise de la voir si petite. Mais au cours de l'examen de mon appareil génital j'ai une érection qui l' afait se durcir et grandir jusqu'à s taille normale soit 15 cm ce qui semble rassurer ma mère et la medecin.

Par Julien [visiteur] le 08/11/2011 à 20h58

pour moi aussi cela fut une surprise qd je me rendis a 25a chez le medecin qui me mis nu devant son etudiant en medecine. Ils etaient deux à me tater les roubignoles et me decaloter et observer en detail l'appareil.
Quelle honte

Par visiteur [visiteur] le 11/11/2011 à 16h21

Oh ca est bien banal

Par yoo [visiteur] le 16/11/2011 à 23h55

Dur la honte

Par free [visiteur] le 01/12/2011 à 17h32

Moi, mon médecin m'a demandé de me mettre nu et de m'allonger. D'abord, il m'a toucher les testicules, puis il a décalotter mon pénis et a fais des vas-et-vient, qui m'a fait éjaculer. Puis, il a toucher mon gland. La honte ...

Par yoy [visiteur] le 04/12/2011 à 15h08

Il y a une quinzaine d'année je pratiquais le football a un bon niveau et en début de saison , j'ai du passer une visite médicale au centre médicale et sportif de ma ville
Je devais avoir 16 ans a l'époque; je suis arrivé à l'heure de rendez vous et j'attendais dans la salle d'attente; Au bout de quelques minutes, une infirmière est sortie d'une pièce et m'a demandé mon nom et ma dit de rentrer dans une cabine qui est accolée au cabinet de visite en me demandant de me déshabiller;

Au même moment qu'elle me dit ça, un groupe d'une dizaine de filles rentre dans la salle d'accueil en rigolant et en faisant un raffut d'enfer; visiblement ce sont des sportives, basketteuses je pense et celles-ci sont copines de l'infirmière;

je rentre donc dans ma cabine et je commence a me déshabiller quand il ne me reste plus que mon slip et mes chaussettes ;je demande par la porte a l'infirmière si je peux garder mes chaussettes; dans le bruit que font toutes les filles, je n'entend pas de réponse; je redemande en parlant un peux plus fort et la j'entends l'infirmière me dire

” vous enlevez tout ” , c'est une visite médicale complète sans slip ni chaussette”; je suis très surpris et je ne sais pas trop quoi faire; finalement je m'exécute et je me déshabille entièrement ; je suis assez anxieux et j'attends;

Au bout de quelques minutes, la petite lumière s'allume et le verrou de la porte donnant accès au cabinet s'ouvre; je me lève de mon tabouret et assez gêne,je rentre dans le cabinet; l'infirmière est là assise devant le bureau en train d'écrire sur mon dossier et elle me dit qu' on allait commencer; moi je suis debout et la elle relève la tète et me voie nu; elle est très surprise et même un peu rouge; comme moi je présume… elle me dit de monter sur la balance et me pèse; je vois qu'elle esquisse un petit sourire d'amusement; elle inscrit mon poids sur mon dossier et elle me dit

“excuser moi une minute, je vous pris, je reviens”;

elle sort et moi j'attends debout en tenue d'Adam; elle reviens très vite en ayant toujours ce petit sourire; nous continuons la visite quand j'entends frapper a la porte; a ma grande surprise elle répond

“entrez”; et la je vois trois filles du groupe de tout a l'heure entrer en rigolant et en demandant si elles devront attendre longtemps; je suis très gêné et je vois bien qu'elles me regardent partout;

l'infirmière leur répond: ” non il n'y en a pas pour longtemps, le monsieur s'est même mis tout nu pour aller plus vite” dit elle en rigolant; je lui répond que c'est elle qui me la demandé et elle me répond “mais non je n'ait rien dit moi”; et la je réalise que ce n'était pas elle qui avait répondu mais une des filles du groupe; et elle me dit” mais c'est pas grave vous pouvez rester tout nu, ca ne me gène pas, et je pense que mes amies ne sont pas gênées non plus; entre sportifs c'est normal”;

les trois filles rigolent et l'infirmière leur demande si cela les gènent ou si elles veulent sortir; elle répondent” non non , cela ne nous gênent pas, il vaut mieux qu'il soit tout nu , c'est mieux pour la visite..” ensuite l'infirmière a continué a m'examiner de partout , mesurer, tester mon souffle, flexions des genoux, palpation testiculaire tout ca tout nu devant les trois filles; j'avais honte et j'étais très gêné; surtout quand une des trois est sorti chercher quelque chose et est revenu sans refermer la porte, ce qui fais que pleins d'autre filles se sont rapprochées pour me voir a poil; j'avais la honte et depuis je repense souvent a cette visite et je me demande encore comment je ne suis pas sorti du cabinet; je pense que j'étais pétrifié par ce qui m'arrivait , en tout cas il y a une dizaines de filles qui doivent ce rappeler ce jour la; peut être se reconnaitront elles.

Par boton [visiteur] le 06/12/2011 à 21h01

mon histoire est banale , a 14 ans ma mere m'enmena chez le medecin pour une visite medicale de routine , nous vivions dans un milieu tres austere et les problemes de sexe etaient tabou , je fus invite par le medecin a me mettre en slip et a passer sur la table d'examen ou il me fit subir toute sorte de mouvement des jambes et du bassin toujours sous le regard de ma mere , ensuite il m'invita descendre s'asseya sur une chaise et il me demanda de me positionner face a lui , ma mere me suivait toujours du regard , il me passa le stetoscope sur la poitrine et sur le dos , me fit marcher 10 pas et revenir , me fit touner et abaisser et placa ses doidgts sur ma colonne vertebrale , je pensais naivement en avoir termine quand il se rapprocha et me demanda tres calmement de baisser mon slip , j'eu un moment d 'effroi en regardant ma mere qui semblait impassible , je me suis execute et j'eu droit a un examen en regle decallotage et palpation des testicules la gauche n'etant pas encore descendue fut quand meme palpés apres avoir fortement appuyé sur le pubis avec le pouce , puis se tournant vers ma mere le medecin crut bon lui expliquer que ce probleme n'etait pas bien grave mai qu'il convenait neanmoins de surveiller si ce testicule descendrait naturellement , ma mere acquiessat et a cet instant sexe offert mon regard croisat le sien et je fut tout a coup envahi a la fois d'un sentiment de profonde gene mais aussi d'un delicieux sentiment de volupte qui me traversait et curieusement ce qui quelques minutes auparavent me paraissait insoutenable devenait subitement delicieux et je sentait monter en moi une erection alors que les adultes continuaient a converser , le temps semblait s'arreter quand le le medecin se retouna vers moi et m'invita a remonter mon slip me mit une claque sur les fesses et m'envoya me rhabiller , au passage je croisait encore le regard de ma mere . nous primes congé sur la route je ressentait un sentiment confus vis a vis de ma mere , j'avais le sentiment d'avoir passe une etape et je ressentais un sentiment confus et delicieux envers elle comme une liberation , ma mere etait de surcroit jeune et tres belle , grace a cette visite nous devinmes intimes et elle fut celle qui suivit a la lettre les instructions du medecin et qui assista a ma premiere ejaculation aujourd'hui a pres de 70 ans ce souvenir malgre toutes les experiences connues depuis ce souvenir reste le plus fort et de loin le plus intense de ma vie sexuelle

Par yoo [visiteur] le 18/12/2011 à 14h40

Pour un problème d’hémorroïde à 15 ans, je devais aller chez le médecin pour me faire examiner. Ma mère ne pouvant pas m'accompagner, ce fut mon grand-frère de 18 ans qui m'accompagna.

Dans le cabinet, la doctoresse m’accueillit et me demanda de quitter mon pantalon puis de m'allonger sur la table d'examen. En caleçon, je m'allongeait sur le dos, tandis que mon frère prenait une chaise qui lui permettait de garder un œil sur moi.
La femme médecin s'approcha de moi et palpa mon ventre. J'en profitais pour l'observer : elle était assez jeune, la trentaine, et plutôt sexy. Ayant fini ses palpations, elle me dit de soulever mes fesses : j'obéis sans réfléchir et je me retrouvais le shorty aux chevilles, nu devant elle et mon grand-frère ! En plus, ses palpations étaient assez agréables donc mon zizi avait un peu grossi.
La doc me demanda de me mettre sur le côté pendant qu'elle mettait un gant, puis m'examina le derrière, toujours sous les yeux de mon frère, elle introduisit son anus dans mon fondement. Finalement, alors que je commençais à trouver ça agréable, elle me dit de me remettre sur le dos. Observant mon érection, elle me dit en souriant que je pouvais me rhabiller, ce que je fis sous le sourire moqueur de mon frère...

Par Pierre [visiteur] le 31/12/2011 à 11h33

À 17 ans, ma mère nous emmena avec ma sœur de 15 ans chez le docteur pour un certificat médical. Nous entrons tous les trois dans le cabinet qui est minuscule avec au centre une table d’auscultation et un bureau juste à côté. Ma mère lui expliqua pourquoi nous étions là et le médecin me proposa de commencer en me demandant de me mettre en slip. Je le fis sans problème ma sœur me voyant tous les étés en maillot de bain comme ma mère cela ne me posait aucun problème.
Il fis les examens d’usage puis me demanda de retirer mon slip, ce qu’il n’avait jamais fait. Je ne bougeais pas attendant que ma mère et ma sœur sortent mais ne bougèrent pas sauf ma sœur qui esquissa un sourire.
-Allez dépêches toi, on va pas rester ici la nuit, commença à s’énerver ma mère.
-Bah, vous pourriez sortir s’il vous plaît, tentais-je timidement.
-Non, non, allez vite, de toutes manières on t’a déjà vu tout nu, répliqua ma mère sur un ton qui n’appelait pas de réponse, et je vis que ce ton avait impressionné ma sœur.
Je me tournais donc et retirais mon slip leur dévoilant mon derrière. Je me rendis compte alors que mon pénis était tout petit, ce qui est toujours le cas au repos mais ici la température très basse de la pièce, ma mère avait même gardé son manteau) l’avait encore rapetissé et il ne dépassait pas les 4 cm.
Le médecin me fis me coucher sur la table d’auscultation et je dus ôter mes mains de devant mon intimité.
-C’est tout, éclata ma mère de rire, c’est pour ce petit machin que tu voulais que l’on sorte.
-Une seule main aurait suffit si tu voulais la cacher, renchérit ma sœur.
-Quand je disais qu’on avait déjà vu petit, je pensais que ça avait évolué depuis, continua ma mère.
J’étais au bord des larmes, mais je me retenais pour en plus ne pas pleurer devant ma petite sœur.
Le médecin se retenait pour ne pas rire de toutes ces remarques et il tenta de prendre ma défense en affirmant que la taille au repos ne voulait rien dire même s’il vrai qu’en l’occurrence ma verge est assez petite.
-Ce qui me surprend plus c’est la taille de ses testicules qui sont petites pour son âge, enfin il en a bien deux apparemment… mais regardez, on dirait qu’il a un problème de peau sur le prépuce essentiellement mais sur l’ensemble du sexe.
Ma mère s’approcha comme l’y invita le docteur et ma sœur la suivit, les deux purent alors regarder de prés mon sexe qui n’avait pas grossit au contraire.
-Il a eu ça comment?, interrogea ma sœur qui continuait à regarder mon sexe avec un léger sourire.
-Surement à la piscine, répondit le docteur, ce n’est pas le premier que je vois mais à cet endroit c’est rare. Je vais vous faire un courrier pour que vous alliez voir un dermatologue et pour ses bourses, vous repasserez après son traitement. C’est bon tu peux te rhabiller, me dit-il. À toi maintenant en sous vêtements s’il te plait.
Ma sœur perdit son sourire aussitôt et commença à retirer sa robe. Elle était donc en collant et t-shirt. Le docteur lui dit qu’elle pouvait rester ainsi pour le moment et elle parut rassurer. Elle eut les mêmes examens que moi et dut retirer son t-shirt pour l’examen de la colonne vertébrale.
-Normalement, je ne fais pas déshabiller totalement les filles mais là si ta mère n’y voit pas d’inconvénient j’aimerai vérifier que tu n’as pas la même chose que ton frère.
-Pas de problème, assura ma mère, j’aime mieux ça, allez retire tout.
J’étais assez excité de voir ma sœur se déshabiller et je commençais à sentir une légère érection, que je regrettais de ne pas avoir eu avant ce qui m‘aurait éviter quelques moqueries. Ma sœur retira donc ses collants, son soutien gorge et enfin sa culotte mais comme moi elle s’était mise de dos et nous ne pûmes voir que ses fesses. Mais une fois qur la table d’auscultation, elle retira ses mains et je découvris qu’elle s’épilait partiellement, ce que ma mère ignorait également, à en voir par son étonnement, mais elle ne dit rien. Le médecin, qui semblait aussi gêné que sa patiente, examina rapidement le corps dénudé de ma sœur, mais s’arrêta sur sa poitrine et y trouva sur le sein gauche, la même chose que moi. Elle avait l’air encore plus honteuse que moi d’être nue devant sa mère mais en plus devant son frère et surtout un inconnu.
Le médecin la fit se rhabiller puis proposa à ma mère de vérifier qu’elle n’avait rien mais elle refusa au prétexte qu’elle n’allait pas à la piscine.
-Très bien, répondit le docteur, de toutes manières ce n’est pas contagieux.
Ma sœur s’étant rhabillée, nous repartîmes.

