J'avais 14 ans, j'étais en 4ème et un soir à la sortie du collège j'ai emprunté un scooter pour aller faire un tour en ville.
Seulement, j'ai eu un petit accrochage avec une voiture qui me précédait. Malgré le fait que je n'ai rien et malgré mes supplications, le conducteur de la voiture a tenu à me raccompagner à la maison. Mes parents venaient de rentrer du travail et le monsieur a raconté les circonstances du petit accrochage. Mon père est alors rentré dans une rage folle, il m'a appelé et m'a demandé d’où venait ce scooter, me rappelant qu'il n'avait jamais voulu que j'en ai un ou en conduise un...
Quand il eu compris le fin mot de l'histoire, il m'a tiré vers lui et m'a dit que comme je m'étais comporté comme un gamin il allait me traiter en conséquence. Il a alors baissé mon pantalon et m'a flanqué la trempe de ma vie, devant ma mère, mes deux frangins et surtout devant le type de l'accrochage qui était toujours là !
Je ne vous dit pas la honte que j'avais de m'être pris une fessée déculottée devant tout le monde ! Ça a été la pire honte de toute ma vie, que je ne suis pas prêt d'oublier !!
Histoire envoyée le 02/01/2012 à 20h35 - Notée 4.05 / 5
J'ai reçu ma dernière fessée déculottée à 12 ans, très mauvais souvenir !
Ouah la honte ! Panpan cucul !
A 14 ans, c’est à l’occasion d’une fessée que j’ai vu pour la première fois un zizi en vrai. J’étais fille unique et je n’avais pas de cousins et dans notre famille c’était pas courant les châtiments corporels. Ma meilleure copine avait deux frères de 11 et 8 ans, pour aider sa mère, elle devait souvent leurs donner le bain y compris la toilette intime et elle savait parfaitement comment était fait un garçon. Par ses récits j’étais informé mais je n’avais jamais vu de garçon tout nu. Elle m’avait dit que le plus grand ne voulait plus être lavé par elle depuis qu’il commençait à avoir des poils sur le pubis, mais que sa mère l’obligeait et qu’il recevait souvent des coups de martinet. Elève de 6ème dans notre collège, nous étions en 3ème, je le croisait souvent et j’étais gêné car je n’ignorait, virtuellement, rien de son intimité. Je passais l’après-midi chez ma copine et son frère n’arrêtait pas de faire son intéressant, il énervait tout le monde. Jusqu’au moment où sa mère est entrée dans la pièce avec le martinet nous étions assises sur le canapé avec ma copine lui debout face à nous. La maman lui a demandé de mettre ses mains sur la tête pour éviter qu’il ne se protège les fesses avec, je pensais que le martinet serait appliqué sur le pantalon mais malgré ma présence elle l’a déculotté, le pantalon de survête et le slip était sur ses genoux il ne pouvait cacher ses parties les mains étant sur la tête donc je voyais tout son zizi ses boules et ses poils. Sa sœur m’avait décrit le tout mais je n’imaginais pas ses boules et son ventre aussi poilus le zizi était assez petit en comparaison des photos d’autres mecs que j’avais vues mais il était plus jeune. Je fus tirée de ma contemplation par des cris de douleurs la punition commençait les lanières du martinet venaient zébrées les fesses et les cuisses à intervalles réguliers au bout du 5/6ième coup un cri plus aigu et un liquide qui coule le long des jambes et vient mouiller le slip et le pantalon. La maman arrête la correction elle est en colère au tant contre elle car elle sait qu’elle vient de lui faire très mal que contre lui qui de douleur vient de faire pipi sur le plancher. Personne ne parle, la mère est partie dans la cuisine je l’entend pleurer. Ma copine va rejoindre son frère dans la salle de bain je sais qu’elle est très proche de ses frères et de lui en particulier qu’elle est triste lorsqu’il est puni trop sévèrement. Très choquée par la violence de la scène je propose mon aide à travers la porte de la salle de bain ma copine me demande d’aller chercher du rechange, le petit frère m’indique où se trouve les habits de son frère. J’entre dans la salle de bain , ma copine avait déjà lavé son frère et passé un gant d’eau froide sur les zébrures des cuisses et des fesses. Elle est en train de regarder une zébrure sur la peau d’une des boules et me la montre cela a du être très douloureux , le pauvre, il sanglote mais il ne cherche même pas à se cacher de moi, pendant que ma copine va rassurer sa mère j’aide le garçon à enfiler son slip je vois pour la dernière fois mon premier zizi. J’ai gardé de cet après-midi là des sentiments partagés le premier j’étais toute émoustillée d’avoir vu un mec à poil et de pouvoir regarder sans risquer de me faire traiter de vicieuse vue que c’était la propre mère du mec qui m’offrait le spectacle, le deuxième un sentiment d’horreur vis à vis de cette violence et enfin de la compassion pour ce garçon et de l’admiration pour sa sœur qui comme une mère avait trouvé les mots et les bons gestes pour consoler.
