Cette histoire m'est arrivée à l'hôpital, quand j'avais 16 ans, en plein mois d'août. Je devais me faire opérer en urgence.
Je n'ai pas eu le temps de me préparer, psychologiquement, je n'ai pas eu le temps d'y penser...
Me voilà à l'hosto en 24 heures et je partage ma chambre avec un autre compagnon d'infortune.
Et là, dès que j'arrive, une infirmière me dit de me mettre à l'aise (en pyjama !). J'obtempère. Je cherche dans ma valise mon pyjama... et la voilà qui rapplique avec un nécessaire de rasage. "Pas encore prêt ?", me fait-elle remarquer... Ça ne fait rien, on va faire ça maintenant. Elle fait sortir mon camarade de chambre, heureusement !
Je ne m'y attendais pas, le chirurgien ne m'avait rien dit. Et me voilà en train de me déshabiller, en présence de l'infirmière. J'ai honte, je rougis... mais elle fait comme si de rien n'était. J'enlève mon t-shirt en tremblant, elle me stress... j'enlève le pantalon, les chaussettes et enfin le slip, tout cela devant elle : la honte, encore une fois ! A son ordre, je m'allonge sur ce qui va me servir de lit pendant quelques jours, et la voilà qui passe le rasoir depuis le nombril, jusqu'au milieu des cuisses (que j'ai du écarté pendant un long moment) pour qu'elle puisse passer la lame dessus et dessous.
Une fois qu'elle eut fini, elle a contemplé son travail et en était satisfaite. Partie, elle me dit que je peux aller faire un brin de toilette dans la salle de bains, histoire de débarrasser ma peau des lambris de poils qui y seraient restés.
C'est ce que j'ai fait... Mais voilà qu'à peine entré dans la salle de bains où je prends un semblant de douche, le chirurgien, avec un groupe d'infirmiers et d'aides soignant, entrent dans ma chambre et demande après moi. Je cogne sur la porte de la salle de bains, pour manifester ma présence... Mais il me demande d'ouvrir et de regagner
mon lit.
J'obéis. Et pendant 3 à 4 mètres, je me suis promené, si l'on peut dire, à poils dans une chambre d'hôpital devant 5/6 personnes. Encore une honte pour moi. Surtout que mon compagnon de chambre avait regagné son lit entretemps ! Et qu'il regardait lui aussi !
Mais ce n'était pas fini : allongé sur le lit, le chirurgien a expliqué à son groupe que je venais d'être rasé pour une intervention demain matin. Il m'a touché un peu partout, soulevant mes bourses et mon pénis pour montrer aux autres comment se passe le rasage et comment allait se dérouler l'intervention.
Toujours tout nu, il a dessiné sur mon corps les incisions à pratiquer et la façon de faire. Et pour plus de compréhension vis-à-vis de ses élèves, le chirurgien m'a demandé de rester jambes bien écartées et bras loin du corps. J'ai par la sorte, exhibé mon anatomie pendant 10 longues minutes en sachant que mon voisin de chambre regardait lui aussi par intermittence, honte supplémentaire !
Dans la nuit, l'infirmière de garde (une autre) est venue me réveiller pour contrôler le rasage. Dans un demi-sommeil, je lui ai dit que c'est déjà fait, que le Dr X. a constaté que c'était bien fait, mais rien n'y fut : elle a allumé ma lumière (pour ne pas déranger mon co-locataire) et a vu qu'il subsistait quelques poils ça et là. Elle retourne à son office et ramène un nécessaire de rasage puis passe à l'action.
Et me voilà pour la énième fois en moins de 24h à poils et rempli de honte...
Quelques années plus tard, pour une autre intervention à peu près dans la même région (il s'agissait d'une hernie inguinale), j'ai également été rasé, mais je n'ai pas subi autant d'humiliation et de honte que la première fois !
Histoire envoyée le 26/09/2011 à 05h44 - Notée 3.73 / 5
Je suis étudiante à l'hôpital et le comportement du médecin me choque un peu. Il n'a pas à montrer ton "anatomie" à tous les étudiants si tu n'es pas d'accord, chez nous on demande toujours l'avis des patients pour ce genre de choses. Il faudrait qu'il revoit sa pratique!
J'suis d'accord avec le commentaire ci dessus, je trouve ca vraiment malsain limite.. Dans ton cas je ne me serrais jamais laissé faire !
ahahahahahahahahahahahahah sa doit pas etre marant
La prochaine fois vas-y avec gillette
just an idea
moi, j'avais 16 ans ou 18 et étant une fille, a l'hopital le corps médical, docteur et stagiairs se sont aussi penché sur mon cas, j'ai dus me déshabillés et m'allongez, c'était gynécologique, humiliant, et tu sais maintenant j'ai 56 ans et je me souviens encore, je suis belge, excusez les fautes d'horthographes, mais maintenant quand je lis vôtre histoire, je rir
Ils ont aucun tact et aucun respect ces gens la. Ca arrive souvent dans les hopitaux.
le rasage c'est utile,j'ai du passer une coronarographie,je n'ai pas été rasé,ce qui fait que tous les sparadras ont été collé sur les poils du ventre,pubis et jambes
j'ai du gardé ces pansements 2 jours mais quand il a fallu les retirer..... je vous raconte pas
wai! moi je crois qu'ils devraient te laisser te raser toi meme! et si apres ils veulent verifier, ok, mais c tout! :o
C'est Horrible ! T'as pas de chance.
