Je me tape souvent la honte, mais celle-là fait partie de mon palmarès :
J'étais alors dans ma période "flower-power", à moi les vêtements amples et la négation des codes sociaux.
Ce jour là je portais une sorte de sarouel beaucoup trop grand pour moi, du coup je le roulottait pour en faire un truc hybride entre la jupe et le pantalon trop grand.
La grande classe, c'est que je ne sentais pas le tissus quand je le portais, d'où la démarche de fiére amazone préte à traverser la savane à poil, avec un regard narquois pour les passants engoncés dans des jeans slims avec la chaleur.
Je prends donc le bus pour rentrer chez moi, m'assoie en tailleur sur le siège, et oublie totalement la fermeture éclaire du pantalon et ses tendances anarchistes.
Je me lève donc une fois arrivée à mon arrêt, fais quelques pas, j'entends une exclamation derrière moi, oui, j'ai traversé le bus en petite culotte, le pantalon sur les chevilles. Mémorable, surtout pour le chauffeur, et les passagers...
Histoire envoyée le 23/09/2011 à 14h44 - Notée 3.81 / 5
Ha la la, jme marre à donf!on doit me prendre pour une débile!!!Lol, trop la honte.
Mais non t'inquiète, je crois que à en lire ce qu'il y a sur ce site, il y a nettement pire et honteux que toi... Encore heureux que tu ai mis des dessous, parce que la négation des codes sociaux, et le côté hippie vont généralement avec le refus de mettre des dessous...
pas mal, cela ne m'est jamais encore arrivé avec aucun de mes sarouel mais bon !!!
ah les sarouels super mais mesquins!
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