J'ai souvent vu mes 4 frères, 2 frères cadets 2 frères aînés, fessés par ma Maman ou par ma Tante. Les deux femmes étaient sévères et strictes et aimaient vraiment corriger mes frères corporellement.
Souvent devant moi. Parfois un seul de mes frères, souvent plusieurs, quelques fois tous les 4 !
Tous les 4 étaient toujours très excitant pour moi. Je voyais alors 4 culs nus et 4 zizis nus car mes frères recevaient toujours la fessée tout nu. J'aimais regarder leurs fesses qui se coloraient et leurs zizis qui bougeaient sous les coups et leurs boules qui balançaient entre leurs cuisses souvent écartées. Le mieux c'était que Maman n'hésitait jamais à les faire gueuler et chialer et je mouillais toujours me petite culotte en voyant et en entendant mes frères gueuler et protester sous la fessée!
Plus ils protestaient, plus fort Maman frappait et j'adorais la voir faire. Elle cassait vraiment les culs de mes cons de frères ! Mes frères sont vraiment des cons ! Tous les garçons sont cons !
Et j'aime voir Maman leur foutre le feu aux fesses. Je l'encourageais souvent à les frapper plus fort...Je lui racontais les moindres bêtises de mes frères. Ils me détestaient mais j'avais le plaisir de les voir souvent se faire rougir les fesses, de voir Maman les corriger jusqu'à ce qu'ils avaient les fesses écarlates et enflées... Rien de tel qu'un sale garçon aux fesses toutes enflées et douloureuses...
Je pense que les cons de garçons sont nés pour se faire casser leurs culs ! J'espère que beaucoup de Mamans flanquent des fessées qui les font gueuler à leurs fils !
Les garçons sont tous des sales cochons...et méritent qu'on leur casse leurs sales culs nus !
Longue histoire mais bien au final
Je ne suis pas aussi excessive que Viktora, mais c'est vrai que j'ai toujours apprécié voir un garçon se faire fesser cul nu et je ne suis pas la seule. Ma maman, ma tante et ma grand-mère n'hésitaient pas. Donc toute jeune j'ai été habituée à voir mes frères et cousins se faire déculotter et corriger. Mais je me rappelle en particulier la punition de mon cousin de 16ans, par ma grand-mère, devant mes deux cousines ma sœur et moi parce qu'il avait essayer de nous voir se mettre en maillot. Après avoir reçu sa fessée il s'est vite relevé et a essayer de cacher qu'il avait une érection, colère de ma grand-mère et ma tante qui l'ont obligé à rester tout nu devant nous avec les mains sur la tête. J'ai jamais oublié cette image de mon cousin en pleurs c'était la première fois que je voyais un garçon en érection et le souvenir de ce sexe de ces boules et de ces poils a été longtemps dans mes pensées d'ado. Je pense que c'est plus l'humiliation du mâle que la fessée en elle même que j'apprécie.
Cet été une copine m'a entrainée sur une plage réputée pour son coin libertin. Nous avons aperçu plusieurs couples ou groupes dans diverses situations. Mais ce qui nous a ravi le plus c'est de voir un homme chauve la cinquantaine bedonnante se faire fesser par sa femme (?) devant tout le monde. Enfin tout le monde, en plus de nous il y avait 3 couples et 2 mecs seuls qui faisaient cercle autour du mec le cul à l'air et en érection. La femme cinglait les fesses du mec avec une badine en bambou. Il tournait sur lui-même à chaque coup ce qui permettait à tous de voir ses fesses ou son sexe. Avec amusement j'ai vu que son sexe d'une taille assez ridicule d'ailleurs était entièrement épilé. C'est vrai que c'est voir l'humiliation de ce mâle qui m'a le plus excité ma copine était de mon avis. Elle m'a dit que les autres femmes s'animaient elles aussi quand la baguette touchait la peau sa voisine criait frappe plus venge nous toutes.