La semaine suivante, ma mère nous prévint qu’elle avait pris rendez-vous chez le dermatologue pour le lendemain. Je demandais le nom du dermato et elle me donna le nom, que ma sœur et moi redoutions car il avait deux filles qui étaient chacune dans une de nos classes. Ma sœur osa le dit à notre mère, qui nous répliqua que c’était le meilleur dermato de la ville et qu’il était soumis au secret médical, donc on ne risquait rien. Comme toujours son ton ne permettait aucune réponse, et nous n’avons rien ajouté.

En arrivant au cabinet médical, ce fut la femme du dermato qui nous accueillis sans que nous eûmes à dire pourquoi nous ne venions. Nous étions seuls dans la salle d’attente et au bout de cinq minutes arriva le dermato, qui nous reconnu aussitôt. Il nous conduisit dans son cabinet et en entrant je vis sa fille ainée, qui est en classe avec moi en train de changer la housse sur la table d’auscultation:
-Salut Pierre, comment vas-tu?, me demanda-t-elle.
Je balbutiai quelque chose, et le docteur, qui ne savait pas pourquoi nous venions nous demanda si cela nous gênait qu’elle reste pour l’examen, elle faisait son stage avec lui et il était bien qu’elle voit le maximum de choses. Ma mère sans nous laisser le temps de réagir, lui dit que cela ne nous dérangeait pas, tout en lui tendant la lettre du médecin. Le dermato la lit, puis me demanda de me déshabiller.
-Ils a des plaques de (un nom médical) sur le sexe, on va voir de quoi il s’agit, et comment l’enlever.
En entendant cela, sa fille (Agnès) piqua un fard, mais aussitôt ma mère la rassura en rigolant:
-Oh ne t’inquiètes pas, son sexe n’est pas très gros, il doit d’ailleurs retourner voir le médecin une fois ces plaques parties pour cette raison. C’est un peu comme si tu t’occupais d’un enfant.
En entendant, cela je ne savais pas quoi dire. J’étais alors en slip et t-shirt, et je croisai le regard d’Agnès qui me sourit, ce qui me rassura mais j’étais quand même super inquiet que la semaine suivant, après la fin des stages, elle ne raconte cela à tout le lycée. Au moment d’enlever mon slip, je me mis de dos, puis mes mains devant mon sexe, qui cette fois mesurait environ 5cm, je me retournais, et montais sur la table. Le dermato et sa fille se mirent de l’autre côté et je dus leur dévoiler mon intimité, ainsi qu’à ma mère et ma sœur qui s’étaient également rapprochées. Agnès sourit en voyant mon sexe.
-Tu vois, il n’est pas très grand, triompha ma mère.
-Non mais il a quand même pas mal de poil, et en cours on a vu qu’un micro pénis c’était à partir de 3 cm en érection, on en est loin.
Je la remerciai du regard et son père commença à lui expliquer, ce que j’avais.
-Il faut savoir également s’il n’en a pas sur le gland, ce qui pourrait être grave, donc tu vas devoir le décalotter.
Agnès, une fois de plus devint toute rouge et quant à moi je devint immobile, elle prit mon sexe dans sa main droite et de la gauche commença à me décalotter. Le simple contact de sa main et ce mouvement sur ma verge provoqua une érection quasi immédiate et quand je fus décalotté je bandais entièrement et mon sexe mesurait alors 15 cm.
-Je suis désolée, balbutia Agnès qui continuait à garder mon sexe entre ses mains.
-C’est vrai qu’il n’a pas un micro pénis, confirma ma sœur, qui s’était rapprochée et n’arrivait pas à détacher ses yeux de mon sexe.
Quant à ma mère, elle souriait et semblait contente du spectacle. Moi je ne savais pas quoi faire mais je sentis le regard noir que me lança le père d’Agnès. Cette dernière vérifia que je n’avais rien sur le gland, puis me recalotta et je pus me rhabiller.
Ce fut ensuite au tour de ma sœur qui dut se mettre seins-nus mais pas entièrement, ce qui me déçut un peu car j‘avais apprécié de la voir nue chez le médecin mais rien que voir ses seins était déjà un très beau spectacle.

Au final toute cette histoire a eu du bon, car je suis sorti avec Agnès et nous nous sommes mutuellement dépucelés, mais ça n’a duré que six mois.

Par Léo [visiteur] le 05/01/2012 à 18h43

A l’époque, je venais d’avoir quinze ans, lorsqu’un jour, je suis rentré d’un entraînement de sport en ayant pris un coup dans les parties. Sur l’instant, j’avais vu trente six chandelles, comme on dit et arrivé à la maison, j’expliquai la chose à ma mère en disant que ça me faisait encore mal. Après m’avoir fait déshabiller pour regarder ce qu’il en était, elle m’a fait garder le lit et a appelé notre doctoresse pour qu’elle vienne m’examiner.
Lorsque la doctoresse est arrivée, ma mère l’a conduite dans ma chambre et m’a demandé de lui expliquer ce qui m’était arrivé. Après m’avoir écouté et posé quelques questions, la doctoresse m’a dit qu’elle allait m’examiner. Elle a repoussé le drap. J’étais complètement nu, mais ne m’en trouvai pas gêné. En voyant mon sexe bien rouge du coup reçu, la doctoresse a dit qu’effectivement, j’allai avoir un bel hématome. Puis elle a commencé à me palper, en me demandant si cela me faisait mal lorsqu’elle touchait. Je lui ai répondu que ça faisait un peu mal, mais pas trop. Elle a ensuite palpé longuement les testicules d’une main, tout en maintenant, de l’autre, le sexe remonté sur le ventre. Puis elle a repris son examen du pénis, le manipulant délicatement. Je commençais à avoir une évidente érection et lorsque la doctoresse a, à plusieurs reprises, retroussé le prépuce, je n’ai pas pu retenir une éjaculation spontanée. Elle s’est alors retournée vers ma mère en disant qu’elle pensait qu’il n’y avait sans doute pas de lésion interne puisque la fonction sexuelle s’effectuait normalement.
Son examen terminé, elle a fait une ordonnance pour de la pommade et des comprimés anti-douleur en expliquant à ma mère qu’elle devait me masser chaque soir avec la pommade, car l’hématome allait se colorer franchement et sans doute même virer au noir, mais qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter plus que de raison. Ma mère, rougissant un peu, a demandé si je ne risquais pas de juter durant les soins. La doctoresse a alors répondu que cela arriverait sans doute, mais qu’en fait, il valait mieux, afin de bien être assuré que le fonctionnement était normal et que, si cela ne se faisait pas, elle devait l’appeler immédiatement, sinon elle repasserait dans une semaine pour voir ce qu’il en était.
C’est donc ma mère qui m’a fait ce soin chaque soir, massant lentement mon sexe avec la pommade, s’assurant ainsi de l’éjaculation préconisée.
La semaine suivante, la doctoresse est revenue m’examiner, me palpant et me manipulant longuement afin de vérifier que la fonction génitale s’effectuait normalement et n’était pas douloureuse. Après cet incident, j’ai eu droit, à chacune de ses visites, à des contrôles systématiques complets et toujours devant ma mère, à qui elle avait d’ailleurs recommandé de bien faire évacuer ma semence une fois par mois, afin de vérifier si je ne gardais pas de séquelles.
Cela fait plus de vingt ans de cela, mais j’ai toujours gardé cette doctoresse qui, encore maintenant, vérifie avec délicatesse le fonctionnement sexuel à chacune de mes consultations. Inutile de préciser que ce n’est plus ma mère qui, en dehors des contrôles de la doctoresse, procède à l’évacuation de ma semence. Je suis marié et mon épouse s’acquitte parfaitement de ce petit soin, ayant pris volontiers le relais de ma mère après que celle-ci lui eut expliqué l’accident dont j’avais été l’objet. Consciente que j’aurai pu devenir impuissant à la suite de cet accident, elle apprécie, m’a-t-elle dit, le suivi régulier de la doctoresse et qu’elle complète avec la meilleure volonté.

Par Alex [visiteur] le 06/01/2012 à 19h14

Les visites médicales scolaires, en ce qui me concerne, se sont toujours déroulées entièrement nu. A maintenant soixante ans passés, je garde de certaines un souvenir savoureux. En primaire, la choses se passait sans grande fantaisie. L’assistante nous faisait tous mettre en slip pour passer la première partie de l’examen : pesée, toise, vue. Puis elle nous dirigeait ensuite vers le local où officiait la doctoresse. Celle-ci commençait à nous examiner debout, avant de nous demander d’enlever la culotte et de nous allonger sur la table pour effectuer son examen clinique, avec une écoute stéthoscopique et de continuer par des palpations sur tout le corps, y compris le sexe : toucher des testicules, du pénis avec décalottage. Enfant, cela ne portait évidemment pas à conséquence. Et puis c’était l’habitude.
Ce fut à l’âge de quinze ans que s’est produit l’effet du toucher sexuel de la doctoresse sur l’adolescent que je devenais. J’étais en effet tout juste pubère et je n’avais encore pas eu d’éjaculation. Tous juste quelques érections intempestives, évènement que je trouvais seulement un peu bizarre.
Cette année là, l’ancienne assistante, dame quelque peu âgée, avait été remplacée par une femme qui ne devait pas avoir plus d’une trentaine d’années. Nous étions tous en slip et la nouvelle assistante nous appelait par ordre alphabétique. Une fois entré, elle nous demandait immédiatement d’enlever la culotte pour la partie de l’examen qui la concernait. Ce qui fait que nous passions à la toise, sur la balance et l’examen de la vue entièrement nu. A la toise, afin de nous maintenir bien droit, elle appuyait sur le bas ventre en disant de bien poser les fesses contre le montant. Ce faisant, ses doigts touchaient plus ou moins la naissance du pénis. D’ailleurs plus que moins. Si bien que lorsqu’elle nous amenait chez la doctoresse, un début d’érection redressait partiellement la verge. Après nous avoir fait tourner devant elle, en posant ses mains un peu fraîches sur notre corps, la doctoresse nous faisait allonger sur la table d’examen et nous auscultait entièrement : écoute stéthoscopique, regard dans la gorge, palpation du cou, des aisselles et du ventre. Suivait le toucher des organes génitaux. Les testicules d’abord, pressant délicatement chaque noyau, assez longtemps pour en ressentir un effet agréable. Venait ensuite le pénis, qu’elle palpait sur toute la longueur, cherchant loin la base, puis décalottage et manipulation du prépuce en plusieurs allers et retour. Et pour terminer, maintien du prépuce retroussé pour une palpation du gland et pression du méat. Tout ceci avait évidemment provoqué une éjaculation. Comme c’était la première fois, j’ignorai ce que c’était et je croyais avoir un peu uriné, mais d’une façon un peu bizarre et avec une drôle de sensation.
C’est le lendemain que la chose a évolué. J’étais en train de faire ma toilette, la porte de la salle de bains ouverte, malgré la présence de ma mère et de notre voisine. Ce qui ne me gênait nullement, ayant l’habitude depuis l’enfance de me trouver nu devant elles. Ma mère m’a alors demandé si j’avais bien passé la visite à l’école la veille. J’ai répondu que oui, effectivement et elle m’a demandé si le docteur avait regardé mon zizi. Là encore j’ai répondu oui. Lorsqu’elle m’a demandé si tout allait bien, j’ai répondu que pendant que la doctoresse regardait mes choses, je n’avais pas pu m’empêcher de faire un petit pipi. Ma mère et la voisine se sont regardées et se sont mises à discuter. Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient, en parlant de puberté, de manipulation, de petit jus, etc… Termes qui m’étaient parfaitement inconnus à l’époque. Puis la voisine a dit à ma mère qu’elle devrait sans doute me faire contrôler par notre doctoresse commune, qui venait justement l’après midi pour sa fille de 12 ans. Ma mère a répondu qu’elle n’oserait pas demander ça à la doctoresse. Notre voisine lui a alors suggéré de m’envoyer chez elle, disant que ça ne la gênait pas de demander au médecin de me faire ce contrôle. La chose étant convenue, ma mère m’a donc envoyé chez la voisine l’après midi. J’ignorai bien la raison pour laquelle je devais voir le médecin, ayant passé la visite scolaire la veille. Mais, obéissant, je m’y suis rendu.
Lorsque la doctoresse est arrivée, ce fut la fille qui passa l’examen la première. Nue sur le lit, je regardais faire la doctoresse par la porte ouverte. En voyant cette fille nue, la poitrine naissante, et sexe déjà garni de quelques poils, touchée par la doctoresse, je ressentais une certaine excitation. Puis vint mon tour, la voisine expliquant à la doctoresse ma visite scolaire de la veille et l’incident que j’évoquai, sans pouvoir donner de précision. Elle demanda si un contrôle pouvait être fait de façon à savoir si je devenais bien pubère. La doctoresse ayant acquiescé, je me suis donc, à mon tour, retrouvé allongé entièrement nu sur le lit. J’avais déjà un début d’érection qui s’amplifia lorsque la doctoresse palpa mes poils puis les testicules, soupesant et faisant rouler les noyaux sous ses doigts. Ce fut ensuite comme la doctoresse scolaire, une longue palpation du pénis, cherchant loin la naissance, avant de me décalotter plusieurs fois. Lorsque j’ai éjaculé, elle s’est retournée vers la voisine en disant qu’elle pouvait voir que c’était bien cela et qu’elle pouvait rassurer ma mère, que tout se passait bien.
La doctoresse partie, la voisine à répondu à nos questions, à sa fille (qui avait évidemment assisté à la visite) et moi-même, en expliquant ce qui m’arrivait, qu’il fallait que la doctoresse m’examine pour voir si tout se passait bien parce que je devenais un grand garçon.
Je n’ai eu aucune gêne de cette visite. Au contraire, je dirai qu’en attendant la prochaine visite scolaire, cela nous permis, avec la fille de la voisine, de jouer au docteur et d’apprendre ainsi comment nous étions faits.