Moi, je serais plus jamais sorti de chez moi.
Ca se fait Pas je trouve. Ils auraient pu demander ton avis avant d'appeler les stagiaires !!
C'est Presque Inadmissible !!
MM4B
C'est deg de sa part !
Moi le medecin pourra jamais me faire ça
sa se fait pas se qu'il a fait se foutut medecin serieux...porte plainte
Purée tu devais dire au medecin dans son oreille "je ne veu pa que les autre me voi tou nu" c'est tout!
bah oui c'est des stagiaires mais qui seront medecin alors il faut bien qu'il commence et puis c'est l'hopital c'est pas dans la rue les gens de ce service ont l'abitude
Oui mais les patients n'ont pas l'habitude d'être à poil devant des gens
En novembre j'ai été atteint de maux de ventre inexpliqués. Ma mère en a profité pour me faire connaître mon 2ème docteur de famille, un pédiatre spécialisé de ses amitiés proches depuis longtemps, et qu'elle m'a imposé pendant 9 ans. Le précédent prenant sa retraite à la fin de l'année.
Il m'a baissé mon slip 4 fois en 5 mois. J'ai eu 10 ans en février. En avril il m'a envoyé en examens de 1/2 journée dans une clinique. En rentrant dans la salle d'examens en rez de chaussée, une infirmière d'âge mûr m'a fait mettre en slip cho7. Plus tard le médecin a crié fort, très fâché d'avoir à me dire de baisser mon slip. Il s'attendait à ce que je baisse mon slip de moi même, spontanément, sans qu'on ait à me le dire. D'une pudeur extrême, ça aurait été difficile dans mon cas, déjà que j'étais très réticent à le baisser quand on me le disait ... Mon slip est tombé sur mes pieds. A ce moment là 2 jeunes infirmières sont accourues. Bien informées par la plus âgée, elles savaient que le cri voulait dire que le spectacle commençait. Je suis resté une éternité debout au milieu de la grande salle d'examens, le slip sur les pieds, devant ma mère assise à côté du docteur, les 2 jeunes infirmières me tournant autour sous tous les angles. La plus âgée profitant du spectacle elle aussi, mais plus discrètement, tellement elle avait l'habitude. Le docteur ne m'a pas touché. Mais un seul et unique examen ce jour là : le doigt dans le derrière !
Il m'a fait retirer mon slip qui est resté retourné par terre au milieu de la salle, pour monter sur la table nu en cho7. Il a attrapé mes 2 chevilles et a collé mes 2 talons contre mes fesses. Ensuite il m'a écarté les genoux très largement dans un grand V. Je suis resté comme ça très longtemps, une grande baie vitrée, heureusement dépolie, éclairant violemment mon intimité juste en face. Les 4 femmes ravies, en ont profité pour contempler entre mes fesses, mon périnée et mes 2 œufs impubères. Il est revenu avec un gants caoutchouté blanc très épais et lavable qui lui montait jusqu'au coude, il a trempé copieusement son doigt dans un pot de crème. Il a fouillé mes plis, et m'a empalé d'un coup jusqu'au fond, sans doute pour annoncer ce qui allait suivre. J'ai crié de surprise, dans le silence de la salle, devant les 4 femmes ravies. Il a fouillé et refouillé pendant une éternité, en tournant son doigt dans tous les sens. J'ai crié une 2ème fois tellement il m'embrochait, et tellement longtemps. Quand il a enfin ressorti son doigt, le caoutchouc blanc était recouvert de caca, et j'en avais plain les fesses. Il a levé son doigt sale en hauteur devant ses yeux, et l'a longuement examiné, sous le nez des 4 femmes, avant de le jeter dans un lavabo. Il m'a fait descendre de la table et remettre mon slip, mais personne ne m'a essuyé.
C'était au tout début des années 60, époque de répression effrayante du sexe et de la nudité. Regarder dans le slip de quelqu'un était quasiment impossible, et un spectacle très rare ! Quel que soit l'âge du client, il fallait en profiter, et profiter aussi de sa tête à ce moment là. J'étais déjà un vrai cycliste, et avec mon gland très rose très bien circoncis à l'air, je n'étais pas mal. Les 3 infirmières portaient de grandes blouses blanches, et une coiffe blanche dans les cheveux. La plus âgée portant le " tablier de cuisine " en caoutchouc blanc-jaune, par dessus sa blouse.
Mon 2ème docteur de famille m'a à nouveau baissé mon slip 2 fois en mai et en octobre. Soit 6 fois en tout. Il m'a tâté les œufs presqu'à chaque fois. Il m'a baissé ou fait baisser mon slip 2 ou 3 fois par an jusqu'à mes 18 ans, à cause de mes anomalies intimes inquiétantes à surveiller. Et devant ma mère jusqu'à 16 ans. A 10 ans, je me suis donc retrouvé slip baissé devant les docteurs 7 fois en un an !
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