N'importe quoi, j'ai deux frères et il y a 2 ans d'écart entre chaque enfant et je suis au milieu. Ma mère nous corrigeait avec un martinet les fesses à l'air les mains sur la tête. Ma mère ne faisait pas de différence entre les sexes donc je voyais le zizi de mes frères et eux voyait mon sexe. Mais jamais aucun des trois ne se réjouissait du malheur des autres au contraire nous étions solidaires. La dernière fois que j'ai vu mon frère aîné se faire corriger j'avais 13 ans et lui 15 bien sûr j'ai vu qu'il avait un pubis bien fourni et un zizi assez mignon mais je n'ai éprouvée aucune excitation ni jubilation c'est mon frère.
C'est pas très grave, c'est la famille et puis au moins sa prouve que t'en a un
J'avais onze ans ,c'était l'année de la 6ème et j'avais été invité à jouer chez mon meilleur copain le jeudi.Ma mère nous punissait par quelques claques sur les cuisses ,ma soeur ainée et moi . Chez lui,ça marchait au martinet.Il était accroché au mur de la cuisine.Dans l'après-midi,nous avons envoyé le ballon chez le voisin et avons sauté le mur pour aller le récupérer. Entrer sur le terrain du voisin était formellement interdit et nous pensions ne pas avoir été repérés. Sa mère sortit sur le péron et nous appela . Elle nous fit retirer nos bottes en caoutchouc et nos pantalons et nous nous retrouvames en slip et chaussettes dans la cuisine. Elle ordonna à mon copain de mettre les mains sur la tete et décrocha le martinet .Elle lui appliqua une dizaine de coups très fort et il criait et suppliait. Ce fut ensuite mon tour, j'avais les cuisses et les fesses en feu,mais je ne disais rien . Quand la maman posa le martinet sur la table,je vis la soeur cadette dans l'encadrement de la porte qui me regardait avec un regard moqueur. Attirée par le bruit,elle avait assisté discrètement à la fin de ma fessée. J'étais mort de honte .Elle raconta à ses copines qu'elle avait vu sa mère me mettre une fessée au martinet.
Ahah, bien fait !
Ça manque de réalisme...
une amie a moi m'avait inviter a son anniversaire,avec mon amie et sa mère nous étions en train de sortir les gateaux du four quand tout d'un coup on entend BANG on court toute les 3 voir ce qu'il se passe c'était son frère de 14 ans qui avait éclater un ballon il rigoler,sa mère l'as attraper lui a baisser son short il c'est donc retrouver nu devant un quinzaine de personnes,a ce moment la mon amie me dit regarde on va voir son pouce je lui demande ce que c'est elle me dit "c'est son zizi il fait la taille d'un pouce" j'ai regarde et effectivement il était de très petite taille puis elle lui donne plusieurs fessée avec mon amie on était en face on voyais donc sa zigounette et ses bouboules qui bouger dans tous les sens c’était le premier zizi que je voyait en vrai,toutes les personnes on était choquer et se moquer de sa zigounette.le pauvre
Bonjour je m'apelle martine et j'ai 53
ans mon epoque etait celle des "deculotées en public" alors je m'en suis pris plus d une :un jour avec un ami(j'avais 12 ans) on avait grimper a l'arbre de mon jardin et nous avions jeter des pommes dans le jatdin du voisin mon pere nous avez vu.il arriva me prend par la main et devant mon copain me deboutonne le jean me baisse la culotte jusqu au chevilles et m'ordonne de me pencher vers l'avant me tanna le derriere jusquau moment ou je fondit en larmes il le dit de monter dans ma chambre avec mon ami.une autre fois c etait au magasin je fesis une colere pour avoir un jouet en bois et il me tenit les deux mains me baissa la jupe me descendit la culotte et me claqua les fesses ,cette corection fut fort humilliante.puis a l ecole je n aretter pas de parler donc mon instituteur me dit : - martine viens ici toute suite ! Je debarqua sur l estrade mon professeur me dit de me retourner et il introduisit ses doigts dans ma culottes de deculotta ,tous mes camarades rierent au eclat,il prit la regle en metal et me tapa le posterieur une bonne 20enes de fois je restit au coin pour montrer a mes camarade de classe me jolies fesses rougies puis le soir je recevit une 2 eme fois une claque au fesses toute nues apres le bain ! Souvenirs assea drole