Par mmm [visiteur] le 19/01/2012 à 04h05

Souvent c’est les garçons qui sont honteux d’avoir été examinés nu devant leur mère. Moi à 14 ans j’ai été examiné nu devant ma mère comme c‘est pas la première fois je n’ai pas eu honte. Mais ce jour là, j’ai assisté aussi à la visite de ma mère.
J’avais rendez-vous chez le médecin pour la visite annuelle, depuis deux ans j’y allais avec mon père. Mais là à la sortie de l’école c’est ma mère qui est venue me prendre pour aller chez le docteur. Visite classique avec en final examen de l’appareil génital devant ma mère, pas de problème pour moi, ma mère qui ne m’a pas vu à poil depuis longtemps dit au docteur qu’elle est surprise de l’évolution de mes parties intimes et de ma pilosité le docteur lui dit que je suis dans la norme que mon zizi devrait grandir encore un peu et que mes bourses sont bien descendues et pratiquement à leur taille adulte. Ma mère ajoute que vu les tâches dans mes draps tout à l’air de bien fonctionner.
Et à ma surprise le docteur dit à vous, maintenant, Madame. Ma visite s’était passée devant le bureau du docteur, ma mère, elle, suit le docteur dans un renfoncement de la pièce où se trouve la table d’auscultation. J’entends le médecin demander à ma mère de se mettre en sous-vêtements et de s’allonger sur la table. De ma place je ne vois que les jambes de ma mère des
pieds aux genoux et je n’entend pas bien leur conversation mais je ne m’y intéresse pas trop. Soudain le médecin demande à ma mère d’enlever son soutif , là je réalise que je n’ai jamais vu ma mère à poil ni une autre femme d’ailleurs en vrai. Donc je me déplace discrètement avec ma chaise et ma nouvelle position me permet de voir ma mère torse nu, en petite culotte, les bras levés au ciel et le médecin qui lui palpe les seins. Je ne m’étais jamais intéressé au corps de ma mère avant : elles a deux gros seins blancs qui pendent un peu mais c’est surtout le bout des seins qui me fascine les tétons sont très gros et pointent au milieu de la grande tâche brun très foncé au bout des seins. Je vois ma mère enlever sa culotte j’ai le temps de voir les poils de son ventre mais le médecin se place devant le sexe de ma mère je ne vois plus rien. De toute façon c’était assez pour moi je viens d’éjaculer dans mon slip. Je me remets rapidement à ma place mort de honte car je viens de mater ma mère à poil et j’ai éjaculer en voyant le sein qui m’a nourrit. Le médecin demande à ma mère de monter sur le pèse-personne elle a remis sa culotte mais pas le soutif donc elle traverse la pièce la poitrine à l’air et lorsqu’elle voit que je la regarde elle croise ses bras sur sa poitrine et me fait un petit sourire. Dans la voiture elle m’a demandé ce que j’ai vu, je lui ai répondu rien juste un peu tes seins quand tu te pesais elle a paru soulagé. Si elle savait combien j’ai eu honte de l’avoir mater, mais combien j’ai apprécié. Je n’ai plus jamais assisté au visite médicale de ma mère. Mais par la suite, je l’ai vu à plusieurs reprises sortir de la douche elle s’est toujours pudiquement cacher la poitrine avec les bras. Par contre elle n’a jamais été gêné par ma nudité.

Par Vivie [visiteur] le 26/01/2012 à 22h48

Depuis quelques temps déjà je recherchais sur Internet des sites sur lesquels les gens parlent sans détours de problème de visite médicale. Jusqu’ici, je n’ai trouvé que des sites relatant des fantasmes plutôt que des faits réels. Les intervenants et intervenantes parlant de branlettes, de fellations, de baises avec leur médecins. Et puis, je suis tombé sur votre site où, au contraire, il semble que les gens qui discutent, sont plus sérieux et parlent sans vulgarité, ce qui est plutôt rare sur ce sujet.
Bref, les récits que j’ai pu y lire répondent à mes questions. A savoir qu’effectivement, pour la plupart d'entre eux, les visites médicales s’effectuent dans une nudité presque toujours totale, et que ceux qui la subissent, quoiqu’il arrive, pour bon nombre, n’y trouvent rien d’anormal.
En ce qui me concerne, suite à un déménagement, j’ai du changer de médecin et le nouveau docteur que je consulte m’examine nue et entièrement, donc y compris le sexe.
A ma première visite, j’ai été étonnée qu’il me demande de me dévêtir complètement, mais bon, je me suis exécutée. Après l’écoute stéthoscopique et la prise de tension, ce fut la classique palpation corporelle : les seins, l’estomac, le foie, le ventre et… le sexe ! C’est à ce niveau que j’ai été surprise de sentir ses doigts me toucher sans ménagement l’intérieur de la vulve, le clitoris qu’il a décapuchonné et titillé un moment. Surprise et aussi un peu gênée de ma propre réaction, car mon bourgeon s’est mis à gonfler, me procurant une sensation moins désagréable que je ne m’y attendais.
A ma seconde visite, même scénario… Et là encore, palpation sexuelle et titillation de mon clito turgescent qui m’a procuré une sensation pas moins désagréable que la première fois.
A ma troisième visite, une fois de plus, toucher prolongé à l’intérieur de la vulve et une nouvelle titillation clitoridienne. J’ai à nouveau senti mon bourgeon pointer et ai serré les dents pour refouler la sensation de plaisir qui commençait à chauffer mon bas ventre.
Au cours de ces trois visite, j’allais de la surprise du geste de mon docteur au trouble de l’émoi que j’en ressentais. Mais, comme le médecin ne disait rien, je ne comprenais toujours pas le sens de ses attouchements. J’ai donc décidé de m’en ouvrir à ma sœur, mariée et qui, dans mon esprit, saurait ce qu’il en était de ces gestes qui me perturbaient. J’ai profité un jour, en visite chez ma elle et que son mari était absent pour lui parler sincèrement. Là, nouvelle surprise : ma sœur m’expliquant sans équivoque que ce que me faisait mon médecin était tout à fait normal, qu’il s’agissait, pour lui, de vérifier tout simplement mes réactions, voir si tout était normal et que je ne présentais aucun signe de frigidité. Pour elle-même, m’a-t-elle dit, son docteur lui pratiquait le même examen, pour la même vérification. Puis elle me dit sans la moindre gêne qu’en ce qui concernait son mari, il en était de même, que sa doctoresse, qu’il avait gardé d’avant son mariage, vérifiait également ses réactions au niveau des organes génitaux. Je suis restée un instant ébahie, puis j’ai demandé si son mari ne se trouvait pas gêné lorsqu’il devenait tout raide. Elle m’a assuré, en riant, que cela était tout à fait naturel puisque c’était fait pour ça. Mais, malgré tout, j’ai demandé s’il ne risquait pas de… de… D’avoir une éjaculation, conclut-elle. Cela arrivait parfois, ça dépendait de son émotivité du moment, donc c’était effectivement arrivé, mais spontanément, sans qu’il n’y ait d’orgasme, seulement une furtive sensation de plaisir au moment où ça venait… tout bêtement !
Donc, entre mon expérience personnelle, et le récit de ma sœur, également pour son mari, je lui faisait confiance, cela faisait un unanimité. Mais une unanimité à trois, faussait un peu la donne. C’est la raison pour laquelle, comme je le disais au début de mon intervention, je recherchais d’autres avis.
Avec votre site, j’ai la réponse à mes questions et je tenais à remercier les intervenants et intervenantes se votre site pour leur franchise et leur honnêteté, exempte des fantaisies vulgaires que j’ai pu lire ailleurs.

Par alexandra [visiteur] le 26/01/2012 à 23h29

Je me souviens très bien des visites médicales lorsque j'étais élève en CPPN dans un collège / lycée publique au fin fond de la province. Le CPPN était la voie de garage pour les mauvais élèves, on nous donnait des travaux d’apprentissage, de couture repassage, de sténodactylo etc . Et quelques cours théoriques de mise à niveau.

Pour la visite médicale , nous avions le droit à ce que je pourrais nommer " un traitement de faveur " .
Celle ci ne se déroulait pas dans l'infirmerie de l'établissement mais dans un centre qui se trouvait dans la ville préfecture , de ce fait nous y étions déplacées en autocar pour la journée. Chouette pas de cours disaient certaines , nous aurions préférées en avoir .

En arrivant , nous étions installées dans un couloir avec des bancs et tout le monde devait se mettre toutes nues , selon des ordres secs et efficaces , puis nous passions à la douche avant d’être examinées plus qu'en détail par une armée de docteurs plutôt vicieux . L'arrière train était particulièrement sollicité , j'éviterai de donner trop de détails mais chacun comprendra . Les piqures à coté de cela n'était rien . Ça nous mettait une de ces frousses d'arriver dans ce bâtiment , nous passions presque toute la journée allongées sur des tables en fer émaillées banc , dans une grande salle commune froide et sans doute pour éviter que nous nous sauvions attachées aux niveau du bassin par une sangle qui tenait aussi les poignets . Outre les engueulades par les médecins et les infirmière parce-que nous ne nous laissions pas faire , nous recevions des gifles , j'en ai reçue deux tout de même pour avoir agacé le docteur . Une année une jeune infirmière m'avait mis un pince nez pour que je respire par la bouche , car le bruit de mes sinus la gênait pour travailler ... enfin voila , personne n'en est morte , mais cela laisse quand même de très mauvais souvenirs ...

Par Michel [visiteur] le 27/01/2012 à 06h58

Un jour, nous avons été convoqués, en famille, dans ce qui s’appelle un centre de médecine préventive, pour un bilan de santé. Mon père ne pouvant se libérer du travail, c'est avec ma mère et mes trois sœurs que nous nous y sommes rendus, un mercredi, car c'était la journée pour les enfants.

Ce matin là, nous devions nous lever beaucoup plus tôt qu'à l'habitude, je crois vers cinq heures, chacun devait prendre sa douche et nous devions rester à jeun, ce qui était assez dur, mais c'était la règle.

Pour ma mère et mes sœurs, pas de maquillage, ni de bijoux, ni parfum, ni de nattes dans les cheveux, il fallait qu'elles restent naturelles. Nous embarquions vers six heures trente dans la petite Renault 4, la voiture de maman, mes sœurs montant derrière et moi devant sur la banquette avec maman.

Pour tout avouer, en chemin j'étais assez inquiet de ce qu'on allait bien pouvoir nous faire comme examens, pour que ça dure une journée, je me doutais qu'on allait avoir la totale, mes sœurs quand à elles jouaient sans se soucier de se qui allait se passer, elles rigolaient même. Maman comprenait mon appréhension, elle se blottissait contre moi en me disant que tout se passerai bien et qu'on ressortirais ce soir en un seul morceau.

L'une de mes petites sœur se moquait de moi en disant qu'on allait nous sortir les boyaux pour les voir... Une blague de gamine de dix ans. Voila, nous arrivions au centre vers sept heures, maman nous donnait les consignes de discipline avant d'entrer.

La dame qui nous accueillait, nous envoyait au vestiaire pour nous faire déshabiller, sur place une autre nous y attendait. Je pensais un peu naïvement que nous allions disposer de petite cabines individuelle, pas du tout, il agissait d'une pièce collective ou nous étions installés en famille. Étant le seul garçon de la famille, la dame demandait à maman si elle préférait que je sois mis avec une autre famille et des hommes.

Déjà que ce bilan de santé me mettait une trouille indescriptible, alors me retrouver avec des gens que je ne connaissais pas.... Du coup, maman décidait de me garder. Bon disait la dame, asseyez vous sur le banc et déshabillez vous complètement. Maman me demandait de lui retirer ses bottes et de faire de même à mes sœurs, ce qui me mettait déjà tout en émoi. Maman demandait ce que nous pouvions garder... Rien lui répondait la dame, vous vous mettez tous nus et vous me donnez vos effets. Maman souriait, en disant, alors ça se passe un peu comme à l'armée. Voila au bout de cinq minutes tout le monde était prêt, il faut dire que cela me mettait dans un de ces état car jamais je n'avais vu mes sœurs et surtout maman ainsi dévêtues.

