Je m'appelle Marie et j'ai 16 ans.
Je vais vous raconter une honte qui m'est arrivée il y a quatre ans, quand j'avais douze ans.
C'était la fin du mois de mai, j'étais en CM1 (j'ai redoublé le CE1 et le CE2), à la dernière récréation.
Je jouais avec mes copines quand j'ai eu une soudaine envie de faire la grosse commission, mais je ne voulais pas arrêter de jouer et me suis dit que j'irais aux toilettes un peu avant la sonnerie.
La sonnerie retentit avant que j'ai eu le temps d'aller aux WC, alors je me dis que j'irais pendant qu'on se rendra à la salle de vidéo pour voir un petit film (pour le cours d'histoire).
Soudain dans le rang je lâche un pet silencieux, et je sens que le caca commence à venir ! Je serre les fesses pour éviter la catastrophe et tenir jusqu'à ce que l'on aille en salle vidéo, mais hélas changement de programme : on ne va plus voir le film...
Un peu de caca part dans ma culotte, puis ne pouvant plus tenir tout part, et il y en a beaucoup... Une odeur horrible se répand autour de moi pendant que je rentrais dans la classe, et en passant devant la prof elle me demanda : "Marie, tu n'aurais pas fait caca dans ta culotte ?"... Je lui ai répondu que j'avais juste pété.
Pendant le cours, la prof m'envoi au tableau pour corriger un exercice, et c'est là qu'elle a découvert mon mensonge, dessiné sur mon short bleu ciel...
Elle m'engueule et me dit d'aller voir les assistantes maternelles pour qu'on me nettoie et qu'on me change...
L'école maternelle est séparée du primaire par un mur, et en arrivant vers le mur, je tombe face aux CP qui étaient en cours de sport dans la cour de récréation, et qui n'ont pas tardé à remarquer mon accident et à se moquer de moi, un d'eux a crié "Ho regardez ! LA grande a fait caca dans sa culotte !"...
Arrivée dans une sorte de vestiaire (ou l'on change les enfants qui se sont salit), il y a une aide maternelle qui s'occupe d'un petit d'environ 3 ans qui avait lui aussi souillé sa culotte. Elle m'a regardée non sans un certain dédain.
Je lui explique ce qu'il m'est arrivé, et elle parti appeler l'instit de petite section qui s'est occupée de me nettoyer et de me changer...
Des petits de 3 / 4 ans me mataient en se fichant de moi...
Je suis donc repartie honteuse, avec un horrible pantalon de jogging en molleton caca d'oie, trop petit pour moi et franchement démodé que l'instit m'a mis...
Le soir même, à peine arrivée chez moi, je me suis faite disputer par mes parents à cause de cette histoire...
Mais aujourd'hui j'en rigole !
Histoire envoyée le 26/09/2011 à 11h50 - Notée 4.26 / 5
la honte et tes camarades ?
C'est un comble qu'on t'ait prêté un pantalon couleur "caca" d'oie
mdrrr la honte javou
C'est horrible ! T'avait 12 ans, en plus d'être en CM (!!!!) à ton âge; tu te fais aussi changer comme une enfant de 2 ans !!!!
Franchement la honte ouais....
(Désolé si c'est méchant, mais ça me dégoute grave les p'tite qui font les gamine de cp alors qu'elles ont des seins gros comme des pastèque mdr quoi)
Trop la honte.
Moi c etait avec mon pere coincé dans les bouchons en rentrant de l internat.
C etait horrible surtout au moment de luis dire.
Evidament , il ne m a pas pas changer. Je precise je suis une fille et j avais 17 ans
Je l avais mis dans une colere noire.
encore une mytho barge
c sur la honte sa mait jamais arrivé!
Frenchement aussi t'est pas doué
A 12 ans t'était meme pas cap de " arreté de jouer "
Putin !
pourquoi tu n'as pas demandé que l'on te passe des rechanges pour te changer toute seule ???
Sa t'aurais éviter un peu de honte suplémentaire
a 12 ans tu as fait caca dans ta culotte gaminnexd
mais c'est pas de sa faute la recre tu en profite tu voit meme pas le temps passe moi sa ma fait la meme chose mais j'ai fait pipi sur moi en cour en primaire j'en rit rien que dit prensé mais il y'a des commentaire qu'il faut evité car sa peu te baiser
Je vais être un peu long, mais ça vaut le coup pour l'histoire.
J'ai fait ma scolarité dans un lycée, puis, pour la 3ème, vu que je n'avais pas eu de bons résultats, on m'a orienté vers un établissement de type II, comme on disait à l'époque, autrement dit, un collège. Ca, c'est pour l'entrée en matière. Les visites médicales dans ce lycée se passaient, bof ! comme un tout le monde a raconté ici et là dans ce site.
Par contre, au collège, j'ai eu une mauvaise surprise : en plein de maths, et ce dès le début de l'année, j'ai vu arriver le prof de gym avec une balance, du même type que celle qu'on utilise pour les boxeurs. Il est entré en disant : les gars, c'est la pesée. Le prof de maths a laissé sa place et le prof de gym a commencé à peser les élèves. C'était une école de garçons, et le prof appelait les élèves un par un, suivant l'ordre alphabétique. J'ai eu la honte de ma vie, en pensant que j'allais devoir me mettre en slip devant d'autres personnes, ce que je n'aime pas du tout !