j ai lu les derniers recits moi aussi j ai recu des fessées meritées ainé d une famille de six enfants maman nous donné des fessées mais s etait tout d abord a mon epoque en 1955 que le martinet sur les mollets et les cuisses ma mere naurais pas suporté que lon se moque des fessées entre freres et soeurs quand a la grande fessée comme disait maman s etait deculotté sur ses genoux en public a la main puis le ventre et les mains tenant une petite table elle apelait ca la table au martinet ses fessées etaient rare bien entendu pour un motif valable irespect desobeissance tres importante et mauvais trimestre scolaire pour fainiantise 4 a5 par an notre mere n etait pas cruelle mais juste quand j entend la gamine qui etait mechante cruelle avec ses freres quand un enfant venait a la maison si il faisait une betise settait le martinet sur les cuisses a l epoque habillé en blouse et en culotte courte eté comme hiver en eté s etait les shorts les culottes courtes et les shorts tres court pour bien degagé les cuisses pour le martinet education severe mais juste jamais une claque mais de la tendresse elle expliqué bien le motif de la punition il falait mieux reconaitre sa faute maman donait la fessée apres le bain et en pyjama ou chemise de nuit dans le sallon chez nous le martinet etait acroché a coté de la cheminée nos oncles nos tantes cousins cousines amis amies de la famille a l epoque le martinet chez les francais etait banale ce que j aime pas c est le sadisme de certains recits quand a maman quand elle donnait une fessée s etait un devoir elle fessée methodiquement elle tenait de l age de l enfant qui recevé le martinet les plus petits n avaient pas de martinet les filles etaient egale aux garcons notre pere ne donnait pas de fessées s etait le role de ma mere maman n est plus que de bons souvenirs entre mes freres et soeurs de nos fessées ont en rie mes soeurs ont recu la fessée jusqau mariage si elle ne respecté pas l heure de rentrée autorisé s etait pareil pour les garcons a l epoque pasle droit de fumer de boire de l alcol la majorité a21 ans tant que tu est a la maison tu est soumis a mon autorité disait maman 16 ans j ai eu droit au pantalong pour me rendre au lycée a la maison en short en culotte courte maman ne voulait pas que ses garcons devienne des hommes a chaque mariage elle pleurait disant tu quittes la maison
Ma première fessée fut quand j´avais 25 ans, par une copine qui en avait 40. C´était une rentrée de sortie pour elle avec quelques copines et elles étaient tellement en forme qu´elles avaient décidé de jour avec des gages. Celui qui perdait devait tirer au sort une punition. Je ne sais pas encore aujourd´hui si elle avait manipulé les tickets de punition pour que je tombe aussi mal que ce que je suis tombé. Toujours est-il qu´il était écrit ´fessée cul nu´sur mon ticket. Je fis mine de partir mais fus malheureusement retenu. Je ne désire pas raconter la suite. Simplement, a la suite de cette expérience, j´ai perdu tout intérêt pour les filles de mon age et ai commencé par ne m´intéresser qu´a des femmes beaucoup plus âgées et certainement de caractère.
Ma dernière fessée, je l'ai reçue en 1969 à l'âge de 15 ans. Ma tante m'avait envoyé chez le boulanger pour acheter un pain. A l'entrée du magasin, j'ai bousculé une femme et sa fille, plutôt moches, pour passer devant elles. La femme m'a fait une remarque sur la galanterie, alors j'ai répondu: "la galanterie, c'est pas pour les moches!". Peu après mon retour à la maison, ma tante m'a appelé pour que je salue son amie...C'était la femme de la boulangerie avec sa fille de 13 ans. Quand elles m'ont reconnu, la femme a raconté l'incident à ma tante. Furieuse, celle-ci m'a obligé à baisser la culotte. J'ai reçu six fortes claques sur les fesses nues, puis j'ai dû m'agenouiller sur un tabouret, mains sur la tête et fesses à l'air devant tout le monde. Un moment, ma tante et son amie ont dû monter au grenier pour trier des vêtements. Ma tante a dit à la fille: "tu surveilles Arnaud. S'il bouge, tu lui claques les fesses". Rouge de honte, je ne songeais pas à bouger. Cette fille moche tournait autour du tabouret et regardait mon intimité avec un sourire moqueur. Au retour de ma tante, j'ai dû présenter mes excuses et répéter "pardon, madame; pardon, mademoiselle" avant d'enfin pouvoir me rhabiller. C'était ma pire honte...
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