La dame nous remettait des flacons stériles pour aller prélever nos urines dans le cabinet de toilette voisin. Vous comprenez ce que j'ai pu faire après mon pipi. Maintenant à la douche nous disait la dame. Nous passions dans la salle de douche collective avec à la main un gant de toilette et un petit morceau de savonnette, nous recevions l'ordre de bien nous nettoyer les partie intimes, maman m'expliquait comment décalotter pour me laver le bout de la verge.

Nous pouvions ensuite revêtir des peignoirs et nous placer des turbans dans les cheveux, avant de sortir et de passer chez un premier médecin pour le questionnaire d'admission, toujours en famille et sans aucun secret, compris pour les questions d'ordre sexuel auxquelles j'avais le droit, à 15 ans maman voulait savoir si j'avais une petite copine au lycée...

Nous étions ensuite envoyés dans une salle d'attente, avec d'autre familles, puis appelés ensemble pour subir les examens prescrits. Le premier fut l’électrocardiogramme, nous entrions dans la salle équipée de plusieurs tables, d'un tapis roulant et d'un vélo d'appartement. Pour commencer, nous devions souffler dans un appareil de mesure, puis retirer les peignoirs et aller nous allonger sur les tables, il y en avais trois. J'étais fasciné de voir maman ainsi allongée, une infirmière lui prenait la tension, puis le pouls, elle passait à mes autres sœurs et ce fut mon tour. Une fois debout, maman devait passer sur le tapis roulant puis courir, là aussi cela me fascinait. Aussitôt après, elle devait retourner s’allonger sur la table à coté de la mienne , alors qu'on me prenait la tension, deux autre infirmières lui installait des bracelets au niveau des chevilles, des cuisses et des poignets , je la voyais faire des rictus de douleur, car cela devait lui faire mal, en fait à cette époque il fallait placer des aiguilles au niveau des veines des chevilles et des poignets. puis on lui plaquait les ventouses sur la poitrine et un pince nez pour qu'elle respire par la bouche. Puis ce fut à mon tour d'y passer et de me montrer courageux.

Ensuite nous avons passé la prise de sang, on nous a mesuré, pesé, passé des radios... Dans l’après midi, nous sommes passé avec les docteurs, le dentiste puis pour ces dames en age d'y passer le gynécologue et un examen qui m'a marqué, celui du rectum ou il fallait se mettre à quatre patte puis se laisser faire pour le reste...

Vers seize heures nous passions devant le médecin pour faire la synthèse, dernier moment à se retrouver a poil ensemble, puis nous repassions au vestiaire et remettions nos effets. Ça faisait du bien de se retrouver en tenue de ville.

Par Laurence [visiteur] le 27/01/2012 à 22h41

Pour en revenir au post precedent , concernant l'examen de frigidité chez la jeune femme , j'ai subi le meme lorsque mes parents m'envoyaient chaque années au centre d'education à la santé de Paris . Cela se passait lors de l'examen gyneco , la première fois , je me suis rettenue pour dissimuler mes émotions , y compris apres l'examen . La seconde année , je suis tombée sur une jeune doctoresse qui a joué franc jeu et ma expliqué qu'elle alait verifier mon point d'orgasme . Sur l'instant je ne savais quoi penser , dans la cour du lycée , certaines ayant déja un petit copain se vantaient d'avoir jouis et decrivaient les sensations procurées .

Dans la salle de gyneco il y avait plusieurs maquettes de sexe , si je puis dire ainsi , dot une de l'appareil genital feminin en coupe . La doctoresse prenait alors pour m'expliquer une reproduction de penis et le placait dans la maquette de 'appareil genital de fille . Sur l'instant j'en rougissais de honte , jusqu'à ce qu'elle passe aux travaux pratiques , en position sur la table , les pieds dans les étriers .

Là je me suis laissé aller , j'avais un peu peur de ce que la doctoresse allait marquer sur mon dossier , qu'auraient pensé mes parents . Le soir , apres la journée d'examens cliniques , l'educatrice chargée de nous surveiller , nous avait meme passée un film sur les facons de faire l'amour , tout le monde a bien rigolé . Domage que nous ne puissions passer aprés aux travaux pratiques , avec le peu de garcons qui chaque années venaient moins nombreux ... Domage ... D'apres ce que j'ai pu comprendre , les garcons ont la trouille des examens medicaux ...

Je pense que ce centre medical était vraiement le lieux adapté pour nous dispenser une éducation sexuelle , sans tabou et loin des parents . Cela m'a beaucoup aidé a aborder les garcons au lycée et à comprendre les réactions de mon corps .

Il est vrai que lorsque j'étais adolescente , j'en voulais un peu à mes parents de m'envoyer trois jours dans ce centre pour y subir tout un tas d'examens medicaux tres poussés , en grandissant je comprenais que cela était pour mon plus grand bien , mais égallement pour mon éducation .

Je comprenais mieux mon corps et la facon de l'entretenir en pratiquant de facon regulière un sport . J'avais égallement tissé des liens avec d'autres patientes de ma session avec lesquelles nous nous retrouvions pour courir le soir dans Paris ou nous rendre à la piscine , car il était quasi obligatoire de s'entretenir physiquement . Cela conditionnait les resultats de l'exmaen medicosportif de la dernière matinée .

Pour en revenir à ce site , celui ci est à mon avis aussis le plus credible , loin des fantasmes et autre idiotie perverses d'ados .

Par Babouchka [visiteur] le 03/02/2012 à 00h07

Les meilleurs pou pires experiences de visites medicales se situaient pour moi lorsque je travaillais en Russie , comme profeseur au lycée Francais de Moscou . A cette époque , dans les année 70/80 on appelait cela l'union Sovietique .

J'avais eu ce premier poste grace à mes parents qui sur Paris étaient des militants dans un parti politique , vous devinez lequel . Etant jeune , j'avais envie de voyager et de découvrir du pays , l'Union sovietique était au vu de mon statut parfaittement indiquée , en plus je parlais le Russe courament .

Juste apres ma première rentrée scolaire et ma prise de poste , j'étais convoquée pour effectuer ma visite medicale . J'avais recue un courier dans ma case en salle des profs au lycée ainsi qu'une dispense de travail pour la journée , une autorisation de sortie en dehors des heures de travail à presenter au cas ou . Car dans ce pays , nous devions systematiquement justifier de tous nos déplacements en cas de controle , sinon cela pouvait finir au poste .

Le jour dit je devais étre à la diette depuis la veille au soir , ne pas avoir bue d'eau , ne pas étre allée aux toilettes etc . Le rendez vous était fixé à huit heure dans un centre de santé publique , une sorte de dispensaire dont l'adresse m'était indiquée .

J'entrais dans le grand palais en pierre de taille blanche , là bas tout était fait dans une certaine demesure , forcement , ils étaient les maitres du monde à cette époque . J'étais assez surprise de me retrouver dans le hall entourée d'autres femmes , nous devions bien étre une centaine , je pense .

Dans le hall d'entrée , une infirmière nous pointait , elle verifiait nos convocations , puis nous placait en rang avant de nous emmenner au vestiaire . Cette pièce était surchauffée par un gros poele à charbon qui tronait au centre , cela contrastait avec les -20 ou -30 qu'il pouvait faire dehors , la bas on ne compte plus en dessous de ces temperatures là .

Nous entendions une vois dire en hurlant : " Deshabillez vous mesdames ! ". Chacune de nous s'asseyait sur les bancs entourant la salle disposés de vis à vis et dos à dos apres avoir au prealable retiré son manteau . Nous étions toutes melangées entre des dammes de la nomenclatura , reconaissable à leurs manteaux de vison et autres fourures , souvent , elles en portaient deux et les dammes du peuple vetue de lapin et autre peaux de rennes qui sentaient mauvais . Nous devions , une fois assises retirer nos bottes , car là bas hors de question de porter des petites chaussures et les juppes étaient obligatoire , pour les dames , dans la capitale de l'empire . Cela me faisait toujours rire de les voire dérouler les bandes qu'elles portaient à leurs pieds en guise de chaussettes et les gos collants en laine qu'elles tricotaient elles memes . Nous devions tout de meme terminer toutes nues , ce qui me mettait tres mal à l'aise , pas comme les Russe qui ne se cachaient pas , probleme de culture .

Nous étions ensuite emmenées aux toilettes pour le prelevement des urines et passer à la selle . avant la douche , à l'eau brulante , pour nous detendre au dire de l'une des dames qui se trouvait à coté de moi , la douche collective ... Savonnez vous , nous ordonnait une infirmière qui se trouvait derrière la porte battante , le nez collé aux hublots . Celle ci passait ensuite avec une boite poudreuse , un masque sur le nez pour nous asperger de poudre blanche , il devait sagir d'un desinfectant , je pense .

Nous devions rester comme cela pendant un bon quart d'heure debout stoics , au garde à vous avant que l'eau des douche ne coule pour nous rincer . Cette fois ci de l'eau froide , là aussis questionde culture . En tous cas ca fait un de ces chocs .

Nous pouvions ensuite sortir et laisser la place au groupe suivant pour nous secher , on nous donnait deux serviettes , une grande pour le corps et une petite pour les cheveux , apres cela , nous deviosn nous enrouler dedans et attendre sur les bancs .

La preparation durait tout de meme une bonne heure , le temps de passer à la douche la centaine de Babouchka que nous étions . Personnellement , je faisais bizare au milieu de toutes ces femmes un peu rondes , avec mon physique de parisienne moyenne .

Une infirmière appellait les dix premières , puis c'était à mon tour d'etre deplacée dans un couloir froid et humide , car nous marchions à pieds nus . Nous arrivions dans une grande salle equipée de tables tout le long des murs .

Par babouchka [visiteur] le 03/02/2012 à 06h33

Pour en revenir aux visites medicales en Russie .

J'avais omise d'écrire qu'aprés la douche , les parties génitales , et le pubis devaient étres rasées , là aussis c'est une question de culture chez les Russes , lorsqu'une femme doit se presenter nue face à un homme . Cela était fait par des jeunes filles , dés éleves infirmières je pense ou des pionnières , car le si le service militaire concernait les garcons , les filles quand à elles avaient les memes obligations mais civiles cela se passait dans la salle de douche avec des tondeuses à main , cétait assez désagréable .

Nous étions donc introduites dans une grande salle equipée de tables d'examens accolées aux mur , des tables en inox , comme l'ensemble du mobilier . Le groupe de femmes qui nous precedaient se trouvait sagement allongées dessus , toutes nues , les medecins et des infirmières étaient en train de les examiner . Au fond , comme dans la plupart des pièces tronait en majesté un portrait de l'Ours du Kremlin , Léonid Brejnef qui devaient bien se rincer l'oeil en voyant ses babouchka toutes nues durant la journée .

Nous devions retirer nos serviettes puis à la chaine , nous étions d'abord pesées et mesurées avant de nous enfiler dans l'anus un gros thermometre qu'il fallait garder jusqu'a ce que nous soyons appelées par une medecin , car il n'y avait que des femmes .

La medecin commencait par retirer l'objet encombrant avant de passer au questionnaire . Les jeunes fiilles étaient quand à elles chargées de nettoyer et d'assister le personnel dans les taches d'hygienne .

La medecin commencait par une serie d'examens en position debout sur le sol , plioer le dos en touchant les orteils , marcher sur une ligne les bras ecartés etc . Elle avait reconnue mon accent et me disait : " Couche toi ! " . en Francais . J'allais donc m'allonger sur la froide table en innox .

Elle m'expliquais dans ma langue natale qu'elle avait fait une partie de ses études de medecine en France , apres sa liberation d'un camp de concentration . Rien que pour cela , je devais le respect à cette dame , en Russie c'était assez sacré .

J'étais assez surprise de voir les jeunes pionnières m'attacher sur la table au niveau des poignets , et des chevilles avec de larges sangles en cuir , qu'elles serraient fermement . L'une d'elle se positionnait derrière ma tete et la tennait .

Les examens dispensés étaient assez classiques , auscultation , tension , observation nez , gorge , oreilles et les yeux . Palpations du cou , jusqu'au bas du ventre et de l'interieur du vagin et de l'anus . Reflexes aux genoux et observation en position adequatte de l'anus set de la vulve .

C'était assez solenelle , une infirmière lui passait les instruments demandés , l'une des duex pionnières allait ensuite les laver dans l'evier situé au fond de la salle . A



La medecin

Par babouchka [visiteur] le 03/02/2012 à 07h06

Alors que le contigent suivant arrivait dans la salle , j'étais libere de mes liens et poiuvait me lever , les serviettes nous étaient remplacées par des robes plus confortables et aux pieds nous devions chausser des botillons fourés , la mode des huggs avant l'heure .

Tout au long de la journée , car cela durait une journée tout de meme , nous passions , toujours en groupe et dans des salles communes des examens plus approfondis . Comme l'examen buccodentaire avac radio et pour moi une prise d'empreinte , l'electocardiogramme , la spirometrie , les radios des poumons et de l'appareil digestif avec du Baryum liquide .

La gynecologie , tres important en ce lieux avec meme un test et cela ne m'avait pas du tout amusé la première fois avec des stimulateurs sexuels , des godemichets pour resumer . Difficle de ne pas atteidre l'orgasme sous le regard de Breijnef .