Les autres mecs n'éprouvaient aucune gène, c'est comme ça que ça se passait dans ce collège : tous les débuts d'année, le prof de gym venait effectuer la pesée. C'était l'habitude, la tradition, que sais-je ? Les chiffres qu'il obtenait était communiqués ensuite au médecin scolaire, qui lui, recevait les élèves en visite, un peu plus tard dans l'année.
Et je voyais les mecs se déshabiller, l'un derrière l'autre : le prof avait dit qu'on pouvait garder le pantalon, pour la pesée, mais ceux qui ne l'enlevait pas, se le faisait retirer par les autres mecs. Et bien souvent, pour rigoler, le slip tombait aussi avec le pantalon, avec des plaisanteries douteuses que je vous laisse imaginer.
Je ne voulais pas me faire peser dans ces conditions !
La chance, c'est que mon patronyme commence par une des dernières lettres de l'alphabet. Et dans cette classe, beaucoup de noms commençaient pa A, B et D, pratiquement, les 4/5 de la classe. Par conséquent, je n'ai pas été pesé ce jour-là, en même temps que les autres.
Le prof de gym n'est pas revenu pour finir son boulot, il n'avait droit qu'à une seule séance. Il restait 5 à 6 élèves qui n'ont pas été pesés ce jour-là.
Par contre, quelques temps après, et avant tous les autres (parce que, m'a-t-on dit je venais d'un autre établissement), j'ai eu droit à une visite médicale... soignée et très poussée... Un peu trop, même à mon goût, par rapport à ce que m'ont raconté ceux qui l'ont passé avant ou après moi. Elle se déroulait dans l'infirmerie.
Je résume : examen général habillé (yeux, ouïe, gorge, réflexe...). Puis, ayant échappé à la pesée, le médecin, un homme, me fait mettre en slip, me pèse et me mesure. Il me palpe le ventre, et me dit de baisser mon slip un peu pour examiner la colonne vertébrale. En effet, mon dossier médical du lycée mentionne un problème à ce niveau et des nombreuses dispenses de gym en ont découlées.
Il se met donc derrière mon dos et passe un doigt le long de la colonne, de la nuque aux fesses et des fesses à la nuque, un certain nombre de fois. Au bout de la troisième ou 4ème fois, il me fait descendre le slip jusqu'aux chevilles et recommence son examen, en appuyant un peu plus fort. Tout nu, il me fait faire toucher mes pieds, remonter, descendre, remonter...pivoter sur moi-même de gauche à droite et de droite à gauche... et bien d'autres exercices de ce type ! J'ai trouvé cela humiliant, mais je ne pouvais rien faire, le BEPC était au bout de la route et l'examen médical en dépendait... Le médecin soupçonnait que j'ai eu des certificats médicaux de complaisance (c'est lui qui me l'a dit) et il s'est senti obligé de vérifier et de valider ce qu'il avait trouvé dans mon dossier médical du lycée. La honte se lisait sur mon front, car une érection commençait à se faire voir. Mais le médecin n'a rien dit et à continuer comme si de rien n'était, il n'a fait fait aucune remarque., ce qui a accentué un peu plus ma honte !
Cette année là, en 3ème, au cours des années 70, j'ai subi deux visites : celle du début d'année et que je viens de raconter et celle de fin d'année, pour l'affectation en fin de 3ème.
Là, le médecin était une femme, envoyée par le CIO (Centre d'Orientation et d'Information). Après avoir passé des tests psy, avoir rencontré une personne spécialisée dans le monde du travail, il y avait l'étape médecin. Son diagnostic avait une influence importante sur la suite des études.
Quand j'ai été convoqué, c'était sur dans une classe servant de salle médicale, réquisitionnée pour la chose. Après un interrogatoire basique et après avoir lu le rapport médical du médecin en début d'année, elle me demande s'il y a du du nouveau depuis : maladie, accident, intervention chirugicale... Puis elle me dit de me mettre en slip. Je cherche un endroit dans cette salle, pour me dissimuler, mais il n'y en a pas. Elle me presse, dépéchez-vous, j'ai l'habitude de voir les jeunes se déshabiller, il y en a d'autres qui attendent.
Et je me dévêts devant elle, j'enlève tout, je fais mine d'enlever le slip. Non, ça ira, dit-elle. Et elle m'ausculte, me palpe, me touche de partout. Elle écarte largement mon slip, jette un coup d'oeil mais ne touche pas, et termine son examen. Pedant que je me rhabille, elle me questionne encore et me donne un certificat médical attestant que je peux poursuivre mes études. Je suis sorti de cette salle, tout rouge, car je ne trouvais pas normal que dans une école de garçons, ce soit une femme qui fasse passer des visites aussi importantes.
Pour le dernier commentaire: Mais c'est horrible!!
Non l'avant dernier,ma chère: Mais c'est affreux!!!
J'ai connu ce genre d'humiliation, pas à l'école, mais au centre aéré. J'avais aussi souillé ma culotte. Une gamine a baissé mon pantalon devant tout le monde. Je me suis retrouvé devant tout le monde avec la merde au cul. J'étais devenu la risée de tous...
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