Alors tous a commencé alors que je devais avoir 15 ans j’avais été convié à un stage que j’ai fait dans une entreprise que nous appellerons N.
Alors le premier jour, j’ai été pris en charge par B.
Alors il m’a amené dans tous les endroits importants de l’entreprise. Il m’a tout d’abord présenté l’historique de l’entreprise en me présentant des dizaines et dizaines de tableaux retranscrivant toute l’histoire de l’entreprise.
Ensuite il m’a amené dans la salle des machines ou il m’a présenté le fonctionnement des différentes machines avec tous les fours et les marmites de cuissons dont une ancienne marmite ou l’on faisait cuire du C. à l’époque. Ensuite il m’a fait visiter les laboratoires, et il m’a présenté quelques méthodes de fabrication.
Puis nous somme aller au cœur de l’entreprise : les bureaux ou il m’a présenté les différents corps de métier qu’il m’a expliqué de fond en comble.
Ensuite il m’a montré un bassin de refroidissement et m’a expliqué que le C. était refroidi par cet eau puis nous sommes baladé dans l’entrepôt ou il m’a présenté ce qui était entreposé. Enfin on refait un tour dans l’entreprise ou il m’a montré des ordinateurs qui faisaient fonctionner les machines. L’employé B. aimait bien son travail de présentation et il était à fond dans son truc moi à chaque fois hochant la tête toujours l’air faux de l’intéressé.
Bref après 4 h de visites acharnées, je me retrouve toujours avec le même mec mais cette fois si avec le patron pas loin qui écoute. Bon je suis bien content de me barré j’enlève mes gants, le truc en plastique sur ma caboche et je me dirige derrière l’ouvrier pour partie. Mais malheureusement pour moi il me pose une question à lequel je ne m’attendais pas du tout :
-Alors qu’a-tu retenu de toute cette visite.
Alors je me retourne et là juste par ce que j’ai répondu j’ai vraiment trop honte rien qu’en y repensant :
( moment de silence)
-Ben e y a des marmites vieilles ee et un bassin de refroidissement pour le truc eee dans leeee machin. eeee…
La le mec hoche la tête l’air de dire (oui mais encore)
(grand moment de silence)
Et j’ai pa pu sortir un mot tout honteux devant lui me regardant bêtement et là le patron me sauve la vie :
-Oh ! on va pas lui demander de faire une dissertation sur l’entreprise (rires)
Alors l’employé se met à sourire et moi à faire une tête crispée d’un vieux sourire. La le patron s’éloigne et je me rappellerai toujours la vieille tête de l’employé l’air de dire ( pauvre con)
Je peux vous assurer que ce type de honte sa se vit sa ne se présente pas. Imaginez quand même un type qui se fait chier à vous présenter une entreprise pendant 4 h et ne fois terminé il vous demande une question résumant tout ce qu’on a vu pour lui répondre « un truc » et « un machin » ben je peux vous assurer qu’on se sent mal.
Ps: mes excuses à l\'employé
Histoire envoyée le 23/09/2011 à 17h45 - Notée 3.02 / 5
pourquoi ,tu n'avais pas écouté ???En tout cas, t'as raison de t'excuser parce que le pauvre ...
Un gars sympathique, qui compatit
je pense à:
-Nestlé
-Bertrand
et Chocolat
Aïe!! ... en tout cas t'as l'air d'avoir retenu beaucoup de choses mine de rien...
l'air faux de l'intéressé
comme moi mais çà arrive très souvent pour moi
malheureusement....
Je me suis avoir une fois moi aussi avec ce genre de truc. A 17 ans, comme job d'été, j'ai travaillé dans une banque. On m'a fait visiter, et tout, et tout... comme un peu raconté ici. Vers 14 h, après déjeûner, voilà que la personne qui m'a pris en charge, me demande d'aller à la Direction financière. Je m'y rends, et là, un jeune mec de 25/26, me dit d'aller chercher la clé de la Chambre de Compensation. Ayant fait des études économiques, j'avais appris que les chèques de banque étaient compensés (payés) par la Chambre de Compensation, espèce de grosse réunion entre banques pour honorer les chèques, quand ils ne sont pas tirés sur la même banque. Il me demande : Vous savez où c'est ?
Voulant jouer les malins et m'appuyant sur la visite des locaux du matin, je réponds : Oui, bien sûr !
En fait je n'en savais rien. Il m'a donné en plus, une heure pour lui rapporter ces fameuses clés.
Et me voilà en train de chercher la Chambre de compensation... peut-être y trouverais-je ces p***** de clés !
Le temps passe, toujours rien : il ne me reste plus que 10 minutes pour terminer ma mission. Mon amour propre m'interdit de demander au personnel où est la Chambre de compensation...
Et je cherche, je butine... Rien à l'horizon.
C'est alors que j'aperçois dans un des couloirs de l'établissement, un ami qui travaillait ici aussi (je ne le savais pas). Voyant mon air désapointé, il me demande ce que je fais, où je suis, où je vais... Je lui explique mes " malheurs ". Et là, il part d'un éclat de rire et me déclare que la Chambre de Compensation n'existe pas en soi (c'est virtuel, dirions-nous aujourd'hui) et que, par conséquent, ses clés non plus n'existent pas ! Super honte mortelle.
Il savait ça, car il a été victime de ce genre de chose l'année passée.
Je retourne voir la personne qui m'a confié la mission et, sous l'effet du stress, de la honte, de je ne sais pas quoi, je fonds en larmes. C'était le coup de grâce !
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