Le moins drole , mais il fallait bien y passer étaient les examens gastroenterologiques . D'abord dans le rectum et l'anusavec des tubes metaliques rigides , des anuscopes et rectoscopes qui font horiblement mal , puis dans l'oseophage avec un tuyau optique , un endoscope . Nous n'étions absoluement pas anhestesiées et je dois dire que une deux ou trois jours apres ces examens, il était encore difficile de se rendre aux toilettes ou d'avaler de alimets trop durs

Pour information , nous étions systematiquement sanglées ou fermenent maintenues par des pionnières pour chacun des examens , meme chez le dentiste , car il y avait tout de meme une séance de roulette car chez eux pour eviter les caries des molaires , les sillons étaient sytematiquements rebouchés par de la resine , ce à quoi j'ai eu le droit chaque anée , car , il fallait recherger la resine usée .

ce centre était egallement equipé d'une piscine de dimension olympique , on ne faisait rien en petit là bas . Nous étions donc soumise à une séance de natation , toute nue dirigée par une professeur de sport . Brasse crawl , papillon , dos crawlé et dos papillon , tout y passait , ainsi que les immersion en apnée , sans lunettes et les yeux ouverts , pour aller rechercher un objet au fond du bassin . pour les jeunettes , comme moi nous étions memes soumise à une séance de plongeons sur la planche . Il était important pour le regime d'avoir une jeunesse gracieuse et souriante . Je rappelel que le fait de savoir nager était à cette époque obligatoire , le sport avait une place importante dans la societé sovietique et au travail . J'étais moi meme obligée de m'inscrire à un club , dans le lycée ou j'execais .

Nous ressortions de ce centre vers 18 ou 19 heures tout de meme , j'étais contente de pouvoir me revetir et de rentrer chez moi ... Cela se pasait tous les ans et de facon systematique ...

Par babouchka [visiteur] le 03/02/2012 à 22h20

Pour en conclure avec les visites médicales que j'ai pu subir à Moscou , celles-ci étaient obligatoire dans le cadre d'un suivi médical systematique de l'ensemble de la population , car en Union Sovietique , le systeme de santé était entierrement gratuit .

L'organisation pouvait paraitre archaique , tout comme le mobilier et les tennues des dames qui nous examinaient . Elles étaient vetues d'une grande blouse blanche , boutonnée dans le dos , au col montant , avec les poignets resserés . A leurs pieds , elles portaient des grosses bottes en caoutchouc blanches ou grises pour certaines , sans doute l'usure avec de collants de laine blancs eux aussis . Sur la tete , elles portaient non pas une simple petite coiffe , mais une toque mi haute , leur couvrant les cheveux integrallement . En general , elles gardaient toujours sur la bouche et le nez , des masques en tissus , surtout les jeunes pionnières qui en aucun cas ne devaient s'adresser à nous . Seules les infirmières et les medecins nous parlaient .

Certe pour une Francaise cela était assez surprenant de se trouver toute nue devant les autres femmes en arrivant . Les Russes sont en fait beaucoup moins pudiques et surtout plus disciplinés . Il faut dire que les ordres nous étaient donnés de facon tres martials , voire assez militaires .

Pas questions donc de transiger , le plus surprenant était que nous étions attachées de facon systematique sur les tables et quelque soit l'examen , par les petites pionnières , veritable cerberes de l'idéal politique de l'époque . Nous étions égallement sytematiquement déshabillées meme pour les examens ORL , buccodentaire ou optalmologique .

Par Anne [visiteur] le 10/02/2012 à 23h07

Lors de vacances d'été , j'étais éléve dans une ridding scool à Margate en angletere , pour me perfectionner à l'equitation , ce stage durait pres d'un mois en regime de pensionnat à l'anglaise , bien evidement .

Le premier jour , nous passions toutes à l'habillement pour percevoir nos tenues et uniformes , car contrairement aux écoles francaises , tout nous était fourni pour le sejour . Le second jour , nous passions des test d'aptitudes pour verifier notre niveau equestre afin d'orienter les cours , mais avant cela , nous devions passer à la visite medicale . " Medical visit this morning " . Nous annoncait la surintendante de l'etablissement en nous levant .

Interdiction de prendre le petit dejeuner , pas d'oeufs au baccon suivi de toast et arrosé de thé , a prendre le petit doigt levé ... Tout le monde à l'infirmerie ...

La medecin nous y attendait avec une infirmière , chacune devait entrer dans une grande cabine , se deshabiller et attendre allongée sur le lit accolé au mur .

La porte opposée au couloir s'ouvrait , l'ifirmière disait : " Come in ! " , j'entrais dans la salle d'examen
pour étre pesée et mesurée , puis la medecin me posait quelques questions et me renvoyait en cabine avec un thermometre à la main L'infirmière m'y accompagnait en me disant de retirer mes sous vettements et de me mettre toute nue . Le thermometre devait étre placé dans l'anus .

Quelques minutes apres l'infirmière revenait avec une grosse seringue métalique qu'elle remplissait d'eau tiede et procedait à un lavement des intestins . Jamais je n'avais subi cela en france , j'étais assez surprise , mais les anglais sont toujours exuberants .

Je me posais tout un tas de questions car jamais lors d'une visite médicale , je ne m'étais retrouvée toute nue .

L'infirmière me faisait entrer dans a salle d'examens, la medecin m'attendait pres de la table . Nous commencions par des examens de motricité puis je devais aller m'allonger pour les auscultations , la prise de tension , les palpations , avec un petit tour de ses deux doigts dans le vagin avant d'en introdiure un autre dans l'anus . Je trouvais cela dégoutant .

J'étais ensuite repositionnée a quatre patte sur la table pour l'examen de mon posterieur . La medecin m'introduisait en premier lieux un petit tube droit par l'anus , puis elle en prenait un autre beaucoup plus long , pour observer mon rectum . Elle devait verifier que nous n'ayions pas d'hemoroides ou de problemes au niveau de l'anus et de la vulve . Verry important , for ladie ridder ...

Celles qui étaient d'accord pouvaient passer un examen gyneco complet apres un petit délais de réflexion en cabine .

Par Sylvie [visiteur] le 14/02/2012 à 06h57

Ce que j'ai vecu n'est pas tres courant et je n'en ai jamais parlé à personne de peur d'en avoir honte , sans doute .

Au début des années 80 , je devais avoir 16 ou 17 ans , nous étions invités , chez le frere de mes oncle et tante , qui étaient gardiens dans une maison de retraite en Normandie .

Mon cousin avait quasiement le meme age que moi et était plutot sympa et attirant physiquement , un beau garcon , ne sorte .

Un soir , alors que nos parents étaient de sortie , il m'a demandé si je subissai des visites médicales dans le lycée ou je me trouvais et si cela me plaisait . J'étais un peu surprise par ses questions et il était vrai que je n'en avais pas subi depuis la classe de troisième et dire que cela me plaisait , bof , il fallait y passer , sans plus .Il me questionnait de nouveau sur les examens que l'on avait pu me faire et la tenue devant laquelle j'étais passée , avant de me donner à lire une revue médicale , dans lauquelle un article était consacré aux visites medicales de lycée .

Pour les premières photos , cela allait , on voyait des ados , filles et garcons , en peite culotte ou en slip se faire peser puis mesurer , j'avoue que celalme faisait un certain effet de voir les garcons ainsi devetus , mais aussis les filles . Ils étaient tous les pieds nus , alors qu'au college nous pouvions garder les chaussettes .

Les autres photos montraient , sans aucun tabou , les examens que leurs faisaient passer les docteurs et les infirmières et pour certains , ils étaient tous nus . Pour tout avouer jamais auparavant je n'avais vue un sexe de garcon .

Mon cousin refermait la revue et me demandait de l'accompagner , nous nous rendions à l'infirmerie de la maison de retraite . En entrant , il me demandait si je souhais passer une visite medicale , sur l'instant , je ne savais quoi lui repondre , quelque part , j'étais un peu prise au piège et ne pouvais pas reculer .

J'acceptais , il me faisait entrer dans une des cabines de deshabillage , je lisais la consigne et me mettais en culotte , soutien gorge et gardais mes chaussettes . Il me demandait si j'étais prette avant de me faire sortir puis il s'agenouillait face à moi , pour me retirer les chaussettes ,

Il preferait me voir les pieds nus , il est vrai que j'aurais du les retirer avant . Cela commencait par la pesée , les mensurations . Il m'envoyait m'allonger sur la table pour le restant des examens , il retirait moin soutien gorge avant de m'ausculter puis profitant des palpations , il abaissait ma culotte .

Instinctivement , je levais mon fessier , il me demandait si cela me genait , je ne repondais pas , alors il enlevait ma culotte . Dire que ceal me gennait , non pas trop , j'étais bien detendue , allongée , face à un beau garcon , gentils de surcroit, car il était tres prevenant , pas comme la medecin de l'école .

J'avais eu le droit à la totale , si vous me comprenez ...En me rhabillant je me posais des questions , de savoir ce qyi avait bien pu lui prendre et quelle idée , mais bon j'avais accepté ce jeu , car cela en était un et je ne lui disait rien .

Mes parents n'en ont jamais rien su .

Par petite chipie [visiteur] le 15/02/2012 à 15h45

Sylvie, à 16/17 ans vous étiez un peu "vieux" pour jouer au docteur toi et ton cousin. Moi j'avais 12 et ma soeur 10 ans quand on a piégé notre cousin de 11 ans qui passait le week-end chez nous. Il voulait bien faire le malade mais pas enlever son slip donc on lui a promis que la prochaine fois se serait une de nous deux la malade et lui le docteur et qu'on enlèverait nos brassières et culottes. A la promesse de voir nos gougoutes et nos fesses il a enlevé son slip et pendant une bonne demi-heure on a joué à l'examiner principalement les fesses, le zizi et les boules. On touchait à toutes ses petites choses et il se laissait faire, au bout d'un moment son zizi était tout dur et il a juté. Avec ma soeur on a eu peur on se demandait ce que c'était lui nous a dit que c'était pour faire des bébés. Mon cousin ne m'a jamais vu toute nue ma mère disait que comme j'étais formée je ne pouvais pas prendre le bain avec lui et ma soeur. Par contre le soir même il était tout nu au bain avec ma soeur ma mère la lavait lui attendait son tour et son zizi était encore dur donc ma soeur a demandé à ma mère si c'est comme cela qu'on faisait les bébés à ma mère a éclaté de rire et m'a demandé de donner une serviette à mon cousin. Ma mère nous a fait sortir pour finir la toilette de mon cousin.

Par Denis [visiteur] le 19/02/2012 à 22h15

A Vivie,
Bravo pour votre essai de statistiques. Je ne sais pas si mon expérience va pouvoir entrer dans vos calculs ? Enfin, voici :
L’année dernière, j’ai eu des petits problèmes de peau. Rougeurs cutanées avec démangeaisons. Sur les conseils de mon épouse, je suis allé consulter notre généraliste, une doctoresse qui nous suit depuis quelques années.
Après lui avoir expliqué le souci qui m’ennuyait, elle m’a demandé de me dévêtir et m’a regardé attentivement. Son examen terminé, elle a reconnu que ce problème n’était pas de sa compétence et a rédigé un mot pour une dermatologue qu’elle connaissait dans un hôpital, en me recommandant de prendre rendez-vous le plus rapidement possible.
Une semaine plus tard, je me suis donc rendu à l’hôpital où j’ai été reçu par la dermatologue. Je lui ai présenté le mot de ma généraliste, qu’elle a lu attentivement. Cette dame était accompagnée d’une jeune fille, qu’elle me présenta comme étant une stagiaire qui allait donc l’assister dans son examen. De son bureau elle me fit passer dans la salle d’examen, en demandant à la jeune stagiaire de préparer la table. S’adressant à moi, elle me dit de me dévêtir entièrement, pour pouvoir regarder complètement ma peau.
Dans la salle, je me suis donc déshabillé, tandis que la stagiaire déroulait un drap en papier sur la table et y plaçait un petit coussin. Elle se tourna vers moi, alors que j’étais en train d’ôter mon slip, j’ai vu qu’elle détournait les yeux, en me demandant de bien vouloir m’allonger sur la table. Puis elle appela la dermato en disant que le Monsieur était prêt. La doctoresse est arrivée et a commencé son examen en passant longuement ses mains sur mon torse, mon ventre, mes cuisses… remonta lentement vers le haut des cuisses, à nouveau le ventre, qu’elle examina attentivement, puis le torse. J’avais une légère tâche un peu rouge sur le haut de la poitrine, une un peu marquée sur le ventre et une autre sur la cuisse gauche, jusqu’à l’aine. Elle examina tout cela à nouveau, centimètre par centimètre. Puis elle invita la stagiaire à effectuer elle-même l’examen. La jeune fille rougit légèrement mais posa sa main sur moi et, comme l’avait fait la doctoresse, elle descendit de mon torse à mon ventre, puis à l’aine et à la cuisse, me frôlant à peine, en évitant soigneusement le contact sexuel. La dermatologue lui demanda ce qu’elle pensait, en précisant qu’elle-même trouvait ces rougeurs superficielles. La stagiaire, ôtant sa main de ma cuisse, répondit qu’elle était de son avis.
Puis la dermato, sans complexe, commença à m’examiner le sexe, soulevant les testicules et palpant la peau de part et d’autre. Ce fut ensuite la verge, qu’elle examina totalement, retroussant également le prépuce. C’est là qu’elle remarque une petite tache brunâtre à l’extrémité, qu’elle trouva bizarre. Tandis qu’elle me palpait ainsi la pointe de la verge, afin de détecter une éventuelle adhérence, je commençais à avoir un érection. La dermato continua son toucher sans tenir compte de ma réaction et finit par dire qu’elle ne diagnostiquait pas d’adhérence et que ça ne semblait donc pas très important, mais qu’il y avait tout de même lieu de surveiller ça, pour vérifier que ça n’évolue pas. Puis, sans ambages, elle demanda à la stagiaire d’effectuer elle aussi l’examen. La jeune fille avança la main en rougissant et la posa timidement sur mon sexe. La dermato lui intima l’ordre de bien palper à l’endroit de la tache pour voir si elle trouvait une adhérence, c’est à dire, vous l’aurez compris, sur l’extrémité de ma verge turgescente. La jeune fille s’exécuta brièvement et la dermato lui dit de terminer l’examen génital, tandis qu’elle allait rédiger le compte-rendu pour ma généraliste.
A peine la dermatologue fut-elle repartit à son bureau, la jeune stagiaire, toute rouge, retira sa main et murmura : « Je m’excuse, Monsieur. » Murmurant moi-aussi, je lui ai répondu que je savais que ça faisait partie de son travail, mais que c’était plutôt à moi de m’excuser. Elle a eu un sourire confus et m’a dit que je pouvais me rhabiller.

Le lendemain, je suis retourné voir ma doctoresse avec le compte rendu de la dermato. Pour mes rougeurs, cette dernière avait demandé à ma doctoresse de prescrire une pommade, à me faire appliquer matin et soir. En ce qui concernait la tache au niveau de la verge, ma doctoresse m’a demandé, elle qui ne m’avait jamais examiné de ce côté, de me défaire pour voir ce qu’il en était. Tandis qu’elle examinait l’objet du litige, si je puis dire, j’ai également eu une érection. La doctoresse m’a demandé si cela occasionnait une gène lors des rapports. J’ai répondu négativement. Elle m’a demandé si j’avais remarqué cette tache précédemment, là encore j’ai répondu par la négative, précisant que je n’avais pas fait attention à ça. Comme elle continuait de toucher tout en me posant ses questions, je n’ai pas pu éviter une éjaculation. Chose qui, heureusement n’était pas survenu pendant les examens de la dermatologue et sa stagiaire. Je n’ai pas eu seulement de temps de m’excuser que ma doctoresse me dit qu’en tout cas, l’émission se faisait normalement et ne semblait pas être douloureuse. Puis après m’avoir donné de quoi m’essuyer, elle me dit que je pouvais me rhabiller, tandis qu’elle rédigeait l’ordonnance suggérée par la dermato. Enfin elle me dit qu’effectivement, un contrôle était nécessaire pour vérifier qu’il n’y ait pas d’évolution inquiétante quant au problème sexuel.
Tous les deux mois, je vais donc voir ma doctoresse pour cet examen. Même si, lors de ses contrôles, j’ai une érection plus ou moins prononcée, la doctoresse me touche quand même moins longtemps et le petit incident de la première fois ne s’est plus reproduit. Une dernière chose : je tiens à préciser que lors de ce premier contrôle, la chose s’est faite si spontanément que je n’ai pas eu d’orgasme. Il me semble important de le présicer.

Voilà Vivie. Comme je vous l’ai dit, je ne sais pas si mon histoire pourra entrer dans vos statistiques, mais je tenais à tout vous dire.

Par echo [visiteur] le 18/03/2012 à 02h17

Pour Vivie qui veut savoir si les hommes se font toucher le pénis par les médecins et si cela provoque de la gêne surtout si il y a des érections. Suite à des troubles de l'érection j'ai passé une écho de la verge chez une sexologue. L'assistante m'a fait une injection dans la verge ce qui a provoqué une érection la sexologue m'a fait l'echo. Et oui Vivie j'étais en érection devant 3 femmes : la sexologue, l'assistante et ma femme. Je n'avais pas eu d'érection depuis longtemps et comme j'étais là pour ça, bien qu'un peu gêné au début j'étais assez fier de moi. J'étais plus embarassé avant la piqûre lorsque la sexologue m'a palpé les testicules et la verge et fait un toucher rectal.

Par chanve [visiteur] le 20/03/2012 à 23h54

A 19 ans, je devais aller faire examiner un grain de beauté suspect chez une dermato. C'était une femme qui avait la trentaine, plutôt jolie. Elle me demanda de me déshabiller jusqu'aux sous-vêtements, de m'allonger, et examina le grain que j'avais sous le sein droit. Puis elle m'a dit :
"Je vais en profiter pour vous examiner entièrement.".
Elle me demanda de soulever les fesses et put examiner mon pubis. Etant donné qu'il était totalement glabre (je me rase), j'ai piqué un énorme fard !

Par Lyse [visiteur] le 31/03/2012 à 18h01

Ce qui m’a attiré sur ce site, c’est la franchise des commentaires. On y parle sans détour des rapports médecins-patients. On y évoque sans ambiguïté la nudité lors de visites médicales ainsi que l’éventuel contrôle génital. Que certains ou certaines trouvent cela gênant, que d’autres, au contraire, pensent que cela est tout à fait naturel ou d’autres encore, en ressentent des sensations, plus ou moins agréables par ailleurs… Bref, les commentaires, quels qu’ils soient, font état d’une certaine sincérité. Il en est même qui évoquent le fantasme de la visite médicale en parlant sans complexe du "jeu du docteur" entre adolescents.
C’est justement à ce propos que je voudrai faire-part de mon expérience. Ou plutôt, pour être plus précise, du fait que je me suis retrouvée infirmière involontaire de mon jeune frère.
Mais tout d’abord, les circonstances : Je suis l’aînée de douze ans de Jérôme, mon frère. J’ai vingt sept ans, il en a quinze. Depuis maintenant cinq ans que j’ai quitté le domicile maternel, pour rapprochement professionnel, Jérôme aime venir passer les week end à la maison. J’ai ma chambre et il couche dans le convertible du salon. Même s’il m’arrive de l’apercevoir nu par la porte entr’ouverte de la salle de bains, c’est involontairement et sans aucune recherche pernicieuse, de part et d’autre. Bien qu’il m’arrive de m’y arrêter pour lui demander s’il n’a besoin de rien, je n’insiste pas et il ne semble nullement troublé par cette présence furtive.
Les faits : Lors des dernières vacances scolaires, Jérôme est donc venu passer une semaine chez moi. Le soir, j’ai préparé comme d’habitude le convertible, pendant qu’il se déshabillait. Même si j’ai vu ses fesses tandis qu’il enfilait son pyjashort, c’était, comme je le disais plus haut, involontaire et sans penser à mal.
Ce fut le lendemain que les choses se sont produites. Alors que je venais au salon pour lui dire que le petit déjeuner était prêt, je lui ai demandé s’il avait bien dormi. Ce à quoi il m’a répondu qu’il avait plutôt mal dormi, gêné par un bouton qui lui faisait mal sous le zizi. Étonnée, je lui ai demandé, sans idée préconçue, si ça le gênait que je regarde. Jérôme m’a spontanément répondu que, puisque j’étais sa sœur et que, bien sûr, l’ayant déjà vu tout nu, ça ne le gênait pas.
M’étant assise sur le bord du canapé, j’ai repoussé le drap et lui ai baissé la culotte de son pyjashort. J’ai pris son sexe et l’ai remonté sur son ventre. Effectivement, il avait un bouton purulent sur la face ventrale du pénis. Quand j’ai touché, il a fait une petite grimace. Je lui ai dis qu’il allait falloir que je le perce pour enlever le pus. Comme il hésitait à se laisser faire, je l’ai rassuré en disant que je ferai aussi doucement que possible. Je suis allé chercher une petite bassine d’eau tiède et un gant de toilette et suis revenue vers lui. J’ai ôté son short et lui ai demandé d’écarter les jambes pour placer la bassine en disant que j’allai le tamponner avec l’eau pour ramollir le bobo avant de le percer, afin que ce ne soit pas douloureux. Tandis que j’effectuais cette opération, j’ai senti sa verge se raidir sous mes doigts. Je n’ai pas, bien entendu, prêté attention à cette érection, n’y voyant rien d’intentionnel. J’ai continué à tamponner son sexe d’une main, en le tenant de l’autre. Au bout d’un moment, j’ai cessé et prenant le bobo entre le pouce et l’index, j’ai appuyé pour en sortir le pus. Était-ce l’effet du soulagement, peut-être… C’est à ce moment que Jérôme a éjaculé. Il a rougit un peu en bredouillant un « Oh pardon ! » Je me suis voulue rassurante, comprenant que la situation était ambiguë. Je lui ai dis que ça n’était pas grave, que c’était une chose qui pouvait arriver quand on était obligé de toucher là. Je l’ai ensuite bien nettoyé, mis du mercurochrome et un petit pansement. Puis, pour bien montrer que je ne faisais pas de cas de ce qui était arrivé, je lui ai dit qu’il pouvait rester comme ça, afin de ne pas être serré dans les vêtements. Il est donc resté ainsi, cul nu, une partie de la journée.
Le soir, avant qu’il ne se couche, j’ai proposé à Jérôme de lui changer son pansement pour la nuit, ce qu’il a accepté. J’ai donc, comme le matin, rapporté une petite bassine et un gant de toilette pour lui laver les choses avant de mettre un pansement propre. A nouveau, au cours du soin que je lui faisais, Jérôme a eu une érection et une éjaculation spontanées.
Durant toute la semaine, j’ai continué à le toiletter et à lui mettre un pansement. A chaque fois, j’ai eu droit, au cours des soins, à une éjaculation, que Jérôme ne cherchait pas à retenir et que je ne cherchais pas non plus à éviter. Sans doute, y prenait-il quelque plaisir, car le plus souvent, lorsqu’on ne sortait pas, restait-il le zizi à l’air (pour ne pas être serré dans ses vêtements) disait-il.
Je ne veux pas être hypocrite, aussi terminerai-je mon récit en disant que d’avoir prolongé matin et soir ce jeu d’infirmière pour ces "soins" à mon frère a plutôt été amusant et que je n’ai pas du tout trouvé désagréable de le voir déambuler cul nu dans la maison, avec parfois le zizi dressé, lorsque arrivait le soir et qu’il savait que j’allais le soigner.
Le week end suivant, lorsqu’il est venu et que je lui ai demandé comment ça allait, il m’a répondu que ça allait mieux mais m’a demandé lui-même si je voulais regarder. C’est le soir, au sortir de la douche, que je l’ai longuement examiné, laissant évidemment arriver la conclusion que je n’ai pas besoin de préciser et qui lui a d’ailleurs provoqué un large sourire.

Par curieux [visiteur] le 04/04/2012 à 13h50

c'est un grand classique des visites médicales
le garçon doit se mettre nu devant sa mère, ce qui peut déjà être plutôt embarrassant à 16 ans mais en plus il y a la petite soeur qui n'a que 12 ans qui est là aussi car la mère ne veut pas la laisser seule dans la salle d'attente et le personnel médical , docteur ou doctoresse et le cas échéant infirmière trouve cela parfaitement normal

et j'adore la réflexion de la mère "bah, tu es fait comme tout le monde" ce qui est d'ailleurs vrai mais ne donne aucun soulagement à l'embarras ressenti dans cette situation surtout si le garçon n'est jamais dans la situation inverse avec sa soeur ce qui est probable car comme il est assez âgé, il fait autre chose quand sa mère chez chez le médecin avec sa soeur.

félicitations à ""Baboucka "pour son récit tout de même étonnant parce que même si on se doute bien qu'en URSS le respect de la pudeur n'était pas le souci premier des personnels soignants, elle était professeur dans un lycée français, pas russe.

est ce qu'elle sait comment étaient traités les élèves , s'ils devaient comme elle aller dans un centre médical ou si leur examen se passait à l'infirmerie ou dans le gymnase de l'établissement.
et puis a t -elle entendu parler par des prof ou des élèves ou vu des images à la télé des examens médicaux pour l'aptitude au service militaire des garçons, ça devait être très déshabillé.?

Par machin [visiteur] le 07/04/2012 à 16h26

Moi aussi a 14 ans j'ai du me mettre a poil devant le médecin, c’était la honte total !!! Les médecin son des PIGNOUFS !

Par clodo [visiteur] le 15/04/2012 à 08h24

Récemment j’ai passé la visite médicale du travail qui a lieu désormais tous les deux ans voire trois ans. Après les formalités d’usage avec l’assistante (lunettes, prise d’urine, audiogramme) je suis passé dans le cabinet où une jeune femme ravissante m’attendait pour cette visite. Elle se passa sans difficultés en slip chaussettes mais à chaque fois cela me rappelle une autre visite beaucoup plus ancienne. Je n’ai en effet pas trop souvenir de visite médicale traumatisante dans mon enfance sauf une qui date des années 1980. J’avais 17 ans ou presque, j’étais en 1ère dans un lycée de banlieue. Nous avions une infirmerie avec trois cabines pour se déshabiller. L’assistante scolaire (était-elle infirmière ?) remplissait une fiche de visite et nous faisait entrer dans une des cabines. Elle précisait de tout retirer sauf slip et chaussettes (le sol était un carrelage). Cette assistante était jeune, assez jolie, nous la connaissions bien car elle surveillait aussi nos heures de permanence entre les cours ou bien contribuait à nous accompagner au gymnase qui se trouvait un peu loin du lycée. Bref, un mixte entre une surveillante, une aide-soignante et une secrétaire.
Comme j’étais très pudique je faisais bien attention à ce que le verrou de la cabine soit bien fermé et que seul le docteur ou la doctoresse soit la seule à pourvoir voir ma nudité – ni la surveillante, ni mes camarades d’école et encore moins les filles du lycée. Assez habitué à la visite j’entrais sans appréhension dans la cabine et retirait mes vêtements. J’enlevais mon pantalon en dernier et me retrouvais en slip de coton blanc. Il était ni ample, ni trop serré mais comme j’étais quand même un peu anxieux je ne faisais pas trop le fier lorsque j’ouvrais l’autre porte vers le cabinet du médecin.
La doctoresse m’accueillit avec le sourire et la visite se déroula comme d’habitude. Jusqu’à présent les contrôles médicaux annuels étaient bien anodins mais cette fois, la doctoresse qui bien sûr ne travaillait pas régulièrement dans le lycée et donc nous connaissait peu me surprit à me poser des questions sur mon intimité. Si je n’avais pas de douleur particulière au niveau du bas ventre, si j’avais été opéré de l’appendicite, si j’avais passé d’autres visites médicales depuis l’année précédente, etc…
Pour la première fois elle m’ausculta tout la partie abdominale, me baissa légèrement le slip pour vérifier l’aine et me dit qu’elle préférait vérifier par elle-même la descente de mes organes. A travers le slip elle commença à me palper prudemment pour apprécier la taille de mes bourses puis sa main par l’ouverture du tissu à l’aine est allé toucher une après l’autre mes testicules d’adolescent.
Jamais un médecin qui plus est une femme n’avait ainsi cherché à manipuler mes petites boules. Dans ces circonstances au lieu de me détendre je me contractai par la fraîcheur de la pièce et le contact frais de la main médicale. Mes boules étaient remontées au plus haut de leurs logements. La doctoresse poursuivit son examen en me disant qu’elle avait un doute, qu’elle était désolée mais qu’elle devait me baisser le slip pour mieux faire. Son regard ou son visage ne trahit aucune gêne ou émotion lorsque je me retrouvais le zizi à l’air devant elle. Elle poursuivait sa palpation de mes bourses. A gauche, à droite, retour à celle de gauche. Elle m’expliquait qu’elle avait du mal à distinguer si j’en avais bien deux tant elles avaient tendance à remonter vers l’aine.
Au bout d’un moment elle me demanda de m’allonger sur le lit de l’infirmerie afin de me décontracter pour poursuivre l’examen. Elle me laissa quelques minutes ainsi tandis qu’elle remplissait un dossier. Imaginez ma situation : j’étais tout nu, allongé sur un lit métallique d’examen, les jambes ballantes et les attributs exposés. Mon zizi juvénile habituellement prompt à se dresser n’en menait pas large sans doute lui aussi angoissé de se faire examiner. La doctoresse s’approcha de moi, se pencha sur mon bas ventre et repris l’examen de mes bourses. Sans gants et en écartant un peu mon pénis elle faisait rouler entre ses doigts mes testicules qui lui semblaient plus accessibles après ces minutes de repos.
C’est là que la catastrophe arriva et ma honte avec. Notre assistante bien connue entra dans le cabinet d’examen et au contraire de s’excuser de déranger pour se retirer, eut un petit geste de surprise puis s’approcha en souriant de la doctoresse pour lui demander quelque chose.
Au lieu de ressortir ou de détourner le regard elle se posta près de nous et contempla de longues secondes le spectacle. Son léger sourire me comblait encore plus de honte car je la connaissais tandis que la doctoresse m’était quasi inconnue et avait la blouse blanche innocente du médecin. Etait-elle curieuse de cet examen, était-elle habituée à voir ainsi des adolescents, était elle-même un peu excitée de cette exhibition involontaire ? Je ne le saurais jamais.
La praticienne conclut enfin positivement les palpations de mes glandes. Elle ajouta que pour mon âge elles étaient vraiment petites tout en s’écartant pour montrer l’ensemble de mon anatomie juvénile à l’assistante. Elle n’alla pas plus loin dans son examen, n’ayant pas par exemple pas à me décalotter car je suis circoncis. Elle rejoignit son bureau pour signer la fiche de visite. Mon sexe n’avait montré aucun début d’érection durant tout l’examen. Je remis tant bien que mal mon slip toujours sous le regard de notre surveillante qui semblait sourire et m’enfuit quasiment vers la cabine pour me rhabiller.
A l’époque cette visite m’avait traumatisé mais en fait comme j’avais été soigné quelques années plus tôt à la cortisone, peut être que cela pouvait avoir une influence sur le développement des glandes sexuelles d’où l’inquiétude de la doctoresse.
Ce qui me traumatisait c’était de croiser souvent notre surveillante / assistance d’infirmerie. A chaque fois je la revoyais observer ma nudité adolescente alors qu’elle n’était guère plus âgée que nous. J’imaginais que derrière son sourire s’affichait cette scène.. Depuis les années ont passé, j’ai oublié son visage, le lycée aussi et toute cette époque.





Par Babouchka [visiteur] le 20/04/2012 à 22h56

Bonjour , machin .

Pour repondre à vos questions , j'étais bel et bien professeur dans un lycée francais à moscou et de ce fait professeur de francais .

Les visites médicales que j'ai vécue étaient destinées aux travailleuses , comme moi , russes ou etrangeres exercant en union sovietique , elles étaient obligatoire .

A cette époque , dans ce pays , les visites médicales s'effectuaient toujours nu y compris pour les éléves du lycée dans lequel j'exercais . Ceux ci effectuaient cette visite médicale dans le meme centre ou devrai-je dire dans la meme usine , car cela avait un coté un peu industriel . Cependant , ils ne devaient pas subir autant d'examens que nous les adultes , car cela ne durait pour eux qu'une demie journée .

Personnellement , jamais ne n'ai suivi l'une de leurs visites médicales , car ils étaient emmenés par des surveillantes de l'établissement et cela ne faisait pas parti de nos sujets de conversation .

Pour ce qui était de l'armée , ces affaires relevaient du plus grand secret , l'union sovietique de l'epoque était un pays extremmement surveillé et pour moi la petite francaise , je devais rester la plus dicrette possible .

Souhaitant que ces quelques reponses aient pu vous satisfaire .

Par Laurent [visiteur] le 20/04/2012 à 23h34

Moi aussi j'ai eu une visite médicale "poussée" en 6ème.

On voyait individuellement le médecin.
Quand je suis entré dans son bureau, il m'a demandé de me mettre en slip, m'a pesé puis mesuré, puis m'a dit de m'allonger sur la table d'examen. Il a fait les trucs habituels (écouter mon cœur avec son stéthoscope, regarder mes oreilles, palper les ganglions dans mon cou, palper mon ventre). Et c'est là que c'est devenu gênant : il m'a dit qu'il allait regarder où j'en étais dans ma puberté, et que pour cela il allait baisser mon slip. Mais en fait il me l'a carrément complètement enlevé ! Puis il a commencé à examiner longuement mes testicules en les faisant rouler entre ses doigts, puis ensuite il a pris mon pénis et m'a décalotté. Il l'a pas fait qu'une fois mais pal mal de fois fois pour disait-il vérifier que ça ne coinçait pas, à force de me le faire ça m'a déclenché une érection. Je me sentais super gêné.

Après il m'a dit de me mettre debout pour vérifier ma colonne vertébrale, j'avais honte qu'il voit mes fesses, puis il m'a demandé de me retourner pour qu'il vérifie si je n'avais pas de hernie au niveau de mes bourses. Le problème c'est que j'étais toujours en érection, là je me sentais vraiment ridicule, tout nu devant lui avec le sexe à l'horizontale, tandis qu'il me palpait les bourses. Je me demandais ce qu'il pensait de moi. Heureusement ensuite c'était terminé et j'ai enfin pu me rhabiller.

Je ne sais pas si les filles étaient obligées également de se déshabiller entièrement.

Par Rose [visiteur] le 21/04/2012 à 23h51

En 1973 , javais subi une visite médicale particulierrement poussée , dans un dispensaire de l'assistance publique de Paris et cela dans le cadre scolaire .

Celle ci ne se passait pas comme celle que nous passions d'habitude à l'infirmerie et qui durait un quart d'heure . Le rendez vous était fixé par une convocation que nous remettait l'infirmière du lycée .

Nous n'etions pas convoqués par classe entière , mais de facon individuelle pour la demie journée , de ce fait , nous étions dispensés de cours . Il fallait se presenter à jeun et en bon état d'hygienne .

En arrivant au dispensaire , nous étions emmenées par groupe du meme sexe dans un couloir et étions introduits dans des cabines individuelles . L'une des infirmières presentes donnait l'ordre de nous deshabiller , les portes des cabines restant ouvertes sur le couloir , nous pouvions voir et entendre le personnel médical s'affairer .

Une grande damme assez autoritaire demandait aux infirmières si ses lycéennes étaient prettes , elle reprenait en disant quelque chose comme vous me mettez toues nues !

Une des infirmières tappait dans ses mains en disant , vous avez entendu ce qu'a dit la directrice , on se deshabille complettement . Sur le coup je n'y croyais pas et puis il fallait bien se resigner à enlever jusqu'à la petite culotte .

Les infirmières refermaient alors les portes des cabines et nous devions nous asseoire sur les chaises .

Mon tour arrivait quelques minutes apres , une infirmière ouvrait ma porte et m'emmenait dans un bureau , celui de la directrice precisement . Je me sentais mal , honteuse de devoir repondre à ses questions , debout face à elle , les mains dans le dos , car il nous était defendu de nous cacher le pubis .

Bien disait elle , retournez dans votre cabine , le docteur va vous examiner et je vous conseil de vous laisser faire .

Sans doute une heure plus tard , alors que je commencais a geller dans ce placard sans lumière , je precise , la porte opposée s'ouvrait , une autre infirmière me faisait sortir .

Pour commencer , elle me faisait passer sur la balance et me mesurait sous toutes les coutures , puis je devais aller me coucher sur la table .

C'était la première fois que je subissai des examens médicaux allongée sur une table médicale . En attendant le docteur , me disait l'infirmière , je vais te faire passer quelques examens de base .

L'infirmière se positionnait à coté d'un tableau de lecture , puis avec une baguette m'indiquait les differents caracteres à lire , puis nous passions à l'audiometrie avec le casque sur les oreilles avant de passer à la prise de sang .

Entre temps , le docteur arrivait , car il sagissait d'un homme et regardait l'état des premiers resultats avant de s'insataller à son bureau .

Le docteur m'auscultait , prenait la tension , procedait aux palpations , pas seulement du ventre mais aussis des seins , ce qui était nouveau , comme pour les ovaires puis il ordonnait à l'infirmière de me raser le pubis , pour l'examen de gynecologie .

A cet instant , mon sang se glacait surtout à cause des questions crues qu'il me lancait ... Il me proposait de commencer par un doigté rectal avant de passer au vagin ...

L'infirmière prenait mes jambes et je devais me laisser faire ... Pour la prise de temperature , je devais le faire moi meme , dans l'anus ...

Le medecin remplissait le dossier durant ce temps , puis je retournais en cabine , sans avoir l'autorisation de me rabiller .

J'allais ensuite passer des radiographies , un electocardiogramme avec test d'effort ... Imaginez vous devoir courir sur un tapis roulant devant d'autres filles toute nue , car pour cet examen , nous étions deux ou trois dans la salle .

J'étais ensuite condute chez un autre medecin avec lequel je subissais un lavement des intestins , puis il m'expliquait qu'il allait regarder l'interieur de mon ventre . Ca faisait tellement mal que j'en ai hurlé et pleuré jusqu'au passage chez le dentiste ou j'ai eu le droit à une séance de roulette dans les regles .

Je dénonce les pratiques de ces dispensaires , dont lles docteurs abusaient de leur autorité et nous faiasaient subir toute sorte de sévice , le pire sans doute était d'étre nue durant toute la demie journée .

Par Mégane [visiteur] le 26/04/2012 à 20h36

Bonjour à tous,
Moi aussi j’ai eu honte lors d’une visite médicale devant mon père et mon petit frère.
J’avais 18 ans et mon frère 15. Depuis quelques temps j’avais mal à l’anus mais je n’osais pas en parler à mon père (avec qui je suis assez proche) ni à ma mère avec qui c’est plus tendu.
Un jour que ça me faisait vraiment mal j’en parlais à ma génitrice qui sembla contente que je lui parle de mes problèmes et appela devant moi le médecin et prit rendez vous pour le lendemain 18H.
-Je viendrai te chercher au lycée à 16H30 que tu es le temps de prendre un douche avant qu’on y aille, me dit-elle.

Le lendemain me parut assez long mais ayant EPS à la fin de la journée j’en profitai pour me donner à fond et essayer de ne pas penser au moment où je devrai montrer mon derrière au médecin.
Le cours ayant fini en retard, je me dépêchais dans les vestiaires ne prenant pas de douche, et ne changeant pas non plus de sous vêtements (devant le faire à la maison). Ce jour là, j’avais un soutien gorge de sport noir et une vieille culotte blanche dont l’élastique était mort.
En sortant du lycée, je cherchai la voiture de ma mère qui était en effet arrivée. Mais au moment de monter devant j’eu un choc, ce n’était pas ma mère mais mon père et à la place passager mon frère. Je montai donc à l’arrière et mon père me dit que le médecin avait appelé pour que l’on vienne plus tôt car il n’avait aucun autre rendez-vous après.
-Et Pierre, il fait quoi?
-Il vient aussi, il a besoin d’un certificat médical et d’un papier pour aller chez le dermato!
En entendant cela, je me souvins soudain que le cabinet de notre docteur était assez petit et qu’il n’y avait pas de séparation entre le bureau et la salle d’auscultation. Je demandai aussi pourquoi c’était pas notre mère qui nous emmenaient et mon père répondit que comme toujours elle avait une réunion de dernière minute.
Ce trajet me parut interminable mais une fois arrivés j’aurais préféré qu’il dure encore. A peine entrions nous dans la salle d’attente que le docteur vint vers nous et nous invita à entrer dans son bureau. J’espérai que mon père nous ferait passer un par un mais non.
Le bureau n’avait pas changer, la table au milieu et au fond un petit bureau pour lui écrire ses ordonnances. Il demanda ce qui nous amenait et mon frère lui expliqua. Le médecin lui demanda alors de se mettre en slip; ce qu’il fit aussitôt, nullement gêné par notre présence. Je me surpris à regarder son corps qui commençait à voir des poils sur le torse. Le médecin lui dit les examens ordinaires puis lui demanda de retirer son slip. Il eut un moment d’hésitation n’osant regarder vers nous, mais se décida à se mettre totalement nu. J’aurai préféré qu’il refuse car je ne me voyais pas refuser de faire ce que lui faisait sans se plaindre. Je ne pus m’empêcher de regarder vers son pénis pendant mollement, et qui avait grossi et s’était entouré d’une toison pubienne qu’il n’avait pas lorsque nous étions jeunes et que nous prenions notre bain ensemble. Je vis qu’il avait les yeux baissés, je lui souriais donc et il sembla un peu rassuré. Le docteur s’approcha et palpa ses bourses, regarda sa verge et le décalotta deux fois, toutes ces manipulations eurent pour effet de provoquer chez lui une érection et le firent devenir tout rouge. Le médecin lui dit de se rhabiller et prépara son certificat médical et la lettre pour le dermato.

Il se tourna ensuite vers moi avec un sourire me demandant ce qui se passait.
-Eh bien, répondis-je en baissant les yeux et à voix basse, j’ai des douleurs au niveau de l’anus..
Mon père et mon frère eurent un mouvement de surprise. Le docteur me demanda depuis quand j’avais mal. Je lui dit que cela faisait environ trois mois.
-Tu aurais du venir plus tôt, ça s’est déclaré soudainement ou à la suite de quelque chose de particulier?
-Je ne vos rien.
-Tu n’aurais pas eu une relation sexuelle avec un garçon ou un objet par là?
À cette question, je devins toute rouge, j’étais encore vierge et le seul garçon que j’avais vu nu pour de vrai était mon frère, je répondis donc par la négative. Le docteur me posa encore quelles que questions puis me demanda de me déshabiller entièrement. J’enlevai donc mon haut dévoilant mon soutien gorge noir aux trois hommes dont je sentais le regard sur moi. J’enlevai ensuite mon jean, devant retenir ma culotte qui à cause de son élastique lâche failli descendre aussi. J’allais retirer mon soutien-gorge quand le médecin me dit de m’arrêter qu’il allait m’ausculter entièrement avant. Ce répit me soulagea, mais fut de courte durée. Je retirai mon soutien-gorge et vis que mon père et mon frère fixait ma poitrine. Je me retournai donc pour retirer ma culotte et mis mes mains sur mon intimité. Les autres pouvaient voir mes fesses mais cela n’était rien car je savais que je devrais très bientôt leur montrer mon sexe. Le docteur m’invita à monter sur la table d’auscultation et à mettre à quatre pattes, je dus donc me servir de mes mains et dévoiler mon sexe poilu, ne m’épilant que partiellement pour les vacances. Mon père et mon frère ne perdait rien du spectacle mais je les sentais gênés mais c‘était moi et non eux qui étaient nus à quatre pattes. Le docteur me fis alors un toucher rectal assez douloureux puis appela mon père.
-Voyez, ce n’est pas grand-chose, mais pour que ça disparaisse il faut mettre une pommade, pourrez vous le faire?
-Ne pourrait-elle pas le faire seul?, demanda mon père. J’étais toujours à quatre pattes mais je vis bien qu’il avait les yeux rivés sur ses chaussures.
-Non, non, mais il ne faudra le faire le soir uniquement pendant une semaine.
Le docteur mit alors une noisette de crème sur le doigt de mon père et lui expliqua comment faire. Je tressaillis au contact de la crème froide sur mon anus mais heureusement ça n’a pas duré longtemps.

Finalement mon père m’a appliqué cette lotion et au bout de sept jours, j’étais guérie, cette histoire nous aura encore plus rapprochés car depuis je lui parle de tous mes problèmes même très intimes et ma mère pas du tout.

Par justine [visiteur] le 01/07/2012 à 21h24

un jour,je me rappelle plus bien pourquoi,je me suis retrouvée avec ma mère et mon grand frère chez le médecin.
la visite médicale était uniquement pour lui,j'avais 11 ans et lui avait 17 ans,je n'avais auparavant jamais assisté a une de ses visites,quand le docteur lui a demandé de se dehabiller on ne m'a pas fait sortir,il lui a été demandé de se mettre nu,j' ai donc vu mon grand frère tout nu,c'est drole ce qui m'a le plus marquer c'est quand il était sous la toise pour se faire mesurer,nu comme un vers

Par quelle ho [visiteur] le 02/07/2012 à 23h46

une histoire plus haut d'un grand garcon éxaminé devant son pere me rappele une situation que j'ai vécu a 19 ans
suite a un refus de priorité d'un conducteur ma voiture a été détruite,devant la violence du choc latéral meme si je n'avais apparament rien les policiers ont appelé les pompiers pour qu'ils m'emmenent en consultation a l'hopital
mon pere prévenu m'a rejoint aux urgences,on venait de me faire passer une radio complete
peu de temps apres un interne m'a appelé,mon pere m'a suivit,dans la salle d'examen il a commenté les radio en disant que je n'avais apparament rien,je croyais en rester la quand tout a coup il a dit,on va quand meme regarder tout ca,"deshabiller vous entierement",le mot"entierement" m'a tout de suite interpelé,mais je pensais tout de meme garder mon slip,puis il a dit le temps de vous deshabiller je vais m'absenter un instant,et il a préciser vous enlever bien tee-shirt chaussette et sous vetements,j'ai juste dit "oui"
et j'ai commencé a me deshabiller selon ses consignes sauf que je me suis arreté au slip,c'est la que mon pere m'a dit "il t'a dit de tout enlever"je me suis résigner me mettre tout nu,mon pere ne m'avait pas vu nu depuis longtemps, j'ai senti son regard qui me détaillait,visiblement il profitait de l'occasion pour voir comment j'étais fait puis le medecin est revenu et j'ai été éxaminé nu a 19 ans devant mon pere

Par Nadne [visiteur] le 09/07/2012 à 14h54

Je voudrai faire une remarque quant au récit du visiteur « Echo » qui se dit fier de son érection devant trois femmes dont la sienne, pendant une échographie.
Voilà, je suis assistante en radiologie et depuis cinq ans, je travaille avec une doctoresse spécialiste en échographie. Nous voyons bien sûr des hommes pour des examens de l’appareil génital. La radiologue m’a dit qu’il y a quelques années, il lui arrivait d’en examiner deux ou trois par an, alors que maintenant, nous en voyons parfois trois ou quatre par semaine. Comme elle dit, il faut croire que les messieurs sont sans doute moins imbus de leur virilité ou admettent plus facilement qu’eux aussi peuvent avoir des problèmes de ce côté et acceptent mieux de se faire soigner.
Deux choses, principalement, m’ont interpellée dans le récit de ce monsieur. D’abord que son épouse assistait à l’examen puis la fierté de son érection devant elle.
Je dois dire que jamais nous n’acceptons une autre personne que les patients en salle d’examen, c’est totalement proscrit ! (à part pour de très jeunes enfants) Ensuite, je n’ai jamais vu des messieurs fiers de leur réaction sexuelle en ma présence et celle de la doctoresse. Bien au contraire, ils en sont toujours assez gênés.
Il est courant que la chose arrive bien sûr, lorsque je leur enduis les organes de gel pour l’échographie, puis se précise lorsque la doctoresse procède à l’examen, qui dure 20 à 30 minutes selon les cas. Il n’est pas rare, non plus, que le réflexe éjaculatoire se produise, ce qui les met dans un état voisin de la panique et pour lequel nous devons les rassurer en leur disant qu’il ne s’agit que d’un réflexe naturel, que nous comprenons, que nous avons l’habitude de ce genre de chose, etc… Les seuls chez qui aucune réaction ne se produit, sont ceux atteints d’un problème grave (début de cancer de la prostate ou des testicules par exemple) qui annihile totalement la fonction génitale. Mais pour ceux qui n’ont qu’un problème mineur, je le répète, la chose est fréquente. Chez certains messieurs, qui reviennent pour un suivi régulier, la gêne s’estompe au fur et à mesure, avec l’habitude des examens, mais ils n’en sont pas plus fiers pour autant, essayant visiblement de se contenir, d’ailleurs souvent sans grand succès.
J’ai même eu une fois, un homme, jeune, qui ne voulait pas enlever le slip, à qui j’ai dû insister en expliquant que la doctoresse devait lui faire une échographie des organes et qu’elle ne pouvait pas le faire sur le slip. Lorsqu’il a fini par ôter son vêtement, il s’est allongé sur la table en cachant son sexe avec les mains. J’ai eu toutes les difficultés à les lui faire enlever pour mettre le gel. Il était horriblement paniqué, au bord de l’évanouissement.
Pour finir, je veux dire que je ne me sens pas du tout excitée en voyant un patient en érection au cours de l’examen, non plus en constatant qu’une éjaculation survient, pas davantage en leur enduisant les choses avec le gel. Ce sont des gestes totalement médicaux, qui n’ont rien à voir avec la sexualité. Lorsque je suis en salle d’examen, je fais abstraction de ma vie privée, je suis seulement l’assistante de la radiologue, ne voyant devant moi qu’un patient et quand je suis au lit avec mon compagnon, j’oublie absolument ce à quoi j’ai pu être témoin dans la salle d’examen. C’est ainsi que je suis à l’aise dans mon travail et heureuse dans mon couple.
Voilà la réflexion que je souhaitais faire concernant le récit de ce monsieur.

Par Luc [visiteur] le 29/07/2012 à 19h32

La même chose s'est produite pour moi il y a quelques années déjà.

Je devais obtenir un certificat médical pour le sport. Ma mère est venue me chercher en voiture à la sortie du lycée, accompagnée de ma petite soeur.

La visite s'est d'abord déroulée de manière classique : prise de tension artérielle, oscultation, pesée etc... Mais voyant le nombre de grains de beauté sur mon corps, ajouté au fait que je n'ai encore jamais consulté de dermatologue, le docteur - qui était une femme - a décidé de contrôler ma peau de manière plus approfondie.

Pour ce faire, elle m'a demandé de me déshabiller complètement. Je me suis donc retrouvé tout nu dans la salle. J'ai dû rester debout comme ça pendant une bonne dizaine de minutes alors que le docteur inspectait l'ensemble de mon corps à la recherche de grains de beauté suspects.

Franchement, je crois que ce fut la pire honte de ma vie.

Nu devant ma mère à 17 ans. Pire encore, nu devant ma petite soeur de 12 ans, qui n'avait jamais eu l'occasion de me voir ainsi !

Par RICHARD95000 le 01/09/2012 à 09h58

BONJOUR

dur a attendre ces histoires car le médecin doit respecter l'intimité du patient, famille ou pas ...

ensuite se déshabiller nu pour une cheville , une simple consultation, est-ce un fantasme, un délire ou la réalité ?

car si c'est la réalité, il y a abus et une plainte peut être déposée , on ne doit pas faire un examen , se rincer les yeux sur un jeune ou jeune fille nu(e) sans que cela soit justifiée ...
si c'est le cas, ce genre de médecin ou d’infirmière me semble pervers, pédophile et la loi doit être informé de ces pratiques

cdlt

RC

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